Fête du 1er mai

1 mai - 1 mai 2024
Ce mercredi 1er mai, venez bruncher dans notre jardin et vous prélasser au soleil avec une bonne Binche bruxelloise et des amis tout en laissant vos enfants jouer au château gonflable, faire des percussions, danser la capoeira ou jouer au molkky. 🎵😋

FR 🚲 Un atelier repair café vous permettra de dépoussiérer votre vieux vélo. Quelques réparations, et hop, vous pourrez enfourcher votre bolide plus rapide qu’un avion à réaction !

📅 𝗖𝗔𝗟𝗘𝗡𝗗𝗥𝗜𝗘𝗥 : 11h à 22h
🤑 𝗧𝗔𝗥𝗜𝗙𝗦 : Brunch à définir €
activités : gratuites
📍 𝗟𝗜𝗘𝗨 : Rue Ransfort 27 à La Fonderie
👨🏻‍🤝‍👨🏻 𝗣𝗨𝗕𝗟𝗜𝗖 𝗖𝗢𝗡𝗦𝗘𝗜𝗟𝗟𝗘́ : Familial, mais tout le monde est le bienvenu

𝗔𝗖𝗧𝗜𝗩𝗜𝗧𝗘́𝗦

12h à 16h Atelier percussions et capoeira
10h – 11h Yoga
16h30 – 17h30 Concert de Sarah Carlier
www.instagram.com/sarahcarlierofficiel/
14h – 17h Atelier repair vélo DIY

Visite à vélo :
Départ de La Fonderie à 12h, 15h et 17h
Lien de réservation de votre visite en vélo
12h : http://lafonderie.qweekle.com/…/parcours-velo-fete-du…
15h : http://lafonderie.qweekle.com/…/parcours-velo-fete-du…
17h : http://lafonderie.qweekle.com/…/parcours-velo-fete-du…
Brunch
Jeux pour enfants
Chateau gonflable
Ventes des fameux cahiers de La Fonderie

NL Deze woensdag 1 mei, kom brunchen in onze tuin en ontspan in de zon met een goede Brusselse Binche en vrienden, terwijl je je kinderen laat spelen in het springkasteel, trommelen, capoeira dansen of molkky spelen. 🎵😋
🚲 Een repair café workshop stelt je in staat om je oude fiets op te knappen. Een paar reparaties en hup, je kunt op je snelle rakker springen sneller dan een straaljager!

📅 𝗘𝗩𝗘𝗡𝗘𝗠𝗘𝗡𝗧 : 11u tot 22u
🤑 𝗣𝗥𝗜𝗝𝗭𝗘𝗡 : Brunch te bepalen €
activiteiten: gratis
📍 𝗟𝗢𝗖𝗔𝗧𝗜𝗘: Rue Ransfort 27 in La Fonderie
👨🏻‍🤝‍👨🏻 𝗣𝗨𝗕𝗟𝗜𝗘𝗞 𝗖𝗢𝗡𝗦𝗘𝗜𝗟: Familie, maar iedereen is welkom

𝗔𝗖𝗧𝗜𝗩𝗜𝗧𝗘𝗜𝗧𝗘𝗡

12u tot 16u Percussie- en capoeira-workshop
10u – 11u Yoga
16u30 – 17u30 Concert van Sarah Carlier www.instagram.com/sarahcarlierofficiel/
14u – 17u DIY fietsreparatieworkshop

Fietsrondleiding:
Vertrek vanaf La Fonderie om 12u, 15u en 17u.
Link naar het reserveren van uw fietsbezoek
12h : http://lafonderie.qweekle.com/…/parcours-velo-fete-du…
15h : http://lafonderie.qweekle.com/…/parcours-velo-fete-du…
17h : http://lafonderie.qweekle.com/…/parcours-velo-fete-du…
Vertrek vanuit La Fonderie om 12u, 15u en 17u Brunch Spelletjes voor kinderen Springkasteel Verkoop van de beroemde notitieboekjes van La Fonderie

animation - atelier

Cube ta ville !

animation - atelier, écoles
Architecture et urbanisme au Petit Manchester

La balade aux alentours de la Fonderie est l’occasion d’observer le développement d’un quartier particulier au sein de la ville. L’évolution du logement, entre anciens logis et réaffectations de bâtiments industriels, est le point d’observation principal. De ce grand angle urbanistique, appuyé de cartes, images et outils d’approche, on resserre ensuite le point de vue sur l’architecture. L’articulation entre la forme, la fonction et les techniques des matériaux charpente la lecture des façades. De l’échelle de la ville aux lignes de la façade, les enfants font le lien entre l’urbaniste et l’architecte.

De retour à la Fonderie, ils réalisent ensuite une ville imaginaire sur un plateau 3D. Aménager une ville, c’est l’occasion de croiser les fonctions individuelles ou collectives – habiter, travailler, se détendre, apprendre – avec les modes de déplacement et le cadre de vie. En partant du passé industriel le long du canal de Bruxelles, de ses conséquences urbanistiques et sociales et de la civilisation matérielle qui caractérise nos sociétés depuis les 19e et 20e s, Il s’agit d’un exercice sur les enjeux contemporains de la ville.

 

Objectifs

Sensibilisation aux enjeux actuels de la ville – apprendre à regarder, décoder et discuter la ville ;

Apprentissage d’un vocabulaire spécifique : technique, architectural, urbanistique, patrimonial ;

Capacité à lire des cartes et des images en relation au quartier visité ;

Capacités de planification, d’imagination et de stratégie pour concevoir un projet de ville répondant à une série de contraintes, critères et objectifs de développement harmonieux, durables et résilients ;

Capacité de travail en équipe et de confrontation des idées ;

Apprentissage par le jeu, la concentration et la collaboration.

 

Déroulement

Introduction au site de l’ancienne Compagnie des bronzes – et au quartier dans lequel il se trouve : Le petit Manchester belge ;

Balade d’observation, avec outils d’approche ;

Conception en 3D sur un plateau de quatre quartiers en tenant compte de contraintes et caractéristiques (jeu hybride mêlant maquettes et jeux de cartes) et réunion des quartiers en une ville ;

Explicitation et débat sur les développements et enjeux actuels de la ville.

 

 

 

 

animation - atelier

Entre vent qui tourne et coup de soleil. Focus sur les énergies renouvelables

animation - atelier, écoles
Actualisation de notre animation créée avec le CNHS sur les énergies - anciennement : L’énergie de la sueur à la vapeur

En nous fournissant chaleur, lumière et mouvements divers, différentes sources d’énergie ont donné, au cours de l’aventure humaine, un sacré coup de main à nos énergies musculaires. Au cœur de cette animation, l’histoire des découvertes et de l’exploitation des sources d’énergies se découvre à travers l’observation et la manipulation. S’y inscrivent les notions de durabilité et d’écologie qui nous amènent aujourd’hui à reconsidérer notre rapport au monde. Ainsi, l’exploration de quelques machines, dont la machine à vapeur, se poursuit par celle de l’éolienne et des cellules photovoltaïques. Les énergies renouvelables sont envisagées, dans leur mise en perspective historique, comme alternatives aux sources d’énergies plus polluantes. Le réchauffement climatique et la nécessité d’économies d’énergie sont enfin abordés sous l’angle d’un jeu. Celui-ci explore les petits gestes du quotidien qui permettent de réduire les gaz à effet de serre responsables du réchauffement climatique.

 

Objectifs
– Présentation de La Fonderie et des machines du musée /sensibilisation à l’histoire des sciences et des techniques dans un contexte industriel aujourd’hui muséal ;
– Apprentissage et classement des sources d’énergies / approche de machines élémentaires et de leur fonctionnement de base ;
– Observation et expression autour des résultats des observations ;
– Apprentissage d’un vocabulaire spécifique ;
– Compréhension du réchauffement climatique et de ses impacts sur le contexte de vie / sensibilisation au développement durable ;
– Sensibilisation à l’importance de la recherche scientifique et des nouvelles technologies liées à l’exploitation harmonieuse des ressources naturelles ;
– Apprentissages par le corps, les gestes et la concentration.

Déroulement
– Introduction au site de la Fonderie et aux sources d’énergies utilisées à l’époque du fonctionnement de l’usine ;
– Module participatif autour des sources et des formes d’énergies visant la compréhension de ce que sont les sources renouvelables et non renouvelables ;
– Démonstration du fonctionnement d’un moulin à eau et d’une machine à vapeur ;
– Montage de maquettes permettant d’expérimenter la production d’électricité à partir d’énergies renouvelables : éoliennes et cellules solaires ;
– Sensibilisation, via un jeu Mémo éco-gestes, aux enjeux liés au réchauffement climatique et à la nécessité de comportements plus sobres et économes en énergies.

L’animation se veut active, rythmée et participative

A destination du cycle supérieur de l’enseignement fondamental

Mémo éco-gestes – Règles du jeu

Mémo éco-gestes – cartes recto verso

Mémo éco-gestes – explications effet de serre 

🎧 Podcast et exposition

Venez découvrir notre nouveau podcast "On m'a dit que je devais bosser" dans notre expo "Unfree labor". 
📅 𝗖𝗔𝗟𝗘𝗡𝗗𝗥𝗜𝗘𝗥 :
18h30 : Podcast de “On ‘m’a dit que je devais bosser”.
19h10 : Fin du podcast
🤑 𝗧𝗔𝗥𝗜𝗙𝗦 :
Docu radiophonique et expo “Unfree labor” : 5€
✅ 𝗥𝗘𝗦𝗘𝗥𝗩𝗔𝗧𝗜𝗢𝗡 reservation@lafonderie.be
La réservation est souhaitée, mais pas obligatoire.
📍 𝗟𝗜𝗘𝗨 : Rue Ransfort 27 à La Fonderie
𝗣𝗥𝗢𝗝𝗘𝗧
Sortant tout juste des études secondaires ou avec déjà une belle carrière derrière eux.elles, les 10 participant.e.s au projet On m’a dit que je devais bosser initié par La Fonderie dans le cadre de l’exposition “Unfree labor” réalisent ensemble un podcast. Si aucun.e n’est spécialiste de la question du travail forcé ou non libre, tou.te.s en ont fait l’expérience, ont un avis et s’interrogent sur ce phénomène.
𝗣𝗨𝗕𝗟𝗜𝗖 𝗖𝗢𝗡𝗦𝗘𝗜𝗟𝗟𝗘́
Pour les adultes, bien que tout le monde soit le bienvenu.

À venir

Projection de "Shift" et rencontre avec la réalisatrice Pauline Beugnies

À venir28 novembre - 28 novembre 2023
Dans les villes, les coursiers sont de plus en plus nombreux à livrer des plats à domicile 𝗮𝘂 𝗽𝗿𝗼𝗳𝗶𝘁 de plateformes comme 𝗗𝗲𝗹𝗶𝘃𝗲𝗿𝗼𝗼 𝗼𝘂 𝗨𝗯𝗲𝗿 𝗘𝗮𝘁𝘀 dans des conditions de plus en plus 𝗽𝗿𝗲́𝗰𝗮𝗶𝗿𝗲𝘀 et 𝗱𝗮𝗻𝗴𝗲𝗿𝗲𝘂𝘀𝗲𝘀. Depuis 2017, des collectifs et des syndicats se mobilisent pour défendre leurs droits, 𝘁𝗲𝗻𝗶𝗿 𝘁𝗲̂𝘁𝗲 à ces 𝗺𝘂𝗹𝘁𝗶𝗻𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝗮𝗹𝗲𝘀 et remettre en question le modèle qu’elles tentent d’imposer.
✅ 𝗥𝗘𝗦𝗘𝗥𝗩𝗔𝗧𝗜𝗢𝗡 reservation@lafonderie.be
La réservation est souhaitée, mais pas obligatoire.
📅 𝗖𝗔𝗟𝗘𝗡𝗗𝗥𝗜𝗘𝗥 28 novembre de 18h à 21h
𝟭𝟴𝗵 Accueil et rencontre avec la réalisatrice Pauline Beugnies
𝟭𝟴𝗵𝟯𝟬 𝗮̀ 𝟭𝟵𝗵𝟯𝟬 projection du film “shift”
𝟭𝟵𝗵𝟯𝟬 𝗮̀ 𝟮𝟬𝗵𝟯𝟬 rencontres et discussions en présence de Martin Willems, (ACV-CSC United Freelancers – responsable national) et de Camille Peeters (animateur à la maison des livreurs et au ciep moc Bruxelles) consacré aux réalités du travail de coursier et à l’organisation des travailleurs·euses face au capitalisme de plateformes. Avec le soutien de la Fédération Wallonie Bruxelles.
Il est important d’arriver à l’heure afin de ne pas déranger la séance.
🤑 𝗧𝗔𝗥𝗜𝗙𝗦 5€ à payer à l’entrée du musée
📍 𝗟𝗜𝗘𝗨 Rue Ransfort 27 à La Fonderie

👨🏻‍🤝‍👨🏻 𝗣𝗨𝗕𝗟𝗜𝗖 𝗖𝗢𝗡𝗦𝗘𝗜𝗟𝗟𝗘́ Pour les adultes, bien que tout le monde soit le bienvenu.

𝗦𝗬𝗡𝗢𝗣𝗦𝗜𝗦 Shift, c’est l’histoire d’un coursier à vélo avec plus de 20.000 km au compteur et 5300 livraisons sur Bruxelles en un an. Le “maillot à pois” du meilleur coursier ! Il se bat quotidiennement contre un algorithme pour livrer des repas, jusqu’au jour où il se dit que non, il n’est pas d’accord d’être payé à la course parce que son employeur a changé les règles du jeu, malgré la “coolitude” de son métier devenu “flexi job”. Déçu et trahi, il décide alors de passer à l’action…
Partant de l’histoire singulière de Jean-Bernard, poursuivi en justice auprès de l’Etat belge par Deliveroo, Shift raconte l’histoire d’une transformation personnelle et d’un combat face aux conditions de travail et au projet de société du capitalisme de plateformes.
𝗠𝗢𝗗𝗘́𝗥𝗔𝗧𝗘𝗨𝗥 Esteban Martinez, sociologue du travail, Metices-ULB, animera ces différentes soirées organisées dans le cadre de notre exposition “Unfree Labor” afin d’y relier les nombreux points interpellant quant aux évolutions du monde du travail contemporain : quelles conditions, quels statuts, quels rapports de force, quels modèles, quelles normes ou quelles idéologies ou projets de société ?
Avec le soutien de la Commission Communautaire Française. 

À venir

🔉 Un musée de la prison à BXL ?

À venir
Découvrez pourquoi la transformation de la prison de Forest en un musée de la prison est une opportunité unique pour Bruxelles. Rejoignez-nous pour une discussion fascinante sur l'enfermement, la justice et l'impact sur notre société. Ensemble, explorons les liens entre l'histoire de cette prison et celle de la Belgique, tout en ouvrant un espace de réflexion citoyenne.🗝️🏛️

✅ 𝗥𝗘𝗦𝗘𝗥𝗩𝗔𝗧𝗜𝗢𝗡 : reservation@lafonderie.be
La réservation est souhaitée, mais pas obligatoire.
📅 𝗖𝗔𝗟𝗘𝗡𝗗𝗥𝗜𝗘𝗥 : 7 novembre
18h : Accueil
18h30 à 19h : Écoute du documentaire radiophonique
19h à 20h : Rencontre-débat
Il est important d’arriver à l’heure afin de ne pas déranger l’écoute des autres auditeur.ices.

🤑 𝗧𝗔𝗥𝗜𝗙𝗦 : 5€ à payer à l’entrée du musée
📍 𝗟𝗜𝗘𝗨 : Rue Ransfort 27 à La Fonderie
👨🏻‍👩‍🦰 𝗣𝗨𝗕𝗟𝗜𝗖 𝗖𝗢𝗡𝗦𝗘𝗜𝗟𝗟𝗘́
Pour les adultes, bien que tout le monde soit le bienvenu.

Dans le cadre de notre nouvelle exposition “Unfree labor”, venez écouter un documentaire radiophonique et participez à une rencontre-débat autour de la transformation de la prison de Forest et de Saint-Gilles en un musée.

Transformons la prison de Forest en un lieu de mémoire, d’histoire, d’ouverture d’esprit et de réflexion critique à l’heure où les différents «Masterplans Prisons» investissent massivement dans la construction de nouvelles prisons, à l’encontre des analyses criminologiques qui mettent en évidence l’impact négatif d’une telle politique.
En 2021, alors que le transfert des détenus de la prison de Forest vers celle d’Haren est décidé, des citoyens, des universitaires et des avocats créent une ASBL nommée 9m2 en référence à la taille d’une cellule. Ensemble, ils lancent le projet de créer dans la prison délaissée un musée et un centre de documentation, d’exposition et de recherche. Cette fermeture, c’est l’opportunité que le lieu devienne un espace de sensibilisation, de réflexion et de débats citoyens sur l’enfermement et le système pénal. Qu’est-ce que cela signifie de priver des personnes de liberté, pour elles et pour l’ensemble de la société ? Qu’est-ce que cela dit de notre société ? Quels liens entre l’histoire de cette prison et celle de la justice belge ?

À venir

💬 LECTURE PUBLIQUE - Le cimetière la mort et nous

À venir 9 novembre - 9 novembre 2023
Êtes-vous prêts à vivre une expérience unique ? Rejoignez-nous pour une soirée spéciale de lectures publiques où nous explorerons notre rapport à la mort et au cimetière, mais ne croyez pas qu'on ne fasse que pleurer, on rit aussi beaucoup.

📅 𝗖𝗔𝗟𝗘𝗡𝗗𝗥𝗜𝗘𝗥 : jeudi 9 novembre, de 18h à 20h
🤑 𝗧𝗔𝗥𝗜𝗙𝗦 : Gratuit, pas d’inscriptions
📍 𝗟𝗜𝗘𝗨 : Rue Ransfort 27 à La Fonderie
👨🏻‍🤝‍👨🏻 𝗣𝗨𝗕𝗟𝗜𝗖 : tout le monde est le.la bienvenu.e

Cette lecture publique extraordinaire vous fera réfléchir, rire, et peut-être même verser une larme ou deux. Cette soirée mettra en vedette les textes créatifs issus de notre atelier d’écriture sur le cimetière, la mort et nous.

Service éducatif

L'histoire de Belgique en 180 minutes

Service éducatif
Connaitre l’histoire de Belgique est-il nécessaire, voire utile ? Certainement, car elle permet de mieux comprendre le pays dans lequel nous vivons.

La Fonderie propose un module d’initiation pour apprivoiser l’histoire du pays. Il est destiné à un public non belge, dans le cadre des parcours de citoyenneté ou des Bapa. Notre pédagogie active permet de reconstruire l’histoire collectivement et d’en déterminer les fils conducteurs. Comment la Belgique s’est-elle constituée et développée ? Quels sont les enjeux des deux derniers siècles ? Comment a-t-on résolu conflits et désaccords ?

L’objectif général de l’animation est d’informer un public parlant français sur les événements fondateurs de l’histoire de la Belgique indépendante : histoire politique et sociale, immigration, colonisation, origine de la sécurité sociale.

Réservation : 

Pour commander votre atelier, veuillez consulter des détails pratiques à partir de cette page.

👂 Documentaire radiophonique et expo Unfree Labor

12 octobre - 12 octobre 2023
Venez profiter d'une 𝗘𝗫𝗣𝗟𝗢𝗥𝗔𝗧𝗜𝗢𝗡 𝗦𝗢𝗡𝗢𝗥𝗘 𝗜𝗡𝗘𝗗𝗜𝗧𝗘 dans notre nouvelle expo "Unfree Labor" et d'une part de quiche à notre guinguette.

📅𝗖𝗔𝗟𝗘𝗡𝗗𝗥𝗜𝗘𝗥 :
Toute la soirée : Découverte de notre exposition Unfree Labor disponible gratuitement.
18h30 : Documentaire radiophonique de “Mise au vert et petits oignons”.
🤑𝗧𝗔𝗥𝗜𝗙𝗦 :
Docu : au chapeau en fonction de vos moyens
Expo : GRATUITE
Quiches : 5 euros
📍𝗟𝗜𝗘𝗨 : Rue Ransfort 27 à La Fonderie

𝗦𝗬𝗡𝗢𝗣𝗦𝗜𝗦

Des prisonniers jardiniers, des potagistes souffrant d’addictions ou maltraité.es par le travail, des « vieux.eilles» à la mémoire défaillante, un aveugle passionné de tomates, livrent leurs rapports sensibles au jardin ; un jardin qui ne peut prendre soin de ses usager.es que si celleux-ci prennent soin de lui. Celleux que certain.es qualifient de différent.es, hors cadre, sont surpris les mains dans la terre, grattant, semant, bêchant. Ces personnages extraordinaires démontrent, avec humour, les bienfaits de l’hortithérapie. Au fil des saisons, iels s’émerveillent de la naissance des jeunes pousses, de la valse des salades, du piquant des piments, de la timidité des tomates ou encore de l’audace du haricot…Avec elleux, laissez-vous bercer par les sons de la nature. Cette mise au vert interpelle ; sommes-nous vraiment traités aux petits oignons ?

𝗣𝗨𝗕𝗟𝗜𝗖 𝗖𝗢𝗡𝗦𝗘𝗜𝗟𝗟𝗘́

Pour les adultes, bien que tout le monde soit le bienvenu.

💬 UNE VIE DE LABEUR - Lectures publiques

Depuis plusieurs années, La Fonderie organise un atelier d’écriture sur le travail : travail à l’école, travail domestique, travail au jardin, métier, travail bénévole… le travail tout au long d’une vie. De cet atelier sont issus des textes variés, documentaires ou de fiction, drôles ou graves, poétiques ou politiques…

Nous vous invitons à venir écouter quelques-uns de ces textes, parfois lus par leurs auteurs et autrices, lors d’une lecture publique à la guinguette de La Fonderie le jeudi 28 septembre, de 18 à 20h. Vous aurez aussi l’occasion de boire un verre et d’échanger avec les lectrices et les lecteurs.

animation - atelier

Multicéréales

animation - atelier, écoles
L'histoire des céréales à travers les civilisations

Multicéréales ou l’histoire des céréales à travers les civilisations

D’où viennent les aliments qui constituent notre quotidien alimentaire ? De quels continents proviennent les corn flakes, le café, les carottes ou le melon ? Qu’ils aient été importés chez nous il y a plusieurs siècles ou quelques années, nous consommons aujourd’hui des aliments provenant des quatre coins du monde. Souvent, nous connaissons peu leur origine et leur voyage d’un continent à l’autre. Cette première approche historique met avant tout en lumière la cuisine comme lieu de rencontre des différentes cultures.  C’est ensuite la découverte particulière de quatre céréales qui est sur le couvert : le blé, le maïs, le mil et le riz. Un point de départ pour expérimenter la fermentation, la transformation de céréales en farines et réaliser de bons petits gâteaux… à déguster sur le champ !

A destination du cycle supérieur de l’enseignement fondamental

animation - atelier

⚙️ Atelier Unfree Labor

animation - atelier, écoles 1 octobre - 21 janvier 2024

Unfree Labor est une construction collective. Le propos, le choix des contenus et leur traduction scénographique sont le fruit d’une co-construction par des étudiants, leurs enseignants et quatre musées, dont la Fonderie. L’amorce du projet était la question de la limite entre le travail libre et le travail non-libre. Quatre focus ont émergé sur des situations, pour certaines familières pour d’autres moins. A l’instar du processus collaboratif qui a abouti à l’exposition, nous proposons à chaque groupe-classe de progressivement construire et illustrer collectivement un point de vue en confrontant les notions de sens, de choix et de responsabilité liées au fait de travailler pour gagner sa vie. La réalisation de missions dans l’exposition, la découverte de témoignages, le partage d’idées, la mise en situation et la joute verbale permettent de confronter réalités concrètes et textes officiels, rapports de domination et d’exploitation, rôles respectifs dans ces mécanismes et marges de manœuvre vers d’autres formes de travail.

A destination des classes de l’enseignement secondaire 

PODCAST - On m'a dit que je devais bosser

éducation permanente - outils et services
29 janvier 2024
3 épisodes, 3 aspects différents du travail contraint : l’obligation scolaire, le travail des migrant.e.s et le travail menant au burnout. Découvrez avec vos groupes les 3 sujets et approfondissez la thématique.

Écoutez le podcast sur Spotify

Année de création : 2023

LA DEMARCHE

Sortant tout juste des études secondaires ou avec déjà une belle carrière derrière eux.elles, les 9 participant.e.s au projet On m’a dit que je devais bosser initié par La Fonderie dans le cadre de l’exposition Unfree labor ont réalisé ensemble un podcast. Si aucun.e n’est spécialiste de la question du travail forcé ou non-libre, tou.te.s en ont fait l’expérience, ont un avis et/ou s’interrogent sur ce phénomène.

Après quelques séances de réflexion et débats, soutenu.e.s par une animatrice en éducation permanente et un réalisateur, ils et elles se sont mis.e.s au travail – non forcé – pour vous présenter un podcast en plusieurs épisodes mêlant fiction et documentaire et dont les sujets ont été librement choisis.

Le projet a permis d’aborder sous un angle particulier les droits liés au travail. Il encourageait la réflexion des participant.e.s, la mise à distance et la pratique d’un certain esprit critique.

L’outil produit a les mêmes objectifs et peut servir de support à la réflexion et au débat pour d’autres groupes d’adultes.

 

Qui peut utiliser le podcast ?

Les formateurs, animateurs et enseignants travaillant avec des groupes d’adultes.

Avec quel type de public ?

Tout groupe ayant la volonté de débattre sur le sujet du travail, du travail contraint, du travail dans le cadre scolaire obligatoire, du travail des migrant.e.s ou du burnout.

Outil en ligne
Écoutez le podcast “On m’a dit que je devais bosser sur Spotify.

 

Qui a participé au projet ?

L’atelier « On m’a dit que je devais bosser » a été animé par Anne Brunelle et Rémi Desmots. Ce dernier a géré toute la partie technique du projet.  

La présentation du podcast a été écrite, tournée et montée par Ilyas Goban et Rémi Desmots. 

 L’épisode Travailleur.euse.s d’ailleurs a été écrit, tourné et monté par Elena Achótegui Sebastián, Louise Jonard et Mara Sescu. 

L’épisode Burnout a été écrit, tourné et monté par Halima Boulahia, Olivier Charlier, Sophie Hustinx et Zoé Maus.  

Le discours de la grève du 8 mars 2019 est dit par Roxane des Féministes Anticapitalistes. 

La chanson Bella Ciao est chantée par les femmes de Vie Féminine rassemblées le 26 novembre 2023 pour la journée de lutte contre les violences faites aux femmes. 

La chanson On se met en grève a été enregistrée lors du 8 mars 2019. 

Les textes lus sont extraits du Manifeste contre le Travail du groupe Krisis, Moi travailler ? Jamais ! de Bob Black et Non au temps plein subi de Samuel Michelin, Baptiste Mykonos et Lilian Robin. 


L’épisode
Obligations scolaires a été écrit, tourné et monté par Ilyas Goban, Joëlle Lequeu et Rémi Desmots. On y entend au début un extrait d’une enquête sur la capture des singes à l’île Maurice par l’émission Envoyé Spécial (https://www.youtube.com/watch?v=SwY8Fu-Rq8I).  

Dans cet audio, Ilyas et Rémi, deux générations différentes, racontent leurs parcours scolaires chaotiques dans une vision très personnelle. 

Illustrations par Rémi Desmots.  

Un projet du service éducation permanente de La Fonderie. Avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles et de la Région Bruxelles-Capitale.  

À venir

⚙ "MURS DE BRONZE" - Finissage, Ateliers et Concert

À venir, exposition temporaire, programmation culturelle10 décembre - 10 décembre 2023
Le finissage de "Murs de Bronze", c'est le moment de se glisser dans la peau d'un.e artiste et de couler une magnifique statuette en aluminium.

® Françoise Gutman réalise une coulée publique 2022
“Je travaille sur la grandeur et la petitesse, le lisse et le rugueux, les couleurs et le brut, les humains et l’architecture.”

📅𝗖𝗔𝗟𝗘𝗡𝗗𝗥𝗜𝗘𝗥 : L’évènement aura lieu de 13h à 17h
L’évènement aura lieu de 13h à 17h
Début de l’atelier à 13h et dernière arrivée à 15h30
L’atelier a lieu en continu de 13h à 16h.
1ʳᵉ coulée à 15h
2ᵉ coulée à 16h30
Le tout en musique !
🤑𝗧𝗔𝗥𝗜𝗙𝗦 :
EXPOSITIONS : Gratuit
ATELIERS DU MÉTAL : Prix libre
CONCERT : Gratuit
📍𝗟𝗜𝗘𝗨 : Rue Ransfort 27 à La Fonderie
👨🏻‍🤝‍👨🏻𝗣𝗨𝗕𝗟𝗜𝗖 𝗖𝗢𝗡𝗦𝗘𝗜𝗟𝗟𝗘́ : Pour toute la famille

Avec 𝗙𝗿𝗮𝗻𝗰̧𝗼𝗶𝘀𝗲 𝗚𝘂𝘁𝗺𝗮𝗻, découvrez la technique traditionnelle de la fonte au sable, dans le cadre de l’ancienne Compagnie des Bronzes, une authentique ancienne fonderie d’art. Vous pourrez fabriquer et emporter votre propre objet ou tout simplement profiter du spectacle de la coulée, accompagnés par les rythmes des claviers et de l’accordéon des musiciens de Flygmaskin. Les expositions permanente et temporaire du musée seront ouvertes ainsi que notre guinguette où vous pourrez trouver un peu de réconfort avec un chocolat chaud, un café ou une soupe bien chaude de notre chef Kazimierz. 😊

Flygmaskin vous propose un concert au casque. Ce sera l’occasion de déambuler librement, de flâner dans le lieu tout en profitant des coulées. Le duo invite au voyage vers l’intime, l’art, la poésie, la nature. Et chacun suit à son rythme l’accordéon, le clavier et le silence. Les casques, l’espace, la musique, forment alors le fil où le lieu et le son s’entremêlent, se subliment, et nous incitent à respirer, à prendre le temps de prendre le large…

Et étant donné qu’une bonne nouvelle n’arrive jamais seule, vous aurez également la possibilité de déguster la délicieuse soupe maison de La Fonderie ! Sans aucun doute, la perspective d’un après-midi particulier, dans un cadre inoubliable.

® Halle de coulée à La Fonderie 2023

Depuis des années, nous croisons Françoise entre deux groupes scolaires, dans un stage ou une journée de formation à La Fonderie. Son animation « les apprentis du métal » est une des activités phares de notre programmation éducative, et Françoise a donné l’occasion à des centaines d’apprentis bronziers, petits ou grands, novices ou spécialistes, de mieux comprendre la magie du travail du bronze. Elle nous a accompagnés avec un grand professionnalisme dans de nombreux projets, que ce soit l’élaboration du module « bronze » de l’exposition permanente ou encore dans la création des pavés qui jalonnent le chemin vers le musée des égouts. Françoise répond toujours « présente » à nos demandes, même pour les projets les plus fous.

Françoise Gutman, c’est qui ?

Sculptrice-Céramiste

Diplômée du « 75 » Bruxelles en céramique (1980) et de l’École supérieure des arts plastiques et visuels de l’état à Mons en sculpture (1985).

Mention au prix de sculpture d’Uccle en 1978 et 2008 et au prix Médiatine en 1987.

Depuis 1982, participe régulièrement à des expositions collectives (Belgique) et personnelles (Belgique, Suisse, France, Turquie).

Animatrice plasticienne aux services pédagogiques de différents musées dont La Fonderie dès 2016 et autres institutions culturelle ou sociale.

📍 Visites et découverte de l'atelier et démonstration du travail du vitrail

L'atelier Versicolore a été créé par Magali Jongen en 2007, dans le cadre d'une franchise de l'atelier Pierre Majerus à Etterbeek. Depuis octobre 2018, il est devenu indépendant et s'est installé à Schaerbeek.

L’activité artisanale se partage entre la création artistique de vitraux contemporains ou traditionnels et la restauration du patrimoine ancien. Utilisé au Moyen Âge dans les églises, les cathédrales et certaines demeures de prestige, le vitrail continue sa lancée, traversant les époques et s’adaptant aux différents styles, effectuant un retour spectaculaire à l’époque Art nouveau puis Art Déco.

https://heritagedays.urban.brussels/en/programme/schaerbeek/versicolore-workshop/

Grâce à son large stock de verres anciens, son expérience éprouvée et sa maîtrise de nombreuses techniques, l’atelier peut donc restaurer à l’identique nombre de verrières ayant subi le ravage des années. Mais la création occupe elle aussi une part importante et qu’il soit figuratif ou abstrait, le vitrail illumine toujours joliment de ses couleurs un bâtiment, qu’il s’agisse d’un restaurant, d’un hôtel de maître, de bureaux ou d’édifices religieux.

🎨 Atelier Sérigraphie Journée du patrimoine

Venez profiter d'un atelier de sérigraphie sur textile et créer votre propre tote-bag style art nouveau à La Fonderie le dimanche 17 septembre.

L’Art Nouveau relégué au musée ou dans les bouquins d’art ? ça n’est certainement pas le cas à La Fonderie. Profitez de notre atelier sérigraphique organisé par les élèves de l’école Sainte-Bernadette d’Auderghem pour créer vos tote-bags version mode 1900.

L’atelier a lieu en continu de 13h à 18h ce dimanche et des sacs en toile seront en vente sur place pour 5 euros.

Profitez également de la journée sans voiture pour faire un tour à vélo et visitez l’exposition “Made in brussel” et “Unfree Labor” disponible en ce moment à La Fonderie.

 

 

éducation permanente - outils et services

Dossier d’exploitation - Parcours Bruxelles pour les snuls

éducation permanente - outils et services
Ce dossier d’exploitation permettra à ses utilisateurs de structurer et partager leurs compétences et savoirs sur les thèmes satellites du parcours : à quoi sert une visite guidée – toponymie – aménagement du territoire – cohésion sociale au sein des villes et des quartiers – logement – transport – symbolique en architecture – aménagement du territoire ou aménagement intérieur et inclusion - gentrification

Description de l’outil/du service

Ce dossier invite les groupes à aborder une série de questions, débats et ateliers en utilisant leurs savoirs propres comme base de travail. Il peut être utilisé avant ou après avoir suivi le parcours Bruxelles pour les snuls et, pour une bonne partie des activités proposées, peut même être utilisé tout à fait indépendamment de la visite.

Objectif

Faire émerger des groupes d’utilisateurs un savoir qu’ils seront ensuite amenés à partager et structurer. Aborder une série de questions de société à partir de l’exposition, ou indépendamment de celle-ci.

Année de création                                                                      2023

Public

Ce dossier s’adresse aux formateurs, enseignants et groupes d’adultes dans un cadre d’éducation permanente, de formation, d’études…

Comment l’utiliser ?

Le dossier liste et explique une série d’activités à mettre en place avant ou après avoir suivi le parcours. Le temps de réalisation de ces activités peut varier entre deux heures et une année.

Outil/Service en ligne

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éducation permanente - outils et services

Dossier d’exploitation - Exposition Unfree labour

éducation permanente - outils et services
Ce dossier d’exploitation permettra à ses utilisateurs de structurer et partager leurs compétences et savoirs sur les thèmes satellites de l’exposition : travail forcé – esclavage moderne – travail en prison – travail au pair – travail syndical

Description de l’outil/du service

Ce dossier invite les groupes à aborder une série de questions, débats et ateliers en utilisant leurs savoirs propres comme base de travail. Il peut être utilisé avant ou après la visite de l’exposition Unfree labour et, pour une bonne partie des activités proposées, peut même être utilisé tout à fait indépendamment de la visite de l’exposition.

Objectif

Faire émerger des groupes d’utilisateurs un savoir qu’ils seront ensuite amenés à partager et structurer. Aborder une série de questions de société à partir de l’exposition, ou indépendamment de celle-ci.

Année de création

2023

Public

Ce dossier s’adresse aux formateurs, enseignants et groupes d’adultes dans un cadre d’éducation permanente, de formation, d’études…

La plupart des activités proposées sont tout public mais une activité en particulier est destinée à un public FLE ou alpha.

Comment l’utiliser ?

Le dossier liste et explique une série d’activités à mettre en place avant ou après la visite de l’exposition. Le temps de réalisation de ces activités peut varier entre deux heures et une année.

Outil/Service en ligne

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🎉 Super Dimanche

PROGRAMMATION EN COURS DE CONSTRUCTION POUR L’HIVER

MUSÉE GRATUIT- YOGA – SALON DE COIFFURE – DJ SET – BOUM – CHÂTEAU GONFLABLE- JEUX EN BOIS- MAQUILLAGE – EXPO – HAPPY HOUR – GUINGUETTE// GRATIS MUSEUM – YOGA – KAPPER – DJ SET – FEEST – SPRINGKUSSEN – HOUTEN SPELLEN – MAKE UP – TENTOONSTELLING – HAPPY HOUR – DANSZAAL
Le super dimanche c’est vraiment un super super super dimanche, à la Fonderie pour toute la famille et entre amis ! Super zondag het is echt een super super super zondag, in de guinguette de la Fonderie voor het hele gezin !
Du Super Chill Yoga (et même pas besoin d’être souple) x un super bain sonore avec Amandine (AMVZ) – en extérieur ou intérieur, selon la météo / Super Chill Yoga (en je hoeft niet eens lenig te zijn) x een geweldig klankbad met Amandine (AMVZ) – buiten of binnen, afhankelijk van het weer.
www.grand-hospice.brussels/portfolio-item/chill-yoga/
11:00 → 12:30
Un super DJ Set de DUPONT & DUCONT x un Dj Surprise ! / Een geweldige DJ-set door DUPONT & DUCONT x een verrassings-DJ
https://www.instagram.com/dupont_ducont/?igshid=ZDdkNTZiNTM=
 14:00 – 20:00
Un super salon de coiffure Open’hair by Sylvia, à prix libre // Een geweldige kapsalon Open’hair by Sylvia, voor gratis prijzen
www.slowhairsalon.be
14:30
Accès libre et gratuit à la superbe exposition permanente “Made in Brussels” de La Fonderie. // Gratis toegang tot de permanente tentoonstelling “Made in Brussels” in La Fonderie.
https://www.lafonderie.be/2020/03/28/exposition/
10:00 → 17:00
La superbe expo UNFREE LABOR qui invite les visiteurs à réfléchir et à prendre position sur des situations vécues aujourd’hui en Allemagne, en Belgique et au Grand-Duché de Luxembourg. // De prachtige tentoonstelling FREE LABOR nodigt bezoekers uit om na te denken over en een standpunt in te nemen over de huidige situatie in Duitsland, België en het Groothertogdom Luxemburg.
https://www.lafonderie.be/2023/06/07/unfree-labor/
10:00 → 17:00
🔥 Un super spectacle de fonte de bronze ! // Een fantastische bronsgietshow !
Une superbe heure joyeuse sur les bières aux fûts de Brussels beer Project // Een super HAPPY HOUR op Brussels beer Project’s cask ales
Une superbe guinguette pour fêter un super été en partenariat avec Brussels Beer Project // Een heerlijke guinguette om een geweldige zomer te vieren
https://www.lafonderie.be/…/la-guinguette-de-la-fonderie/
Venez profiter du ce site historique exceptionnel et verdoyant, et de sa superbe étagère remplie d’animations ! // Kom en geniet van deze uitzonderlijk groene historische site en zijn prachtige planken vol entertainment !

Parcours guidés

📍 Le cimetière de Laeken

Parcours guidés

Cette visite guidée vous emmène à la découverte du cimetière de Laeken, le plus ancien cimetière bruxellois encore en fonction. La première Reine des Belges, Louise-Marie d’Orléans, avait émis le souhait d’y être enterrée à sa mort en 1850. Elle y sera rejointe quinze ans plus tard par le roi Léopold Ier.

Après cet événement, l’aristocratie et la haute bourgeoisie ont également voulu être enterrées à Laeken. De nombreuses personnalités y reposent. Nombre de chapelles de style néogothique appartiennent à des familles notables du 19e siècle. Pour ne citer que quelques noms : le bourgmestre Volxem, l’architecte Poelaert, la Famille Vaxelaire, la famille Halot (proche des Cail & Halot)… On y trouve également des bronzes remarquables dont l’un des exemplaires du Penseur de Rodin.

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🏺 Atelier de modelage en papier mâché

14 août - 17 août 2023

À la Fonderie, Lou Cocody-Valentino propose un atelier de modelage en papier mâché pour les enfants du 14 au 17 aout, entre 14h30 et 16h30.  Gratuit, sur inscription : andrea@pali-pali.com

Lou Cocody-Valentino est une artiste basée à Bruxelles. Elle réalise des œuvres et expérimente avec tout ce qu’elle peut recycler : en imprimant des formes sur papier et tissus, en faisant fondre des plastiques, ou encore en sculptant du papier-mâché. 🌻

événement

📽 La rétroprojection du film Astro

événement


SYNOPSIS

Lorsque Baby et Charlie se rencontrent, elles ne savent pas encore que leur histoire d’amour fera basculer leurs vies. 7 ans plus tard, Lisa devenue Nicky, s’interroge sur les véritables raisons qui l’ont poussé à en faire un film.

 

🎵 Gouter électronique

Viens profiter du jardin de la Fonderie durant un gouter électronique par Mosfet Club et de nombreux jeux de la ludothèque  d’Anderlecht de 12h à 20h !

🎨 Mardi créatif


Le mardi créatif est un rendez-vous collectif avec soi-même.
… Comment ça ? Et bien il s’agit de se fixer un rendez-vous avec soi-même pour déconnecter de la réalité, du travail, des stress ambiants et prendre le temps de créer.
Et quand on dit créer, on parle de construire, peindre, écrire, mixer, monter… bref créer dans le sens du terme le plus large possible !

Rendez-vous à partir de 19h à la guinguette de la Fonderie ! 😃

💬 Noob night

On ne change pas une équipe qui gagne, pour la sixième édition de noob night :

Trois Noobers (intervenants) viennent partager leurs aventures, expériences, anecdotes, dans un bar sympa, avec une atmosphère bienveillante et décontractée. Chaque Noober prend la parole pendant 15 minutes, et s’en suit une séance de questions-réponses. Si tu ne prends pas le micro, tu peux juste venir écouter les histoires de Noobers, en sirotant un verre, entouré.e de chouettes personnes !

En français !

 

📽 Projection du film Amazad

Ce vendredi 25 août, revivez la sortie de résidence du collectif Ciné Luso 2023.

L’ensemble des artistes de la résidence présentent, en plein air à la Fonderie, le film qu’ils ont réalisé collectivement en un temps record, en l’espace de trois semaines. Le programme de la soirée s’annonce riche, avec un programme très spécial pour toutes et tous !

Entrée et activités gratuites

Parcours guidés

📍 La jonction Nord-Midi 

Parcours guidés

Dès l’introduction du chemin de fer en Belgique en 1835, une liaison ferroviaire à travers la capitale fait l’objet de multiples débats. Déjà dans les années 1850, ses premières ébauches sont mises sur la table. Les travaux cependant ne débutent que 50 ans plus tard pour se terminer après la Deuxième Guerre Mondiale. Ce n’est qu’en 1952 que le premier train traverse Bruxelles par la nouvelle Jonction Nord –Midi.

La visite vous invite à parcourir l’histoire fascinante des plus longs travaux publics du centre de la capitale, et à découvrir les effets produits sur le développement de la ville hier et aujourd’hui.

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Comme toutes nos visites, ce tour peut également être organisé sur commande, pour passer un bon moment entre collègues ou amis.

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🎵 Matinée x Lévitation System

When we think of the city, we often think of the daily hustle and bustle of getting around. Taking the train, tram, metro, bus, bike or leg carriage wherever we need them to take us. There’s little time to look around and take a breather. To take in the city and find a moment of peace. Matinée invites you to do just that. We provide space, food, something to drink, good company and most importantly: music. For those who want to bask in the afterglow of a great night out, or just enjoy a leisurely Sunday: treat yourself and come hang with us.
Bathing in bass⛲
Matinée welcomes you to the industrial site of a former fonderie in Molenbeek. La Fonderie is now the Brussels Museum of Industry and Work. We invite the robust sound of Levitation Soundsystem in their industrial garden. Together we specifically looked for artists who like to seek out heavy bass, but also see this within the framework of Matinée. Get ready for an afternoon full of vibrations. Let the bass reverberate between the leftover walls, the plants and our bodies!
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𝐋𝐈𝐍𝐄 𝐔𝐏
12:00 – 13:30 : 𝙰𝚕𝚙 𝙴𝚖𝚛𝚎 𝚋2𝚋 𝙳𝚘𝚞𝚠𝚎𝙼𝚊𝚊𝚛𝚝𝚎𝚗
13:30 – 15:30 : 𝚁𝚛𝚒𝚝𝚊 𝙹𝚊𝚜𝚑𝚊𝚛𝚒
15:30 – 17:30 : 𝚂𝚊𝚐𝚊𝚝 (𝚍𝚓 𝚜𝚎𝚝)
17:30 – 19:00 : 𝚐𝚊𝚒𝚔𝚘
19:00 – 21:00 : 𝙻𝚎𝚟𝚒𝚝𝚊𝚝𝚒𝚘𝚗 𝚂𝚘𝚞𝚗𝚍𝚜𝚢𝚜𝚝𝚎𝚖
► Free entrance with voluntary contribution.
► No reservations needed for the brunch.
► Bring a book, crosswords, blanket, pillow, toy, your best friend, your grandfather, … who/whatever you feel like having with you on a Sunday morning
Graphic design by Eveline Kurylak

⚒ Atelier de sculpture (en anglais)

29 août - 31 août 2023
Un coup de chasse percuté à la massette pour dégrossir la pierre… Bauw, bauw, bauw🔨
Un pic pour aplanir sa face … clic clic clic 🔧
Un ciseau pour tailler les évidements, les moulures… Wizzzz wizzzz wizzzz ✂
Une gouge pour révéler la délicatesse d’un drapé ou d’une boucle de pierre…. Chssssi chssssi chsssssi ⚒
Et bien d’autres gestes, d’autres outils, d’autres sonorités…. Pour apprivoiser le langage des pierres et perfectionner celui de Shakespeare.

Venez profiter d’une expérience unique à vivre à la fin de l’été avec le sculpteur David Natidze. Un artiste à la fois sensible et rigoureux qui, au-delà de sa riche et subtile création personnelle, participe régulièrement à des chantiers de restauration tels que celui des statues de la Grand-Place ou de la Cathédrale Saint-Michel et Gudule à Bruxelles.

Le stage est intégralement donné en anglais, une bonne occasion d’améliorer vos connaissances dans cette langue.
Le stage est annulé
The workshop is cancelled
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📽 Projection du film La Baguette

exposition temporaire

⚙ Vernissage - Unfree Labor

exposition temporaire21 septembre - 21 septembre 2023

Do we have the choice ? 

Avons-nous toujours la possibilité de choisir notre travail ? Pourquoi certaines catégories de personnes sont-elles susceptibles d’être reléguées dans des emplois de seconde zone ? Sommes-nous invariablement déterminés à contribuer à un marché de l’emploi inégalitaire ou avons-nous, comme consommateur, la possibilité d’un choix  ?

L’article 23 de la Déclaration universelle stipule : « Toute personne a droit au travail, au libre choix de son travail, à des conditions équitables et satisfaisantes de travail et à la protection contre le chômage. Toute personne, sans aucune discrimination, a droit à un salaire égal pour un travail égal ».

L’exposition « Unfree Labor » nous invite à explorer la transition floue entre un travail libre et non libre.  Loin d’être cantonné à des périodes les plus noires de notre histoire récente, le travail contraint demeure aujourd’hui encore une réalité. Les visiteurs y apprendront que l’absence de choix implique inévitablement une relation de dominance-subordination.

Que signifie véritablement la notion de choix pour les travailleurs du 21e siècle ?

« Unfree Labor” est une exposition engagée qui invite les visiteurs à réfléchir et à prendre position sur des situations vécues aujourd’hui en Allemagne, en Belgique et au Grand-Duché de Luxembourg. Dans nos pays riches et dits démocratiques, quelle est notre marge de liberté en prenant un emploi ?  Dans quelle mesure la coercition économique, juridique ou émotionnelle pousse-t-elle une personne à accepter un travail pouvant présenter des conditions injustes ?

Allemagne, Belgique, Luxembourg : trois pays si proches, mais aussi parfois très différents dans leurs rapports à l’emploi. A travers le cas des livreurs à vélo, des travailleurs domestiques, des abattoirs, du travail du sexe sur internet ou du travail carcéral, cette exposition nous propose de réfléchir aux réalités vécues par nombre de travailleurs précarisés.

A qui profite ce système ? Quels en sont les effets sur les personnes concernées ? Et comment promouvoir un travail plus équitable ?

« Unfree Labor » est une exposition qui informe mais pose aussi beaucoup de questions qui dérangent.  Elle souhaite aider le visiteur à mieux comprendre ce monde du travail que nous partageons.

L’exposition est également le résultat d’une démarche active d’étudiants d’universités et d’établissements supérieurs de ces trois pays et qui apporte un regard novateur et inédit de la jeune génération sur des questions sociétales.

exposition temporaire

Unfree Labor

exposition temporaire28 juin - 21 janvier 2024
RÉSERVER VOTRE TICKET
Do we have the choice ? 

Avons-nous toujours la possibilité de choisir notre travail ? Pourquoi certaines catégories de personnes sont-elles susceptibles d’être reléguées dans des emplois de seconde zone ? Sommes-nous invariablement déterminés à contribuer à un marché de l’emploi inégalitaire ou avons-nous, comme consommateur, la possibilité d’un choix  ?

L’article 23 de la Déclaration universelle stipule : « Toute personne a droit au travail, au libre choix de son travail, à des conditions équitables et satisfaisantes de travail et à la protection contre le chômage. Toute personne, sans aucune discrimination, a droit à un salaire égal pour un travail égal ».

L’exposition « Unfree Labor » nous invite à explorer la transition floue entre un travail libre et non libre.  Loin d’être cantonné à des périodes les plus noires de notre histoire récente, le travail contraint demeure aujourd’hui encore une réalité. Les visiteurs y apprendront que l’absence de choix implique inévitablement une relation de dominance-subordination.

Que signifie véritablement la notion de choix pour les travailleurs du 21e siècle ?

« Unfree Labor” est une exposition engagée qui invite les visiteurs à réfléchir et à prendre position sur des situations vécues aujourd’hui en Allemagne, en Belgique et au Grand-Duché de Luxembourg. Dans nos pays riches et dits démocratiques, quelle est notre marge de liberté en prenant un emploi ?  Dans quelle mesure la coercition économique, juridique ou émotionnelle pousse-t-elle une personne à accepter un travail pouvant présenter des conditions injustes ?

Allemagne, Belgique, Luxembourg : trois pays si proches, mais aussi parfois très différents dans leurs rapports à l’emploi. A travers le cas des livreurs à vélo, des travailleurs domestiques, des abattoirs, du travail du sexe sur internet ou du travail carcéral, cette exposition nous propose de réfléchir aux réalités vécues par nombre de travailleurs précarisés.

A qui profite ce système ? Quels en sont les effets sur les personnes concernées ? Et comment promouvoir un travail plus équitable ?

« Unfree Labor » est une exposition qui informe mais pose aussi beaucoup de questions qui dérangent.  Elle souhaite aider le visiteur à mieux comprendre ce monde du travail que nous partageons.

L’exposition est également le résultat d’une démarche active d’étudiants d’universités et d’établissements supérieurs de ces trois pays et qui apporte un regard novateur et inédit de la jeune génération sur des questions sociétales.

événement

Contes au musée - “Chemise en Bouche”

événement 4 juin
Dans le cadre du projet Contes au Musée, porté par la Fédération de Conteurs professionnels, La Fonderie vous invite ce dimanche 4 juin à assister à la performance “Chemise en Bouche”.
“Chemises, histoires, recyclage… rien que de la fripe, rien que du vécu ! Tout un monde d’histoires et de récits autour d’une envolée de chemises déjà mises. Tendus sur des fils à linge, les vêtements frémissent au vent. Des chants les bercent. Ils attendent une seconde vie… Chacune, chacun est invité à remonter les fils et à choisir chemise à son goût. Il y en a forcément une ! Laissez-vous conseiller puis guider vers un cocon de toiles blanches. C’est là que chemises et contes se transmettent… Alors, se vêtir d’une chemise ancienne, la recycler pour porter un conte tissé de coton à même la peau !”
———————————————————————–
« Contes au Musée » est un projet initié par la Fédération de Conteurs Professionnels, en partenariat avec Brussels Museums et MSW. Durant le printemps 2023, des conteurs professionnels vont porter leurs histoires dans les musées de Bruxelles et de Wallonie.
L’objectif est de permettre la collaboration de deux univers culturels distincts : l’art du conte, et le patrimoine, ainsi que la diversité des expressions artistiques qui se trouvent exposées dans les musées (arts visuels, art plastique, art du verre, etc…). Le projet a connu un franc succès, puisque 50 artistes conteurs et conteuses, et plus de 130 musées souhaitent participer au projet.

éducation permanente - projet

"Une vie de labeur" - Ateliers d'écriture en soirée

éducation permanente - projet

Que nous ayons un emploi ou que nous n’en ayons pas, que nous soyons jeunes ou que nous soyons âgés, que ce soit à l’école ou à l’usine, que ce soit par choix ou par nécessité… nous travaillons tous. Rejoignez-nous pour écrire votre travail.

Thématiques
Travail, écriture, atelier 

Description du projet
La Fonderie – Musée bruxellois des industries et du travail s’intéresse à toutes les formes du travail. Nous vous proposons de nous rejoindre pour une série d’ateliers d’écriture. Nul besoin d’être un grand écrivain, un prof de français ou un petit génie de l’orthographe. L’envie d’écrire est la seule condition pour participer.  

Venez écrire votre travail avec nous. Aidez-nous à documenter le monde du travail… 

Le projet atelier d’écriture “Une vie de labeur” dispose de son propre site internet. Vous pouvez y retrouver des textes écrits par les participants. Consultez-le en cliquant ici.

Publics
À partir de 15 ans 

Ateliers 2024

Atelier en soirée du lundi 9 janvier au jeudi 4 avril 2024.

Participation aux 9 soirées. 30€

L’atelier d’écriture se dote cette année de trois journées spéciales (de 10h à 16h30)

Le lundi 8 juillet : Conciliation vie privée-vie professionnelle

Le mardi 9 juillet : Santé et travail

Le jeudi 11 juillet : Le travail au féminin

Prix : 10€/jour. Les inscriptions sont ouvertes.

Contact et inscriptions
abrunelle@lafonderie.be – 02 413 11 85 – gsm 0499 134 955

événement

Visite en pleine conscience : Le Canal d'Obolensky

événement

Nous vous invitons à un parcours contemplatif le long des canaux peints par Alexandre Obolensky. La pratique de la présence attentive ou mindfulness nous fera entrer dans un autre temps afin de mieux percevoir et ressentir ce qui se passe à l’intérieur et à l’extérieur de nous. La séance intégrera également un brin de poésie et d’imagination de la matière selon Bachelard.

Jennifer Batla est historienne de l’art, guide conférencière et auteure de textes de médiation culturelle. Elle s’entraîne à la présence attentive, appelée également mindfulness, depuis maintenant plus de dix ans. Elle est certifiée par l’UCL pour l’enseignement de cette pratique auprès des jeunes.

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expositions antécédentes

Le Canal d'Obolensky

expositions antécédentes18 novembre - 1 mai 2023

Une invitation à la flânerie

Nous vous invitons pour une promenade immersive à la (re)découverte du canal de Bruxelles, dépeint par un artiste phare de la scène belge : Alexandre Obolensky. Une invitation à prendre un temps d’arrêt, à la flânerie et à la contemplation.

 

 

Connu comme peintre de décors de théâtre, opéra, ballet et exposition, Alexandre Obolensky (Bruxelles, 1952-2018) a également développé une œuvre personnelle autour du canal de Bruxelles.

Au fil des lumières et des paysages, le canal se métamorphose.

L’exposition invite à une balade sensible et contemplative, à la découverte d’une série de peintures troublantes par leur réalisme, qui nous exposent un canal pluriel capté par l’œil de l’artiste et interprété selon sa technique picturale.  Les œuvres sont des appels à s’arrêter, à observer et à questionner notre regard, notre perception de ce canal inscrit dans le paysage bruxellois, mais encore souvent méconnu.  

Photographier puis dé-photographier par la peinture, telle était la manière de procéder d’Obolensky.

Au travers du regard de l’artiste, cette promenade libre invite aussi à la découverte de son processus du création. Du choix de l’angle de vue à la transposition picturale par le quadrillage, l’exposition fait découvrir les différentes étapes d’une technique précise et rigoureuse. 

L’exposition s’adresse à un large public, aux amateurs d’art comme aux observateurs curieux, petits et grands, grâce à l’intégration de dispositifs interactifs dans le parcours du visiteur. 

Un catalogue de l’exposition est également proposé pour poursuivre la balade de chez soi ou dans les pas de l’artiste le long du canal.  

Pour ceux qui veulent en savoir plus sur l’artiste est également disponible l’ouvrage Alexandre Obolensky, rétrospective sur sa carrière de peintre de décors et sur son travail personnel. Illustré de nombreuses photographies et accompagné de témoignages d’observateurs et de collaborateurs privilégiés, il retrace une vie de peinture, un métier unique et particulier entre opéras, théâtres, grandes expositions et travail intime.  

 

 

🔥 Journée d'accompagnement bronze

ATELIER COMPLET

Vous avez réalisé un modèle de fonderie en plâtre, bois, plastique ou autre matériau et vous souhaitez le couler en bronze. Accompagné par Françoise Gutman, vous réaliserez votre moule en sable et vous coulerez votre pièce. Le tout en une journée à la Fonderie !

Chaque participant réalise un (seul) moule à partir d’un ou plusieurs châssis. La Fonderie met à votre disposition deux formats de châssis :
• rectangulaire L :40/ l :20/ h :5 cm (pour un bas-relief)
• circulaire D : 15/ h :5 cm (pour un volume plein).

Pour comprendre les possibilités et les contraintes de cette technique, référez-vous au vadémécum du stagiaire pour le bas-relief ou le vademecum pour le volume plein.

RÉSERVATION

Parcours guidés

📍 Le quartier des Fabriques

Parcours guidés

Cette visite vous emmène à la découverte de l’histoire industrielle et ouvrière de Bruxelles. Le « quartier des Fabrique », situé entre les boulevards centraux et le canal, est l’un des plus vieux quartiers industriels de la capitale.

L’industrialisation y débute dès la première moitié du 19e siècle ; elle est dense et diversifiée. On y voit pousser comme des champignons, sur un périmètre relativement réduit, des brasseries, imprimeries, papeteries, dépôts… mais aussi de nombreuses habitations ouvrières. Encore aujourd’hui, cette partie du centre-ville conserve de nombreux anciens bâtiments industriels remarquables que vous allez découvrir durant la balade.

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🧵 Stage d'initiation à la couture

29 août - 31 août 2023

Venez confectionner des accessoires simples à partir de coupons de tissus, à la machine à coudre. Ce stage peut être combiné avec le stage de teintures textiles, à partir des coupons de tissu que vous aurez préalablement teints.

RÉSERVATION

événement

Nocturnes X La Fonderie

événement
La Fonderie à le plaisir de faire partie des musées participants à la Nocturne des musées ce jeudi 13 avril de 18h à 22h. Une opportunité exceptionnelle pour vous de (re)découvrir notre site historique ainsi que nos expositions de nuit. L’ occasion pour nous de vous proposer une série d’activités inédites en continu toute la soirée.

PROGRAMME

VISITE CONTÉE : LE CANAL D’OBOLENSKY (FR)

Rencontres impromptues au bord du canal.

Performances contées et chantées

“Elles sont femmes des berges, filles du ruisseau.  Elles se tiennent au bord des tableaux comme au bord de l’eau. Elles chantent et murmurent aux oreilles de qui veut bien les entendre. Croiserez-vous leurs sillages?”

Performances de et par Julie Renson (conte) et Colienne Vancraen (chant).

Dans le cadre du projet Contes au musée (Fédération de conteurs professionnels).

→ En continu 

 

WORKSHOP : DESSINE COMME OBO’  (FR)

Enfourchez un vélo imaginaire et laissez-vous emporter par les images du canal vu par Obolensky. Dessinez votre part du décor sur un quadrillage, puis reportez-le, en grand cette fois, dans l’atelier.

Atelier par Pauline Meunier, Responsable pédagogie pour La Fonderie 

→ En continu 

STANDING GUIDE : EXPOSITION MADE IN BRUSSELS (FR/NL)

Guide volant bilingue FR/NL

→ En continu 

EXTRA-MUROS : BALADE SONORE (FR)

Promenade entre le Musée des Égouts et La Fonderie.

 Plus d’informations sur la page du Musée des Egouts.

Parcours guidés

📍 Mœurs et habitudes des années trente

Parcours guidés

Notre visite vous emmène à la découverte de l’histoire mouvementée des années trente à travers le patrimoine du quartier de l’Altitude Cent.

Le «mardi noir» du 29 octobre 1929 interrompt un courant des Années folles et marque le début d’une nouvelle ère. Les années trente s’imposent avec une crise économique, le chômage, des bouleversements sociaux, la crainte d’un nouveau conflit mondial… Pourtant, c’est aussi la période de l’introduction des premiers congés payés, de l’Exposition universelle et de la démocratisation du sport. C’est l’époque des cafés-dansants, des cinémas, de la radio et du Centenaire de la Belgique. Bref, c’est une décennie qui en dit long sur toutes les ambivalences d’une histoire que vous allez découvrir au long de cette balade.

Ce parcours n’est disponible pour une commande qu’à partir de l’octobre 2024.

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🎙 Atelier de réalisation de podcast

18 septembre - 11 décembre 2023

Appel à participant.e.s

Dans le cadre de l’exposition du Musée bruxellois des industries et du travail, intitulée Unfree labor, La Fonderie vous propose un atelier de réflexion, d’écriture et de réalisation d’un podcast sur le thème du travail forcé. Pour vous y inscrire, vous ne devez pas être un.e spécialiste de la question. Nous produirons ensemble notre propre définition du travail forcé et échangerons à propos de ce que nous avons envie d’en dire.

 

Calendrier :

Lundis 18 et 25 septembre de 18h15 à 20h45 > de quoi on parle ?

Lundi 2 octobre de 18h15 à 20h45 > visite guidée de l’exposition, échanges et réflexion

Samedi 7 octobre de 9h30 à 16h30 > comment on en parle ?

Lundi 9 octobre de 18h15 à 20h45 > formation technique et écriture scénographique

Samedi 14 et dimanche 15 octobre de 9h30 à 16h30 > tournage et ambiance sonore

Lundi 6 novembre de 18h15 à 20h45 > dérushage et plans

Lundis 13 et 20 novembre de 18h15 à 20h45 > montage

Lundi 11 décembre à 18h15 > écoute

Parcours guidés

📍 L'histoire du logement social à Molenbeek

Parcours guidés
Un siècle d’évolution des enjeux socio-politiques, urbanistiques et architecturaux

Cela fait un peu plus d’un siècle que, pour la première fois, la loi belge engageait la responsabilité de l’Etat sur la construction de logements publics. La loi de 1919 révolutionne ainsi le marché de habitations destinées aux personnes ayant des revenus modestes. Plusieurs quartiers industriels de Bruxelles, y compris ceux de Molenbeek, voient une expansion de leur nombre. Au cours du siècle, les ambitions et objectifs des pouvoirs publics varient et les logements sociaux prennent des formes diverses. Molenbeek en abrite toujours une partie importante.

La Fonderie vous invite à découvrir l’évolution de leur histoire depuis la construction des habitations populaires et ouvrières au 19e siècle jusqu’aux questions contemporaines portant sur la « mixité » des logements. Au long de la balade, vous allez ainsi apprendre comment les enjeux socio-politiques d’alors et d’aujourd’hui ont contribué à façonner le développement urbanistique, socio-économique et socio-culturel de Molenbeek et de toute la Région bruxelloise.

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Parcours guidés

📍 Les boulevards ouvriers

Parcours guidés
En descendant les boulevards oubliés de Bruxelles...

Il est difficile d’imaginer que les dernières fortifications militaires de Bruxelles ne sont démantelées qu’à la fin des années 1840. Sur leur tracés sont ouverts de larges boulevards destinés comme ailleurs à la promenade mais aussi à des fonctions bien différentes de celles du haut de la ville.

Les alentours du canal et du chemin de fer adoptent en effet des colorations plus industrielles. Assez vite, cette partie de l’ancienne enceinte se déclinera certes en immeubles résidentiels, mais aussi en bâtiments utilitaires, en usines et en entreprises. Au cours de notre balade, nous vous invitons à découvrir cette artère mal connue des Bruxellois, ainsi que ses multiples aménagements urbains qui continuent de transformer et de secouer la ville aujourd’hui.

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Comme toutes nos visites, ce tour peut également être organisé sur commande, pour passer un bon moment entre collègues ou amis (à partir du juin 2024):

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📍 Le passé industriel du quartier de Linthout

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La zone entre la station de métro Mérode et la chaussée de Louvain est surtout connue par ses rues bordées de maisons splendides de la Fin du siècle. La partie majeure de l’urbanisation du quartier de Linthout voit le jour à la suite d’une concrétisation des projets de boulevards de grande ceinture sous le règne de Léopold II quand on ouvre l’actuel boulevard Brand Whitlock. Pourtant, les rues charmantes en damier cachent dernier ses façades un cœur industriel.

La Fonderie vous invite à découvrir la cité ouvrière de Linthout, un des deux derniers exemples des plus vieux ensembles de logements ouvriers de toute l’agglomération bruxelloise. Venez apprendre l’histoire de ces habitations ouvrières pour mieux comprendre le contexte du développement de ce lieu industriel hors du commun.

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📍 L'église de Saint Josse

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Sur la route des bâtisseurs.

Cette visite d’une nouvelle série vous présente un petit bijou oublié de Saint-Josse, construit au milieu du 19e siècle au cœur de la commune.

Depuis un millénaire, l’urbanisation bruxelloise est intimement liée à son patrimoine religieux. Comme beaucoup de villes dans nos régions, Bruxelles évolue à proximité des lieux de culte: des églises, des couvents et des chapelles… Aujourd’hui ce patrimoine se décline en un large ensemble de bâtiments aux morphologies, échelles et styles divers.

Au cours de ces balades nous abordons ou découvrons ce qu’apportent différentes périodes historiques à l’architecture religieuse grâce aux avancées des techniques de construction, aux nouveaux matériaux et aux changements de conception spirituelle.

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📍 La collégiale des Saints-Michel-et-Gudule

Parcours guidés
Sur la route des bâtisseurs.

La Fonderie vous invite à une nouvelle série de visites d’églises bruxelloises, qui commence à la collégiale des Saints-Michel-et-Gudule dont les premières traces visible nous remontent au 11e siècle.

Depuis un millénaire, l’urbanisation bruxelloise est intimement liée à son patrimoine religieux. Comme beaucoup de villes dans nos régions, Bruxelles évolue à proximité des lieux de culte: des églises, des couvents et des chapelles… Aujourd’hui ce patrimoine se décline en un large ensemble de bâtiments aux morphologies, échelles et styles divers.

Au cours de ces balades nous abordons ou découvrons ce qu’apportent différentes périodes historiques à l’architecture religieuse grâce aux avancées des techniques de construction, aux nouveaux matériaux et aux changements de conception spirituelle.

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📍 La vie des gens ordinaires

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Une balade dans un ancien quartier portuaire de Bruxelles

Venez suivre une route d’antan dans un ancien quartier populaire au cœur de Bruxelles. Le Béguinage et l’hospice Pacheco, le Marché aux poissons et les Halles Saint-Géry… Tous endroits bien connus vous dévoileront leurs secrets comment vivait les Bruxellois et comment évoluait leur environnement au cours des 19e et au 20e siècles.

Cette balade est conçue et vous proposée par un guide indépendant spécialisé dans l’histoire du mouvement ouvrier.

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📍La Fonderie - Visite guidée

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La Fonderie vous invite à la rencontre avec le passé (post)-industriel de la Région bruxelloise.

On commence par explorer le site de l’ancienne Compagnie des Bronzes (1854-1979), une entreprise métallurgique spécialisée dans la réalisation de statues monumentales, de luminaires et d’objets de décoration en bronze. Cette fonderie d’art implantée aux abords du canal symbolise la croissance économique et industrielle de Bruxelles au 19e s, jusqu’à l’après deuxième guerre mondiale. Installée dans un des quartiers les plus industrialisés du pays pendant une centaine d’année, elle a participé à l’essor de ce quartier surnommé le Petit Manchester. Elle diffusait ses produits sur tous les continents. Aujourd’hui constitué de ruines et de bâtiments restaurés, d’espaces verts et de machines entreposées ; le site de cette ancienne fonderie permet une lecture complète et précise de l’organisation d’une usine.

Au cours de la deuxième partie de la visite, on parcourt l’exposition Made in Brussels. Abritée dans une ancienne halle typique de l’architecture industrielle, cette exposition est à la fois insolite et passionnante. Elle raconte avec des machines, des outils et des objets à travers quatre sections – le bois, le métal, la confection textile et l’alimentation – la vie quotidienne au temps des grandes industries bruxelloises. Musée d’histoire et de société, la Fonderie propose un regard inédit sur l’évolution socio-économique de la ville autant que sur les inventions technologiques, les contextes et les gestes de la vie quotidienne, depuis la Révolution industrielle au 19e s jusqu’à aujourd’hui, après la désindustrialisation.

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Pour les jeunes publics francophones – scolaires et extra scolaires – nous proposons une visite animée “Vapeur, machines et ouvriers” :

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📍 La seconde couronne industrieuse

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Sans doute vous avez déjà parcouru les 60 km de promenade verte qui vous amène à la découverte des coins insolites autour de Bruxelles. Mais savez-vous qu’une de ses parties les plus poétiques au bord de la Woluwe est tracée sur l’ancienne ligne de chemin de fer désaffectée dans les années 70’ ? Cette voie ferroviaire a été essentielle au développement de cette partie de la ville. Pourtant ses traces sont toujours perceptibles aux promeneurs attentifs et curieux.

Venez prendre un bol d’air en vous promenant avec La Fonderie tout en découvrant divers aspects industriels de ce chemin de la seconde couronne.

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📍 Boire et manger

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Boire et manger sont des activités usuelles normales et quotidiennes. Cependant les innovations techniques introduites par la révolution industrielle ont bouleversé les méthodes de production et de conservation, avec des conséquences considérables sur nos habitudes alimentaires et culinaires.

La Fonderie vous invite à la découverte des lieux de production alimentaire entre la place de la Duchesse (Molenbeek) et les abattoirs de Cureghem. Lors de votre balade, vous allez découvrir des raffineries de sucre, brasseries, entrepôts frigorifiques, fabriques de boîtes de conserves … et d’autres témoins de l’émergence d’une industrie agroalimentaire à Bruxelles.

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📍 Le canal sous tension 

Les canaux bruxellois sont une terre d’accueil historique des activités économiques utilisant la voie d’eau. On assiste aujourd’hui à un mouvement de transformation des terrains qui le bordent pour accueillir des activités culturelles et des logements haut de gamme.

La balade mettra en tension le versant anti-spéculatif du canal, celui des habitants et des travailleurs, comme lieu de vie et de ressources, avec un canal vu d’en haut, celui des promoteurs et des convoitises qui en font de plus en plus un lieu de rente, de spéculation ou de consommation.

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📍 Saint-Gilles, commune ouvrière

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Evoquer la commune de Saint-Gilles, c’est bien souvent vanter son patrimoine Art Nouveau, son somptueux hôtel de ville, ses bistrots un peu bohêmes… Mais si l’on veut mieux connaître et comprendre cette commune bruxelloise, il faut également l’envisager sous un angle trop souvent délaissé : son passé industriel, social et politique.

Voici donc une visite guidée hors des sentiers battus, en quête de témoins d’une histoire vieille de près de deux siècles. Une histoire qui a vu la transformation d’un petit faubourg rural en une commune industrieuse parmi les plus densément peuplées du royaume.

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📍 Le cimetière d'Ixelles

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Vous connaissez sans doute les abords du cimetière d’Ixelles, peuplés de cafés, de brasseries et d’estaminets en tous genres fréquentés par les étudiants de l’ULB toute proche. Mais êtes-vous déjà rentré dans cette nécropole ?

Ce cimetière n’est pas qu’un lieu d’inhumation. Il fut inauguré en 1877 en remplacement de deux cimetières locaux désaffectés. Il est connu pour la qualité des monuments funéraires et le nombre de célébrités qui y sont enterrées, de Victor Horta à Eugène Ysaÿe en passant par Charles De Coster. Plusieurs extensions ont transformé douze hectares en un lieu paisible au cœur d’un des quartiers les plus animés de la région bruxelloise.

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📍 L’Art Nouveau dans le Pentagone

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Les communes de St-Gilles, Ixelles et Schaerbeek sont des écrins bien connus de l’Art Nouveau dans la région bruxelloise. Le centre-ville de la capitale possède lui aussi de nombreuses perles de ce courant artistique que La Fonderie vous invite à découvrir durant notre balade.

Lors de cette visite guidée, nous aussi aborderons des aspects plus “sociologiques” de l’Art Nouveau et décrypterons ses véritables enjeux sociaux: qui sont les commanditaires, leurs intentions et leurs rapports avec le mouvement laïque de l’époque.

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📍 La “Halte Centrale” de la jonction Nord-Midi

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La gare Centrale est la deuxième gare du pays par sa fréquentation. Chaque jour, plus de 60.000 voyageurs y débarquent pour se fondre dans le centre de Bruxelles. Ils parcourent une immense salle d’attente en sous-sol, s’arrêtent peut-être dans une grandiose salle des guichets ou jettent un coup d’œil sur sa façade sobre et fonctionnelle.

Rares sont ceux qui savent que la construction de cette dernière œuvre de Victor Horta a pris plus de 40 ans. Sa réalisation a eu pour conséquence la destruction de quartiers entiers et le départ forcé de leur population.

Cette visite vous invite à regarder d’un autre œil ce monument ferroviaire et à découvrir l’histoire de son chantier dont les cicatrices sont toujours visibles.

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📍 Le quartier Nord, l’après-Manhattan 

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Pour certains d’entre nous, le “Quartier nord” évoque encore le souvenir datant des années 1960 et 1970 de la fameuse saga du Plan Manhattan. C’était l’époque des promoteurs et de la spéculation immobilière, d’autoroutes urbaines, d’habitants expulsés de leurs quartiers sinistrés au profit de projets démesurés qui ne verront jamais le jour, entre autres à cause de la crise pétrolière…

Le parcours vous propose de découvrir l’évolution et les réalités d’aujourd’hui dans ce quartier situé entre la Gare du Nord et le canal, où se côtoient fonctionnaires, migrants, habitants et commerçants.

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📍 Le quartier maritime

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Les constructions du site de Tour et Taxis et du port extra-muros au début du 20e siècle ont bouleversé la géographie urbaine de Bruxelles. Elles ont donné naissance à un nouveau quartier, appelé encore aujourd’hui le quartier Maritime. Les entreprises nationales et internationales s’y sont rapidement et massivement installées. Elles y bénéficiaient entre autres d’un accès aisé au canal, au rail et à la route.

Cette visite guidée raconte l’essor et le déclin d’un quartier pas comme les autres et vous invite à découvrir quelques fleurons du patrimoine industriel bruxellois tels que les anciennes usines Nestor Martin, Gosset, Byrrh, et bien d’autres encore.

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📍 Le cimetière de Molenbeek

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Le cimetière de Molenbeek-Saint-Jean est le premier cimetière laïque à être inauguré suite à la “guerre des cimetières” qui sévit au milieu du 19ème siècle entre catholiques et libéraux. C’est donc l’un des plus anciens de Bruxelles.

Il abrite quelques arbres remarquables et plusieurs monuments architecturaux impressionnants. Par exemple, ce monument aux bateliers qui rappelle la proximité du canal ou encore la galerie funéraire néoclassique, récemment restaurée.

Cette visite guidée vous fera voyager entre différentes époques et styles architecturaux : néoclassique, Art Nouveau et Art Déco.

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📍Le cimetière de Bruxelles

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Cette visite guidée au sein du cimetière de Bruxelles vous amène à porter un regard original sur le travail des bronziers, dont ceux de la Compagnie des Bronzes. Les tombes et monuments funéraires y sont d’une grande qualité. Elles doivent beaucoup au savoir-faire des fonderies et artistes bruxellois.

Par la richesse de son patrimoine, ce cimetière permet d’embrasser l’évolution de la statuaire, selon les styles, les techniques et les choix des matériaux. Il constitue aussi une porte d’entrée originale pour découvrir l’histoire de Bruxelles par les personnalités qui y sont enterrées : Charles Buls, Jean Volders, César De Paepe, Charles Albert, Henri Beyaert, Théodore Verhaegen…

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📍 Schaerbeek industriel

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La révolution industrielle a bouleversé la vie pastorale de Bruxelles et des commune limitrophes. Tout à coup, l’agglomération bruxelloise devient le premier centre industriel du pays. Les entreprises les plus importantes s’implantent le long du “croissant industriel” qui traverse les communes d’Anderlecht, Molenbeek et Schaerbeek. Elles s’installent le long du canal et des lignes de chemin de fer, voies de transport indispensables au développement de leurs diverses activités.

La commune de Schaerbeek voit aussi se développer une zone d’activité prospère à proximité du talus ferroviaire. La Fonderie vous propose de parcourir le quartier qui relie la Gare du nord et la Gare de Schaerbeek à la recherche de ses anciennes fabriques et friches industrielles d’en apprendre plus sur leurs affectations actuelles.

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De la soif au soulagement 

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D’où vient notre eau potable et que deviennent nos eaux usées aujourd’hui ? Qui en a la gestion ? Quelles sont des perspectives et les solutions ? Plusieurs questions très pertinentes en lien avec le recyclage et l’épuration opérés par les nouvelles technologies. Remontons le temps… Pourquoi et comment la ville a intégré la distribution d’eau et le réseau d’égouts au fil des siècles ? Quels étaient les métiers impliqués dans ces activités ? Quelles traces urbanistiques, sociales et artistiques sont encore visibles ?

Ce parcours thématique atypique dans le centre de Bruxelles vous propose un autre regard sur nos deux besoins naturels plus ou moins pressants auxquels nous sommes tous régulièrement confrontés dans l’espace public.

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Les bronzes du Jardin Botanique

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Le jardin botanique de Bruxelles a connu une histoire mouvementée. Il a été ouvert en 1829 comme lieu de conservation et de recherche en botanique et horticulture. Il a ensuite perdu cette fonction au profit du jardin botanique de Meise. Malgré les nombreux travaux qui l’ont amputé au cours du 20ème siècle, il reste l’un des plus anciens et des plus beaux parcs publics de la capitale.

 Aujourd’hui, le parc du Botanique est un lieu de promenade apprécié. L’art et la culture y ont leur place : concerts en plein air, sculptures en bronze etc. Ces dernières forment un ensemble assez exceptionnel qui nous permettra d’aborder techniques de production, courants artistiques et significations symboliques…Cette visite guidée vous fera bondir dans le passé !

La visite du 9 juillet est annulée

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Le Petit Sablon et ses 48 métiers

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Le square du Petit Sablon, créé au 19e siècle, constitue un hommage romantique rendu par la bourgeoisie bruxelloise à la Belgique idéalisée de la Renaissance. Le parc est chargé de symboles et de messages historiques ou idéologiques.

Les comtes d’Egmont et de Hornes, élevés au rang de martyrs, trônent au sommet de la fontaine. Ils sont entourés de 10 personnalités marquantes du 16e siècle. Parmi elles, des penseurs et des scientifiques mais également d’autres grandes figures de l’opposition à Philippe II. Tout autour se dressent les fameuses 48 statues figurant les métiers bruxellois et leurs corporations.

Cette visite guidée vous invite à explorer toutes les facettes de cet ensemble, réalisé par la Compagnie des Bronzes.

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La Cité de Moortebeek

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Au lendemain de la Première Guerre Mondiale naissent les cités-jardins coopératives. Au fur et à mesure de leur construction, elles finissent par constituer ce que l’on appelait “la ceinture rouge de Bruxelles”.

Lors de cette visite, La Fonderie vous emmène à la découverte de la Cité de Moortebeek.  Son histoire commence grâce à l’initiative de la société coopérative « les Foyers collectifs » qui s’est installée en 1921 dans les locaux de la Maison du Peuple de Bruxelles. Assez vite, 354 maisons avec jardins sont bâties sur un terrain situé aux confins de Molenbeek et d’Anderlecht. Les habitations sont conçues par sept architectes dont Joseph Diongre, Fernand Brunfaut et Jean-François Hoeben sont les plus connus.

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Sur la route de la laine

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Le 14e siècle verra le triomphe du drap de Bruxelles, qui dominera le marché international par sa qualité et par son prix. A la Cour de France, le roi n’utilise que du drap de Bruxelles pour ses six robes ou ensembles. On retrouve le fameux drap jusqu’à Constantinople.

Cette visite de La Fonderie se concentre sur la laine et ses productions dérivées qui firent la renommée de Bruxelles dès le Moyen-Âge. Vous allez parcourir les lieux clés de sa production et de sa commercialisation. La balade s’achèvera dans la salle des tapisseries de la Maison du Roi, où vous découvrirez la symbolique qui se cache dans quelques admirables tapisseries.

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📍Les métiers et matériaux de l’Art Nouveau

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Souvent, l’Art Nouveau n’est envisagé que sous des angles esthétique ou historique. Cette visite guidée vous emmène en amont de ces considérations. Elle vous fait également découvrir les savoir-faire et les techniques qui se cachent derrière ce courant qui a marqué Bruxelles de ses lettres de noblesse.

Au 19è siècle, les architectes utilisent de plus en plus les productions industrielles, tant les matériaux que les éléments produits en série. Ils continuent cependant à faire appel à des artisans et des artistes qui démontrent une exceptionnelle maîtrise de leurs métiers. La Fonderie vous invite à en découvrir quelques magnifiques exemples durant ce parcours à Saint-Gilles.

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📍De l’usine Godin au centre Docks

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En 1858, l’industriel français Jean-Baptiste Godin acquiert un vaste terrain sur la rive du canal afin d’y installer une succursale de sa fonderie de Guise (Aisne). Adepte des idées sociales, Godin est sensible aux conditions de travail et de vie de la classe ouvrière. Dans cette perspective, il conçoit un Familistère à Laeken destiné au logement communautaire des familles de ses travailleurs.

En 1970, les derniers habitants le quittent suite à la fermeture de l’usine. Pendant des décennies, le site resta à l’abandon jusqu’au moment où on installe sur ses vestiges un vaste site commercial.

Notre visite vous emmène à la découverte de traces de cette utopie sociale, très éloignée des vêtements bon marché qui y sont vendus aujourd’hui.

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(Un arrêt étant prévu dans le petit espace Godin nous limitons cette visite à un nombre restreint de 10 personnes.)

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Sur les quais de Sainte-Catherine

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Durant des siècles, le quartier Sainte-Catherine était un des quartiers les plus animés de Bruxelles. Dès le 16e siècle, l’ancien port intérieur s’étendait de la Tour Noire à l’actuel square Sainctelette, attirant de nombreux commerçants, voyageurs, bourlingueurs et baladins.

La visite de La Fonderie vous invite à découvrir ce qui reste de ces anciens bassins. Durant notre parcours, vous apprendrez à percevoir des traces d’activités portuaires toujours visibles. Vous verrez les tracés de quais où étaient déchargées les marchandises et depuis lesquels les voyageurs embarquaient pour Anvers, de nombreux entrepôts, des ruelles et impasses. Dans l’une d’elles, la potale de Saint-Roch nous protège encore de la peste et d’autres maladies apportées par les bateaux.

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📍 Molenbeek Petit Manchester

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Le Vieux Molenbeek, quartier situé en bordure du canal, est communément appelé “le petit Manchester belge”. En effet, il fut un temps où Bruxelles était la deuxième ville la plus industrialisée au monde après Manchester, en Angleterre.

Usines, ateliers et fabriques ont ainsi déterminé l’univers urbain et social de ce territoire jusqu’à aujourd’hui. Peu de quartiers ont connu une histoire sociale aussi intense. Notre visite guidée vous invite à explorer ces places et ces rues au travers de leur histoire et de leurs enjeux contemporains.

Notre visite s’achèvera au Musée bruxellois des industries et du travail, dont l’accès aux expositions vous sera offert.

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📍 Les bières bruxelloises

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Cafés, buvettes, brasseries, estaminets ou caberdouches fleurissent à Bruxelles tout au long des 18e et 19e siècles. Ces lieux de socialisation et de consommation se comptent rapidement par milliers et sont alimentés par un nombre considérable de brasseries.

Ce parcours permet de découvrir l’évolution et la diversité des bières bruxelloises, de la Gueuze traditionnelle à la Pils industrielle. Il commence par une balade à travers le cœur historique de la ville et se termine par la visite d’une brasserie bruxelloise toujours en activité : la brasserie Cantillon. Une dégustation clôturera la balade.

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événement

Bruxelles, ville textile

événement17 mars - 25 mars 2023
La Fonderie vous accueille du 17 au 26 mars pour une série d’événements autour de l’exposition “L’entrepreunariat immigré bruxellois” au MigratieMuseumMigration à Molenbeek.
Trois jours de réflexion/débat autour de la production, diffusion et commercialisation du textile à Bruxelles et ailleurs. Un voyage dans les transformations du système capitaliste : suivez avec nous le fil d’un parcours allant des fripes à la fast fashion, des quartiers de grossistes aux grandes chaînes multinationales, des petits entrepreneurs migrants aux grosses industries textiles…
Événement Facebook
– PROGRAMME –
Dimanche 19 mars 15h
« Textile et transformation du système capitaliste » avec Michel Peraldi et Martin Rosenfeld (IEB).
Lundi 20 mars 18h
Musée des migrations
« Les réseaux migrants de la mondialisation par le bas : les quartiers Triangle et Heyvaert à Cureghem » avec Michel Peraldi, Martin Rosenfeld, Albert Aniel et Yulan Loute.
Mardi 21 mars 18h30
Projection du documentaire « Open secret, au cœur de la mode made in UK » (44’, vo EN st FR/NL) présenté par Denis Clérin (achACT) : les conditions de travail désastreuses des 10 000 personnes dans l’industrie textile britannique à Leicester.
– 𝑬𝑿𝑷𝑶 –
Durant toute la semaine à La Fonderie, du samedi 18 au dimanche 26 mars une Exposition de créations textiles des Ateliers Stylisme St-Luc Bruxelles autour du recyclage.
En partenariat avec Inter-Environnement Bruxelles, achACT, Institut Saint-Luc et le MigratieMuseumMigration.
La Fonderie©
La Fonderie©

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📍 Tour & Taxis, un patrimoine de classe mondiale

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Véritable catalogue d’architecture et de génie civil, le site de Tour & Taxis est un chef-d’œuvre de l’âge d’or de l’industrialisation. Il illustre le savoir-faire des ouvriers et des ingénieurs belges de l’époque : maîtrise de l’acier, du fer, de la pierre, du verre et du béton. Il fait aujourd’hui l’objet d’un des plus ambitieux aménagements bruxellois. Sa réaffectation est cruciale non seulement pour les quartiers voisins, qui furent en grande partie sinistrés depuis la fin de ses activités, mais également pour l’ensemble de la région bruxelloise.

Cette visite guidée de Tour & Taxis vous invite à en explorer l’histoire mouvementée, ainsi que les enjeux et opportunités actuels.

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📍Pavés de Bruxelles

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La controverse perdure à propos des pavés bruxellois. Ils sont perçus par certains comme un archaïsme néfaste dont il faut se débarrasser. D’autres les considèrent comme un trésor, fruit du labeur et de l‘habileté de nos grands-parents.

Cette visite vous permettra de découvrir ce joyau méconnu de notre patrimoine, humbles pierres sur lesquelles nous marchons sans y prêter attention. Vous apprendrez la grande diversité des pavés bruxellois, d’origine, de couleur, de texture, de relief, de format et de matériaux variés. A l’issue de cette visite vous pourrez les reconnaître au premier coup d’œil !

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📍La ceinture ferroviaire Est de Bruxelles

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Si la Belgique est le premier pays sur le continent européen à s’être lancé en 1835 dans l’aventure ferroviaire, il a fallu plus d’un siècle pour établir une liaison stable dans sa propre capitale. Une des premières voies ferroviaires qui contournait la ville bien avant la Jonction Nord-Midi était la ceinture ferroviaire Est de Bruxelles.

Lors que de cette visite guidée vous découvrirez cette ancienne voie qui se fait aujourd’hui très discrète. Ses traces s’avèrent pourtant bien visibles pour qui prend la peine de les découvrir.

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éducation permanente - outils et services

Publication - Le Cimetière, La Mort et Nous

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La mort de toute chose, de tout être vivant, est inéluctable. Elle nous attend tous au bout du chemin. Dans le monde, elle est vécue différemment d’un peuple à l’autre, d’un groupe à l’autre, d’une culture à une autre. Notre âge ; notre culture, qu’elle soit familiale ou nationale ; nos expériences… nous font appréhender la mort de façon différente de celle avec laquelle l’appréhenderont nos parents, nos frères et sœurs ou nos voisins. De quelle façon fréquentons-nous le cimetière ? Pourquoi l’évitons-nous ? Qu’y cherchons-nous, qu’y redoutons-nous ? Quel est notre rapport à la mort ? Serein ou angoissant ? Nous paraît-elle proche ou éloignée, effrayante ou attendue ?

Imaginez un lundi matin de juillet 2022 : une dizaine de personnes se rencontrent dans le cimetière de Molenbeek et vont y passer la journée. Il fait chaud, l’ambiance est détendue et les participant.e.s à l’atelier « Le cimetière, la mort et nous » sont curieux.ses d’entamer cette drôle de semaine durant laquelle nous ne parlerons que de cimetière et de mort.

Activité de prise de parole pour mieux faire connaissance, visite guidée du cimetière et, l’après-midi, un atelier photo, sont au programme de cette journée mémorable passée dans un cimetière. Le reste de la semaine sera fortement marqué par cette première journée.

Le mardi matin, heureux.ses de nous retrouver, nous entamons la phase d’écriture à La Fonderie. Très vite, les participant.e.s s’ouvrent les un.e.s aux autres et la lecture à voix haute des textes produits provoque des émotions variées : certains textes émeuvent aux larmes, d’autres nous font pleurer de rire. Respect, ouverture, curiosité, tendresse, nostalgie… sont au rendez-vous.

Ajoutez à cela un atelier collage le jeudi et une introduction à l’art de l’origami le vendredi, et vous obtenez le livre-témoignage Le cimetière, la mort et nous. Vous pouvez acheter la publication à l’accueil du Musée bruxellois des industries et du travail (9€).

Le livre est accompagné d’une fiche pédagogique et de pistes d’exploitation pour groupes d’adultes. Vous pouvez recevoir la fiche sur simple demande à abrunelle@lafonderie.be.
Deux autres ateliers d’écriture ont eu lieu, en 2023, autour de la même thématique. Des textes y ont été produits, que vous pouvez retrouver ici : https://sites.google.com/view/lecimetierelamortetnous/accueil

les Cahiers de La Fonderie

Oh ! Ça ne coule pas de source - Cahier n°54

les Cahiers de La Fonderie, publications
Oh ! ça ne coule pas de source - cahier n°54
Couverture du Cahier de La Fonderie n°54 Oh ! Ça ne coule pas de source
Couverture du Cahier de La Fonderie n°54 Oh ! Ça ne coule pas de source

L’exposition « Oh! Ça ne coule pas de source » s’est tenue à La Fonderie d’octobre 2021 à juin 2022, à l’occasion des 130 ans de Vivaqua.

Conçue à partir de recherches historiques originales, cette exposition cherchait à rendre visible « tout » ce qui permet aux Bruxelloises et Bruxellois d’avoir accès à l’eau au quotidien. D’où vient l’eau que nous utilisons chaque jour ? Comment arrive-t-elle à Bruxelles ? Depuis quand y a-t-il de l’eau dans nos maisons ? A quoi sert-elle exactement ? Qu’arrive-t-il une fois qu’elle rejoint les égouts ? Où va-t-elle ? Comment fait-on pour se laver quand on n’a pas de chez soi ? Qui veille à ce que tout fonctionne ? Pourquoi doit-on payer l’eau ?

Toutes ces questions, et bien d’autres, étaient abordées au cours d’un parcours « de la source à l’égout », interactif et magnifiquement scénographié, y compris pour les plus petits. Vous l’avez manquée ? Quel dommage !

Heureusement, le présent Cahier, richement illustré, permet de retrouver l’essentiel des sujets traités dans l’exposition… et même davantage. On y découvrira différentes facettes de l’histoire de l’eau quotidienne à Bruxelles pour s’apercevoir qu’elle est loin de n’être qu’une « ressource naturelle » qui « coulerait » de source. En effet, elle est au cœur de questions sociales, politiques, culturelles, techniques et environnementales que chaque époque doit réactualiser. Riche d’une douzaine de contributions originales et agrémenté d’interviews de travailleurs et d’acteurs de l’eau, ce Cahier n°54 réactualise lui aussi les questions posées dans le n°16 paru en 1994.

Sommaire :

INFRASTRUCTURES ET MÉTIERS

  • Les dessous de l’eau quotidienne, une longue histoire à Bruxelles Chloé Deligne
  • Goûteur d’eau professionnel – Joël Minet, cantonnier chez Vivaqua Chloé Deligne et Martin Georges
  • Traqueur de fuites -Christian Debuyst, fontainier-expert chez Vivaqua – Chloé Deligne et Martin Georges
  • Le tout-à-l’égout bruxellois, brève histoire d’un grand méli-mélo Ananda Kohlbrenner et Aude Hendrickx
  • Mélodies en sous-sol –
    Daniel porton et José Alamigos, égoutiers chez Vivaqua – Ananda Kohlbrenner et Martin Georges
  • Le projet Hydrobru à La Fonderie

DE L’EAU CHEZ SOI

  • De l’eau dans la maison ? L’équipement sanitaire dans le logement bruxellois depuis le 19ième siècle – Chloé Deligne
  • Plombiers bruxellois, un maillon essentiel dans la création du confort sanitaire moderne – Matthijs Degraeve

DE L’EAU HORS DE CHEZ SOI

  • Les fontaines d’eau potable à Bruxelles, Déserts et dégels          Pauline Bacquaert
  • Bains publics et hygiène populaire en Belgique (19è-20è siècles) Sophie Richelle
  • César de Paepe et les Bains Léopold – Martin Georges et Jean Puissant
  • Les bains publics molenbeekois, un futur incertain… – Pauline Bacquaert et Sophie Richelle

DE L’EAU A PAYER

  • Le prix de l’eau, ça n’existe pas ! – Chloé Deligne
  • De l’eau à quel prix: Entretien avec Laurence Bovy, Directrice Générale chez Vivaqua & Juan Carlos Sanchez, chargé de mission “plaidoyer” à la fédération des services sociaux – Françoise Marneffe & Pascal Majérus

éducation permanente - outils et services

Dossier d’exploitation de l’exposition Le canal d’Obolensky

éducation permanente - outils et services
Ce dossier d’exploitation permettra à ses utilisateurs de structurer et partager leurs compétences et savoirs sur les thèmes satellites de l’exposition : activités humaines – aménagements urbains - art/métier d’artiste – de l’importance de s’informer et de se documenter, de recouper ses sources – déterminisme social/libre choix - esprit critique – intergénérationnel - militantisme – participation citoyenne - vie citadine

Année de création 

2022  

Description de l’outil/du service 

Ce dossier invite les groupes à aborder une série de questions, débats et ateliers en utilisant leurs savoirs propres comme base de travail. Il peut être utilisé avant, pendant ou après la visite de l’exposition Le canal d’Obolensky et, pour une bonne partie des activités proposées, peut même être utilisé tout à fait indépendamment de la visite de l’exposition.  

 

 

Objectif 

Faire émerger des groupes d’utilisateurs un savoir qu’ils seront ensuite amenés à partager et structurer. Aborder une série de questions de société à partir de l’exposition, ou indépendamment de celle-ci.   

 

Public 

Ce dossier s’adresse aux formateurs, enseignants et groupes d’adultes  dans un cadre d’éducation permanente, de formation, d’études… 

 

Comment l’utiliser ? 

Le dossier liste et explique une série d’activités à mettre en place avant, pendant ou après la visite de l’exposition. Le temps de réalisation de ces activités peut varier entre deux heures et une année. 

 

Outil/Service en ligne 

 Téléchargez le document d’exploitation de l’expo Obolensky.

Mon musée de rêve

Avez-vous déjà visité votre musée de rêve ? Le musée idéal, celui auquel vous aspirez, l’exposition qui apporterait des réponses à toutes vos questions, le musée qui vous emporterait dans un monde fantasmé ?

Non, jamais ?

Alors venez le dessiner avec nous !

Des séances préparatoires (qu’est-ce qu’un musée ? Quels en sont les lieux-clés ? Qui y travaille et qu’y fait-on ? Comment ça fonctionne ?) et des ateliers de dessin vous sont proposés pour aboutir à une publication qui présentera aux lecteurs votre musée idéal.

Programme et calendrier

Mardi 10 janvier de 18h15 à 20h15 : brainstorming autour de « mon musée de rêve »…

Mardi 17 janvier de 18h15 à 21h15 : visite du musée et rencontre avec le personnel

Mardi 24 janvier de 18h15 à 20h45 : préparation de l’atelier dessin

Mardi 31 janvier de 18h15 à 20h45 : écriture du synopsis, exercices de dessin

Mardi 7 février de 18h15 à 20h45 : scénario et essais graphiques, rencontre avec des scénographes, recherches iconographiques

Mardi 7 mars de 18h15 à 20h45 : découpage technique, exercice d’autoportrait

Mardi 14 mars de 18h15 à 20h45 : différentes techniques de couleurs

Mardi 21 mars de 18h15 à 20h45 : mise au propre et encrage

Mardi 28 mars de 18h15 à 20h45 : finalisation des dessins

Offre d'emplois - Employé.e d’accueil

La Fonderie recherche un.e employé.e d’accueil. La Fonderie est une ASBL présente à Bruxelles depuis quarante ans. Elle est à la fois Musée bruxellois des industries et du travail et Association d’éducation permanente reconnue et subventionnée par la Fédération Wallonie-Bruxelles et par la Région bruxelloise. Les expositions de la Fonderie sont conçues pour des publics de tous âges et issus de toutes les communautés, représentant la diversité sociale et ethnoculturelle qui caractérise la Région bruxelloise.

 

TÉLÉCHARGEZ L’ANNONCE ICI

SOMMAIRE DU POSTE

L’employé(e) d’accueil travaille dans les domaines de l’accueil du musée, de la gestion des locaux et des services rendus aux visiteurs.

  • Permanences tous les samedis et deux dimanches par mois, présence occasionnelle les jour fériés, nocturnes et autres soirées ;
  • accueil physique et téléphonique : accueil, vente de tickets, information et conseil ;
  • accueil des clients du bookshop : accueil, vente de publications, information et conseil ;
  • accueil des visiteurs hors musée : accueil des personnes venant pour un rendez-vous, des fournisseurs et livraisons, des personnes ayant besoin de renseignements, etc.;
  • gestion des espaces musée : ouvrir et fermer le bâtiment, ouvrir et fermer les stores, fermer les parasols, faire un tour de vérification du site avant de fermer la grille, gérer le chauffage en fonction des activités, etc. ;
  • gestion des espaces expos (ouvrir et fermer les salles d’expo, gérer si besoin le multimédia, vérifier les issues de secours, allumer et éteindre la lumière, vérifier que tout soit en ordre et, le cas échéant, informer le conservateur des disfonctionnement ou anomalies repérés) ;
  • gestion des espaces dans les locaux de La Fonderie (locations et mises à disposition, réunions internes, etc.): accueillir les demandes, comprendre et conseiller, recueillir les infos, veiller à ce que tout soit prêt la veille et le jour-même) ;
  • gestion des espaces extérieurs : veiller à la sécurité, à l’ouverture et à la fermeture ;
  • relayer à l’extérieur les activités publiques de La Fonderie.

 

VOTRE PROFIL

Qualifications et expérience

  • Poste ACS uniquement et diplômé.e d’un CESS maximum
  • Maîtrise de la communication orale, écrite et non verbale ;
  • Maitrise des outils informatiques

Savoir être

  • Vous êtes à l’aise avec différents publics et pouvez adapter votre discours ;
    • Vous maitrisez le français, la connaissance du néerlandais est un atout ;
    • Vous êtes bien organisé.e et avez de bonnes compétences en matière de gestion du temps ;
    • Vous avez le sens du contact, du service, et des responsabilités;
    • Vous êtes capable de trouver rapidement des solutions pratiques ;
    • Vous avez l’esprit d’équipe et êtes prêt.e à travailler sur des projets collectifs ;
    • Vous avez un intérêt pour l’histoire de Bruxelles

NOUS VOUS OFFRONS

  • Un CDI temps plein 38h/semaine (barème du non marchand 329.02) ;
  • Un cadre de travail exceptionnel ;
  • Une collaboration avec une association alliant diversité, dynamisme et rigueur scientifique.

Candidatures à adresser pour le 10 novembre 2022 au plus tard à emploi@lafonderie.be

Informations auprès de Mathias Mellaerts, Directeur

mathias.mellaerts@lafonderie.be – 02/413 .11.73

Attention : Poste ACS uniquement

La Fonderie asbl est ouvert à la diversité des candidat.e.s, sans distinction de sexe, religion, couleur de peau, nationalité, orientation sexuelle ou handicap. Dans sa pratique, La Fonderie applique une politique offrant l’égalité des chances, qui consiste à offrir un traitement équitable dans tous les aspects de l’emploi en s’interdisant toute forme de discrimination.

 

Offre d'emploi - Responsable des parcours et des publics (Statut ACS)

La Fonderie est une ASBL présente à Bruxelles depuis quarante ans. Elle est à la fois Musée bruxellois des industries et du travail et Association d’éducation permanente reconnue et subventionnée par la Fédération Wallonie-Bruxelles et par la Région bruxelloise. La Fonderie recherche un.e responsable des visites guidées et développement des publics. Les enjeux liés à ce poste clé sont multiples et constituent autant de défis. Développées en lien étroit avec nos thématiques autour de l’histoire industrielle et du travail, les visites guidées dans la ville et le musée sont conçues pour des publics de tous âges et issus de toutes les communautés, représentant la diversité sociale et ethnoculturelle qui caractérise la Région bruxelloise.

TÉLÉCHARGEZ L’ANNONCE ICI

SOMMAIRE DU POSTE

Le/la responsable des parcours et des publics :

  • Conçoit l’organisation, la mise à jour et la réalisation de parcours de découverte du patrimoine industriel et socio-économique de Bruxelles, du Musée Bruxellois des Industries et du Travail et du site de La
  • Définit et met en place la politique de développement des publics de l’association.

Parcours

  • Organiser les parcours à La Fonderie (visite guidée du musée et du site) ou à I ’extérieur (parcours de découverte à pied, vélo ou autre);
  • Concevoir le programme annuel des parcours fixes;
  • Concourir à la promotion des parcours de La Fonderie;
  • Organiser et superviser le travail des guides ;
  • Appui aux réservations pour tous les ateliers de médiation et visites guidées : Recevoir les demandes (écrites ou par téléphone) des groupes intéressés, les écouter et conseiller ;
  • Accompagnement à la création de nouveaux parcours et à I ’actualisation de parcours

Publics

  • Définition et mise en place de la politique de développement des publics (connaissance et fidélisation des visiteurs, analyse des attentes, conquête de nouveaux publics, en étroite collaboration avec le chargé de communication ;
  • Participer à la rédaction et à l’évaluation du projet pédagogique du musée.

VOTRE PROFIL

Qualifications et expérience

  • Poste ACS uniquement ;
  • Diplômé.e d’un bachelier en Histoire, Histoire de l’art, communication, tourisme, guide touristique, médiation culturelle ou discipline connexe ;
  • Maîtrise de la communication orale, écrite et non verbale ;
  • Maitrise des techniques de guidage ;
  • Connaissance des méthodes de médiation muséale ;
  • Maitrise des outils informatiques ;
  • Une expérience dans le service éducatif d’un musée est un atout ;
  • Une expérience comme guide-conférencier est demandée.

Savoir être

  • Vous êtes à l’aise avec différents publics et pouvez adapter votre discours ;
  • Vous maitrisez le français, avec une bonne connaissance du néerlandais ;
  • Vous êtes bien organisé.e et avez de bonnes compétences en matière de gestion du temps ;
  • Vous avez le sens du contact et du service, et des responsabilités ;
  • Vous avez à cœur la bonne qualité des services proposés et leur bonne réception par les publics ;
  • Vous êtes capable de trouver rapidement des solutions pratiques ;
  • Vous avez l’esprit d’équipe et êtes prêt.e à travailler sur des projets collectifs ;
  • Vous êtes intéressé.e par l’histoire industrielle et divers domaines liés à la compréhension de ville ;
  • Vous avez un intérêt pour l’histoire de Bruxelles.

NOUS VOUS OFFRONS

  • Un CDI temps plein 38h/semaine (barème du non marchand 329.02) ;
  • Un horaire fixe (du lundi au vendredi, de 9h à 17h), et prestations occasionnelles en soirée/week-end ;
  • Le défi d’une stratégie éducative à concevoir avec une équipe ;
  • Une collaboration à une association alliant diversité, dynamisme et rigueur scientifique.

Candidatures (CV + Lettre de motivation) à adresser pour le 10 novembre 2022 au plus tard à emploi@lafonderie.be

Informations auprès de Mathias Mellaerts, Directeur

mathias.mellaerts@lafonderie.be – 02/413 .11.73

Attention : Poste ACS uniquement

La Fonderie asbl est ouvert à la diversité des candidat.e.s, sans distinction de sexe, religion, couleur de peau, nationalité, orientation sexuelle ou handicap. Dans sa pratique, La Fonderie applique une politique offrant l’égalité des chances, qui consiste à offrir un traitement équitable dans tous les aspects de l’emploi en s’interdisant toute forme de discrimination.

La Fonderie - Musée des Industries et du Travail

La Fonderie ASBL incarne un lieu emblématique, témoin du passé industriel de la commune de Molenbeek-Saint-Jean. L’association créée en 1983 travaille à la mise en lumière du patrimoine lié directement à ce passé et la multitude de thématiques et problématiques qu’il soulève via différentes activités :

  • Musée bruxellois des Industries et du Travail
  • Faire émaner des outils et projets issus de travaux d’éducation permanente
  • Alimenter et mettre à disposition de tous.te.s un réseau d’archives via un centre de documentation
  • Participer à la recherche via la conception et l’édition de publications scientifiques
  • Proposer un panel d’activités et stages variés autour des différentes thématiques et savoir faire d’artisanat liés à l’héritage du lieu

Job

Offre d'emploi - Responsable du service éducatif (Statut ACS)

Job
La Fonderie est une ASBL présente à Bruxelles depuis quarante ans. Elle est à la fois Musée bruxellois des industries et du travail (catégorie A) et Association d’éducation permanente (axe 3) reconnue et subventionnée par la Fédération Wallonie-Bruxelles et par la Région bruxelloise. La Fonderie recherche un.e responsable du service éducatif de l’asbl. Les enjeux liés à ce poste clé sont multiples et constituent autant de défis. Développées en lien étroit avec les expositions temporaires, les objets de la collection et nos thématiques autour de l’histoire industrielle et du travail, les activités éducatives sont conçues pour des publics de tous âges et issus de toutes les communautés, représentant la diversité sociale et ethnoculturelle qui caractérise la Région bruxelloise.

SOMMAIRE DU POSTE

Sous l’autorité du directeur et la supervision du conservateur, la personne titulaire du poste oeuvre à divers projets éducatifs, principalement la conception, le développement et l’organisation d’activités éducatives intégrées au programme de médiation de La Fonderie. Il.Elle fera progresser les missions de La Fonderie en matière d’éducation auprès des publics multiples de l’asbl.

Création

• Vous assurez la mise en place d’un programme d’activités éducatives à La Fonderie : animations scolaires, activités extra scolaires, animations pour adultes, visites guidées, stages… ;
• Vous contribuez à développer des dispositifs de médiation dans les expositions ;
• Vous créez des outils d’animation, en améliorez d’autres;
• Vous créez des dossiers interdisciplinaires et mallettes pédagogiques, des éditions papier et numériques… ;
• Vous participez à toute autre tâche connexe de l’asbl pour contribuer à la bonne médiation de ses activités.

Animation

• Vous animez ou guidez des groupes d’âge et de provenance diverses ;
• Vous maitrisez les techniques d’animation de groupes ;
• Vous connaissez les différents programmes scolaires et pouvez y rattacher vos animations.

Gestion et promotion

• Vous assurez la promotion des ressources et des activités pédagogiques par une information et une sensibilisation des enseignants ;
• Vous soutenez le recrutement, la formation et la supervision des prestataires extérieurs ;
• Vous intégrez La Fonderie à des réseaux utiles au soutien du développement de la médiation
culturelle du musée ;
• Vous appuyez la gestion logistique des différentes activités (réservations, listes de contacts, évaluations…).

VOTRE PROFIL

Qualifications et expérience

• Diplômé.e en Histoire, Histoire de l’art, Médiation culturelle ou discipline connexe … (baccalauréat ou master), avec une expérience en éducation (enseignement, médiation,…)
• Maîtrise de la communication orale, écrite et non verbale ;
• Maîtrise des méthodes de médiation muséale ;
• Expérience dans l’apprentissage numérique ;
• Une expérience dans le service éducatif d’un musée est un atout important ;
• Poste ACS uniquement

Savoir être

• Vous êtes à l’aise avec différents publics et pouvez adapter votre discours ;
• Vous maitrisez le français, avec une connaissance du néerlandais ;
• Vous êtes bien organisé.e et avez de bonnes compétences en matière de gestion du temps ;
• Vous avez le sens du contact et du service, et des responsabilités;
• Vous êtes capable de trouver rapidement des solutions pratiques ;
• Vous avez l’esprit d’équipe et êtes prêt.e à travailler sur des projets collectifs ;
• Vous êtes intéressé.e par l’histoire industrielle et divers domaines liés à la compréhension de ville.
• Vous avez un intérêt pour l’histoire de Bruxelles

NOUS VOUS OFFRONS

• Un CDI temps plein (barème du non marchand) ;
• Un horaire fixe (du lundi au vendredi, de 9h à 17h), mais prestations occasionnelles en soirée/week-end ;
• Le défi d’une stratégie éducative à concevoir et réaliser ;
• Une collaboration à une association alliant diversité, dynamisme et rigueur scientifique.

Candidatures à adresser pour le 15 septembre 2022 au plus tard à emploi@lafonderie.be

Informations auprès de Pascal Majérus, Conservateur (pmajerus@lafonderie.be)- 02/413.11.87

Attention : Poste ACS uniquement

La Fonderie asbl est ouvert à la diversité des candidat.e.s, sans distinction de sexe, religion, couleur de peau, nationalité, orientation sexuelle ou handicap. Dans sa pratique, La Fonderie applique une politique offrant l’égalité des chances, qui consiste à offrir un traitement équitable dans tous les aspects de l’emploi en s’interdisant toute forme de discrimination.

 

Actus

Les commissaires de l’exposition Oh ! Ça ne coule pas de source lauréates du Prix Wernaers pour la vulgarisation scientifique 

Actus
Le fonds Wernaers, mis en place au sein du Fonds de la recherche scientifique (FNRS), vise à récompenser des personnes ayant fait preuve de créativité, d’innovation et de pertinence dans la communication de leurs connaissances aux enseignants, aux étudiants et aux élèves ou au grand public. L’exposition Oh ! Ça ne coule pas de source qui s’est tenue du 15 octobre 2021 au 26 juin 2022 à La Fonderie (prolongée jusqu’au 3 juillet dernier) traitait de l’eau domestique à Bruxelles. Elle a accueilli pas loin de 4 000 visiteurs, petits et grands. 

Élaborée à l’occasion des 130 ans de Vivaqua, elle visait à rendre visible ce qui a permis et ce que nécessitent des gestes simples et quotidiens comme remplir un verre d’eau, prendre une douche ou tirer la chasse, des pratiques devenues tellement ordinaires qu’elles ne sont plus remises en question. Ce projet a été, pour ses commissaires Chloé Deligne, Ananda Kohlbrenner et Sophie Richelle, toutes trois historiennes, l’occasion de présenter sous une forme nouvelle et à destination d’un large public les recherches qu’elles mènent à l’Université Libre de Bruxelles.

« Cette exposition a été pour nous une merveilleuse opportunité d’explorer de nouveaux moyens de diffuser et d’échanger sur nos travaux, notamment avec le jeune public en imaginant une série de dispositifs interactifs et didactiques pour lui permettre d’apprendre en s’amusant (observation au microscope, expérience des vases communicants, traversée d’un tronçon d’égout avec un déguisement d’égoutier…). Avec cette exposition, nous souhaitions rendre accessibles au plus grand nombre des contenus scientifiques complexes sans pour autant les simplifier. Ce que nous voulions c’était inviter le public à adopter un regard réflexif sur nos usages quotidiens de l’eau, les infrastructures et les pratiques dont nous sommes aujourd’hui les héritiers, mais aussi sur les problématiques sociétales contemporaines liées à l’accès à l’eau et à la pollution de celle-ci. Par exemple : comment expliquer qu’on utilise de l’eau potable pour évacuer nos déjections ? Pourquoi les bains publics ont presque tous disparu alors qu’aujourd’hui à Bruxelles, on compte un nombre toujours plus important d’habitants n’ayant pas accès à des sanitaires ? »

Pour réaliser ce projet, nous avons eu la chance de bénéficier des compétences, du savoir-faire et de l’enthousiasme de l’équipe de La Fonderie : Pascal Majérus (conservateur), Françoise Marneffe (chargée des expositions et coordinatrice du projet) et Luiza Mitrache (responsable du service éducatif) qui nous ont chaleureusement fait bénéficier de leur expérience muséographique et qui nous ont tant appris et apportés.

Nous avons aussi eu le plaisir de collaborer avec les deux scénographes d’Ad Hoc Studio, Noémie Giovanetti et Jérémy Husquin, qui ont relevé, dans la joie, tous les défis soulevés par cet ambitieux projet et qui ont si bien su lui donner forme. »

L’exposition est aujourd’hui finie, mais elle a donné lieu à un numéro des Cahier de La Fonderie (à paraître prochainement) qui permettra encore de prolonger cette belle aventure.

Actus

La Fonderie à besoin de votre avis - Enquête des publics Museé 22

Actus
Dans le cadre d'une enquête auprès de ses publics, La Fonderie désire connaître votre avis !

Chers publics,

Dans le cadre d’un dispositif d’enquête auprès des publics proposé par Musée 22, La Fonderie à besoin de votre avis !

La Fonderie attache une grande importance à votre avis ! Nous voulons savoir où nous réussissons bien, où nous pouvons nous améliorer et comment nous pouvons rendre votre expérience muséale aussi agréable que possible. Nous aimerions donc vous demander de remplir notre enquête et de nous aider.

Voici le lien cliquable vers l’enquête

https://www.cult22.eu/be/3971?lang=fr

L’enquête est totalement anonyme et prendra environ 10 minutes de votre temps.

Pour vous remercier, World Land Trust sauve 1 m² de forêt tropicale en voie de disparition pour chaque enquête réalisée. Vous avez également une chance de gagner l’un des bons d’achat Bongo d’une valeur de 250 €.

Vous pouvez répondre au sondage jusqu’au 30 septembre 2022.

Toute l’équipe de La Fonderie vous remercie.

Les bronzes du Jardin Botanique

Jadis, le jardin botanique de Bruxelles a connu une fonction scientifique de conservation et de recherche en botanique et horticulture. Elle l’a ensuite perdue au profit du Jardin botanique de Meise. Malgré les nombreux travaux qui l’ont amputé au cours du 20ème siècle, il reste l’un des plus anciens et des plus beaux parcs publics de la capitale. Dès sa création en 1829, et jusqu’à nos jours, l’endroit est un lieu de promenade apprécié. L’art et la culture y ont leur place : concerts en plein air, sculptures en bronze etc. Ces dernières forment un ensemble assez exceptionnel qui nous permettra d’aborder technique de production, courants artistiques et significations symboliques…  Cette visite guidée vous fera bondir dans le passé !

un site industriel

Molenbeek-Saint-Jean a subi de plein fouet le départ des industries et les mutations postindustrielles. Mais dans ce quartier se cache encore un lieu où se mêlent passé industriel, richesse patrimoniale, poésie des ruines et végétation conquérante.

Il s’agit de La Fonderie et son musée, installés sur le site d’une prestigieuse fonderie d’art, la Compagnie des Bronzes. Cette entreprise était une fonderie à la réputation internationale. Les commandes prestigieuses y furent nombreuses : des grilles du zoo de New York aux statues de la Reine Victoria, en passant par le Brabo à Anvers ou le t’Serclaes de la Grand Place. Durant 125 ans, cette société a contribué à introduire l’art dans l’espace public grâce à la statuaire monumentale ou dans les foyers par l’importante production en série d’œuvres d’art ou d’objets décoratifs.

Lancée en 1854, la Compagnie a connu une croissance rapide. Elle a acheté en 1860 un terrain à Molenbeek pour construire une usine et étendre ses activités. Ce faubourg de Bruxelles offrait de grandes superficies à prix abordable. Il offrait aussi la possibilité d’installer une machine à vapeur et des logements pour les ouvriers. La proximité du canal de Charleroi et des chemins de fer rendait le lieu idéal pour y implanter ses activités productives.

Laissé à l’abandon après la faillite de l’entreprise à la fin des années 70, l’ancienne usine a été rachetée par la Communauté française en 1981 à l’initiative du Collectif du Vieux Molenbeek. Le site est inscrit sur la liste de sauvegarde du patrimoine immobilier de la Région bruxelloise.

Venez découvrir cette histoire…

Vue du site avec ses machines exposées en extérieur et le musée en arrière-plan
La Fonderie occupe l’ancien site de la Compagnie des Bronzes

La statuaire urbaine en débat - Visite annulée ! -

— Visite annulée ! —

 

Si les statues et les sculptures ponctuent l’espace urbain. Elles sont particulièrement présentes dans le haut de la ville. Du palais de Justice au Parc Royal, elles témoignent de choix politiques posés depuis l’indépendance de la Belgique et sont autant d’expressions des pouvoirs en place. Héros, allégories ou personnages marquants, ces statues de pierre ou de bronze célèbrent de multiples valeurs. 

Les innombrables controverses suscitées aujourd’hui par certaines d’entre elles indiquent bien que leur place dans l’espace public ne va plus de soi. Ce parcours se propose de mieux les connaitre pour bien en mesurer les enjeux.  

Le Petit Sablon et ses 48 métiers

Le square du Petit Sablon créé au 19ème siècle constitue un hommage romantique rendu par la bourgeoisie bruxelloise à la Belgique idéalisée de la Renaissance. Le parc est chargé de symboles et de messages historiques et idéologiques. Les comtes d’Egmont et de Hornesélevés au rang de martyrs, trônent au sommet de la fontaine. Ils sont entourés de 10 personnalités marquantes du 16ème siècle. Parmi elles, des penseurs et des scientifiques mais également d’autres grandes figures de l’opposition à Philippe II. Tout autour se dressent les fameuses 48 statues figurant les métiers bruxellois et leurs corporations. L’ensemble, réalisé par la Compagnie des Bronzes de Bruxelles constitue un patrimoine exceptionnelCette visite guidée vous invite à en explorer toutes les facettes... 

 

Une des statues représente la corporation des Quatre couronnés sous les traits de l’architecte Henri BeyaertLe terme architecte n’existait pas au 16ème siècle. Ldénomination fait référence aux quatre sculpteurs de pierre qui furent martyrisés pour leur adhésion au christianisme par l’empereur romain Dioclétien vers l’an 287. Canonisés au 4ème siècle, ils deviennent les Saints Patrons des tailleurs de pierre et des maçons dans toute l’Europe. Naturellement, le terme Quatre couronnés est récupéré pour l’appellation de la corporation des architectes, d’autant plus que quatre corps de métiers étaient nécessaires pour la réalisation d’une maison : maçon, sculpteur, tailleur de pierre et ardoisier. 

Le Congo à Bruxelles

Cette visite guidée aborde des aspects de la longue l’histoire qui relie le Congo et Bruxelles. Officieusement ou officiellement, la ville a longtemps tenu lieu de capitale imposée à ce pays immense et lointain. Cette relation inéquitable a laissé des traces encore présentes dans la ville d’aujourd’hui. Certaines sont discrètes, d’autres sont évidentes monuments, immeubles prestigieux ou grandes réalisations urbanistiquesChacune offre l’occasion d’évoquer ce pan de notre histoire controversé et parfois occulté.
De la Porte de Namur jusqu’au Cinquantenaire, ce parcours nous amène à nous interroger sur ce passé colonial qui se rappelle régulièrement à nous. 

Sous Léopold II, bien avant l’exploitation du caoutchouc et la découverte des richesses en minerais que renferme le sous-sol du Congo, l’une des principales sources de revenus de la colonie est l’ivoire. Pour en stimuler le commerce, l’Etat Indépendant du Congo fait appel aux sculpteurs belges les plus renommés. Il leur offre des défenses pour qu’ils réalisent des œuvres à exposer dans le cadre des expositions coloniales de 1894 et 1897. Une vingtaine de ces sculptures « chryséléphantines » au style Art Nouveau, dont celles de Philippe Wolfers, Julien Dillens ou Charles Van der Stappen, sont toujours visibles au Musée d’Art et Histoire du Cinquantenaire. De 1889 à 1908 près de 5000 tonnes d’ivoire, provenant de près de 100 000 éléphants transiteront par le port d’Anvers. 

A la recherche du Maelbeek perdu

Visite guidée du 29/08 malheureusement annulée pour raisons de santé.

Cette visite guidée vous amène sur les traces d’une rivière oubliée : Le Maelbeek. Ce cours d’eau a pourtant été déterminant pour l’émergence des villages d’Ixelles, Etterbeek, Saint-Josse et Schaerbeek. Comme la Senne, elle fut voûtée dans la seconde moitié du 19e siècle. Si elle semble avoir disparu du paysage, il en reste néanmoins des traces bien plus nombreuses que vous ne pourriez le penser. 
Cette balade vous mènera à la découverte de ce mystérieux Maelbeek. De La Cambre au Parc Léopold en passant par les étangs d’Ixelles et Flagey, le Parc Léopold, … Ces hauts-lieux bruxellois vous sont certainement connus. Cependant, nous allons vous les faire re-découvrir sous un jour différent. 

Parmi les affluents du Maelbeek, le Broebelaer – qui prend sa source à Etterbeek- eut un destin « princier» au 17ème siècle. En effet, ses eaux furent déviées pour installer des jeux d’eau dans les jardins du Coudenberg, résidence des Archiducs Albert et Isabelle. La rue Hydraulique est un rappel du trajet des conduites d’eau jusqu’à une tour de la seconde enceinte. 

Pavés de Bruxelles, un patrimoine méconnu

La controverse perdure à propos des pavés bruxellois. Ils sont perçus par certains comme un archaïsme néfaste dont il faut se débarrasser. D’autres les considèrent comme un trésor, fruit du labeur et de l‘habileté de nos grands-parents. Cette visite vous fera découvrir ce joyau méconnu de notre patrimoine, humbles pierres sur lesquels nous marchons sans faire attention. Vous apprendrez la grande diversité des pavés bruxellois, d’origine, de couleur, de texture, de relief, de format et de matériaux variés. A l’issue de cette visite vous pourrez les reconnaître au premier coup d’œil ! 

L’eau source de vie, source de ville

C’est autour des méandres de la Senne, au creux de la vallée, que notre ville s’est développée au cours des siècles. Cette balade à pied du centre-ville à l’écluse de Molenbeek retrace cette histoire et met en lumière les liens si étroits qui unissaient autrefois Bruxelles et sa rivière. Peut-on encore imaginer aujourd’hui la vie sans l’indispensable eau courante ?

Le chocolat, l'or noir des bruxellois

Les mesures sanitaires actuelles ne nous permettent pas de vous proposer certaines parties de ce parcours dans les conditions adéquates. Par conséquent, nous nous voyons dans l’obligation d’annuler la date du 29 novembre 2020. Nous vous re-proposerons cette visite guidée en 2021.

Cette visite guidée nous emmène des prestigieuses Galeries St-Hubert jusque chez Choco-Story, le musée du cacao et du chocolat. Elle explore et décortique notre passion pour cette denrée appréciée de tous. On y découvre l’histoire des grands noms qui ont fait la réputation de Bruxelles et de la Belgique dans le monde du chocolat. Et on termine par une démonstration de sa fabrication. 

Les étapes de ce parcours comprennent entre autres les Galeries Royales St-Hubert, les maisons Neuhaus, Pierre Marcolini, Leonidas, Godiva et Choco-Story.

Le commerce à Bruxelles : étals, bazars et lèche-vitrine

Des échoppes et du marché moyenâgeux au grand magasin du début du 20ème siècle, Bruxelles a connu une grande diversité de lieux mercantiles. Lors de cette visite guidée, nous vous invitons à découvrir l’histoire du commerce. 

Nous revivrons en particulier les évolutions du 19ème siècle : la naissance des marchés couverts et galeries, le soin de plus en plus grand apporté aux devantures pour attirer le chaland et l’apparition des boutiques de nouveautés et grands magasins. Nous nous intéresserons également aux demoiselles de magasin, thème du roman de Zola “Au bonheur des dames”. Nous aborderons aussi l’histoire d‘enseignes emblématiques. Eenfin celle de la rue Neuve et des boulevards centraux qui jouent aujourd’hui encore un rôle commercial majeur. 

 

“Lors de l’apparition des grands magasins, tout est mis en œuvre pour tenter le client – en particulier la femme ! L’architecture joue elle aussi son rôle. Ainsi, Victor Horta, architecte de l’Innovation, disait qu’il fallait « accrocher le passant en dehors pour en faire un acheteur et celui-ci une fois dans la ‘cage’, l’obliger de passer et de s’arrêter devant la moindre marchandise exposée .» 

Karl, Louis, Emile et les autres... aux sources du socialisme à Bruxelles

Au milieu du 19e siècle, La Belgique est le pays le plus progressiste et « libre » d’Europe continentale. A l’instar de Londres, elle accueille un grand nombre de réfugiés politiques. Plusieurs ont joué un rôle important dans l’histoire du socialisme comme Marx, Proudhon ou encore Blanqui. Leurs trajectoires se sont croisées à Bruxelles qui a s’est trouvée profondément marquée par leur passage. Cette visite guidée nous fera marcher dans leurs pas, racontant leur histoire, celle des grands socialistes belges et des mouvements ouvriers… 

La Grand Place de Bruxelles

La Grand Place n’a pas toujours revêtu les atours qu’on lui connait aujourd’hui. En effet, elle a subi des modifications nombreuses et parfois importantes au fil des siècles… Lieu du pouvoir de la ville, elle était au centre d’enjeux politiques, corporatistes, religieux, sociaux ou encore architecturaux. Cette visite guidée vous propose un regard approfondi sur l’histoire de cette place que beaucoup considèrent comme la plus belle du monde ! 

  

La Maison du Roi d’Espagne est typique du style architectural adopté pour reconstruire la Grand-Place après le bombardement de Bruxelles en 1965 par le Duc de Villeroy, grand maréchal de Louis XIV. Le style baroque prévaut en cette fin de 17ème Siècle et on n’est pas avare de décorations extravagantes et de fioritures. Celles-ci se réfèrent notamment aux grands personnages soit contemporains soit de l’Antiquité. Cette maison appartenait à la corporation des boulangers. D‘ailleurs, la porte d’entrée est surmontée de la statue de saint Aubert, patron des boulangers. Ensuite, on retrouve quatre médaillons représentant des empereurs romains : Marc Aurèle, Dèce, Trajan et Nerva. En son centre, une sculpture figure Charles II d’Espagne, souverain des Pays-Bas espagnols, triomphant de ses ennemis. Il est ainsi flanqué d’un côté par un Mapuche du Chili et l’autre côté par un Turc ottoman. Enfin, la balustrade dans la partie supérieure de la maison est ornée de sculptures figurant des divinités romaines en rapport avec la boulangerie. Hercule symbolise la force nécessaire pour pétrir la pâte. Cérès déesse de l’agriculture représente le blé. Boréas, dieu du vent, dissémine les céréales. Vesta, déesse du feu, pour cuire le pain. Neptune, dieu de l’eau. Et Minerve déesse de la prévoyance, qualité indispensable dans le commerce. 

Bruxelles et ses écoles

Avec cette visite guidée, nous vous invitons à explorer l’univers très mouvementé de l’enseignement à Bruxelles. Au 19ème siècle, les élites bruxelloises étaient soucieuses de soutenir l’émancipation des masses grâce à l’école. Des réseaux scolaires remarquablement diversifiés se sont dès lors développés. C’est l’histoire de la confrontation idéologique entre catholiques et tenants de laïcité. Nous vous raconterons cette rivalité qui a amené les uns et les autres à adopter des orientations architecturales très typées. Et nous décortiquerons l’architecture de ces écoles, projets ambitieux qui ont permis aux architectes les plus réputés de l’époque, dont Horta, d’exprimer tout leur talent. 

 

“Si l’enseignement coûte trop cher, essayez l’ignorance !” Abraham Licoln. 

Impossible d’évoquer l’essor de l’enseignement bruxellois au 19ème siècle sans penser au bourgmestre Charles Buls. Partout dans la ville, Buls a essaimé les traces monumentales de son combat contre les diktats budgétaires. Enjeu qui demeure, aujourd’hui encore, brûlant d’actualité…” 

Bruxelles pour les (s)nuls

Le parcours « Bruxelles pour les (s)nuls » vous conduira du haut jusqu’au bas de la ville. Au travers d’une mise en contexte, d’informations générales et d’histoireaussi intéressantes que drôles, vous aurez un excellent aperçu de l’évolution de Bruxelles au 19ème siècle.  Il aborde des sujets variés tels que : 

  • La dualité de la ville entre pouvoir et prolétariat 
  • Les conditions de vie des bruxellois 
  • L’urbanisation de Bruxelles 
  • Le voûtement de la Senne 
  • Les festivités populaires et traditions bruxelloises 

 

« Pendant cette visite guidée, nous ignorerons la Grand Place et Manneken Pis. Nous négligerons les gaufres et le chocolat. Au lieu de cela, nous ferons revivre ensemble un Bruxelles populaire et authentique ! »

 

Ce parcours constitue une excellente introduction à Bruxelles et son histoire. Il convient très bien aux écoles et aux apprenants FLE, entre autres.

exposition permanente

Made in Brussels

exposition permanente
Made in Brussels, illustre le passé industriel de Bruxelles à travers l'histoire de sa production.
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Métier à tisser Jacquard d el'exposition permanente
Métier à tisser Jacquard de l’exposition permanente

La Révolution industrielle a profondément modifié l’économie, la politique et les rapports sociaux de notre pays jusqu’à aujourd’hui. L’exposition Made in Brussels vous montre comment Bruxelles s’est développée autour de ses industries. Ensuite, l‘exposition vous présente quatre secteurs industriels essentiels de la ville et de son histoire. Le secteur du métaldont le site de l’ancienne Compagnie des Bronzes est un témoin privilégié. Celui du bois, élément essentiel à la construction et l’aménagement d’une ville. La confection textile, historiquement un des secteurs les plus importants à Bruxelles. Et enfin la production alimentaire qui a nourri des habitants toujours plus nombreux. 

Chaque module est articulé autour de deux machines « vedettes » permettant de développer une série de thèmes : les techniques, l’histoire d’une entreprise, la condition ouvrière, le travail à domicile ou en usine, le commerce, etc. La diversité de chacun de ces secteurs est illustrée au travers de produits manufacturés.

Retrouvez toutes les informations pratiques de notre musée – adresse, horaires, contact – en cliquant ici

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    La potabilisation des eaux usées : une prouesse pleine de promesses ?

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    Singapour serait pionnière en la matière. En effet, la petite nation insulaire, en manque d’eau douce a développé un système très performant de traitement des eaux usées qui permet de les rendre à nouveau propres à la consommation. Un tel système pourrait-il être développé en Région de Bruxelles-Capitale, et à quel prix?

    Afin de recycler ses eaux usées, Singapour a construit une usine de grande ampleur, mobilisant des technologies à la pointe de l’innovation telles que la microfiltration, la filtration membranaire et la nanofiltration. Les eaux retraitées couvrent déjà 40 % des besoins de Singapour qui était jusque-là entièrement dépendante des ressources en eau de la Malaisie. Une telle prouesse offre-t-elle des pistes propices à une utilisation plus durable et circulaire des eaux? La mise en place d’un tel système à Bruxelles est-il  désirable ? 

    Un traitement complexe

    La station d’épuration des eaux usées (STEP) de Bruxelles Sud, qui vient d’être rénovée, dispose déjà, comme celle de Singapour, d’un système de traitement membranaire qui lui permet d’extraire des eaux usées la plupart des bactéries et des particules microscopiques (tels que les micro plastiques). Par ailleurs, actuellement une partie des eaux usées traitées par cette station sont déjà réutilisées, mais à usage industriel seulement. Comme le souligne un des gestionnaires de cette usine, proposer un traitement des eaux usées encore plus performant supposerait un saut conséquent dans les technologies déployées comme dans les investissements requis. En effet, pour être considérées comme « potables », les eaux doivent répondre à des critères beaucoup plus exigeants que ceux requis à la sortie des stations d’épuration des eaux usées et donc être soumises à un traitement beaucoup plus sophistiqué.

    Un coût important

    La réutilisation des eaux usées a un coût (Singapour a investi plus de 6,3 milliards d’euros dans ses infrastructures de traitement), mais ce coût n’est pas seulement financier. Si en tendant à recycler à l’infini chaque goutte d’eau, le système mis en œuvre à Singapour pourrait, à première vue, apparaître comme la solution écologique au problème de la pollution et des ressources limitées en eaux, il ne faut pas oublier que pour pouvoir potabiliser les eaux usées, une telle usine consomme de très importantes ressources en énergie.

    À titre d’exemple, selon un directeur de l’innovation du groupe Véolia, une station d’épuration traitant quotidiennement les eaux usées de 100 000 habitants a, en moyenne, une consommation énergétique équivalente à celle de 400 habitants, tout usage compris, ce qui est loin d’être négligeable1. Si certaines stations d’épuration sont aussi pourvoyeuses en énergie, en produisant par exemple du biogaz à partir de la digestion des boues d’épuration (comme c’est le cas dans la station d’épuration de Bruxelles Nord, qui a produit 13,5 GWh d’électricité en 2019) cette production ne compense généralement pas l’important besoin énergétique de ces infrastructures (elle ne couvre que 30 % des besoins dans le cas de la Station d’épuration Bruxelles Nord)2.

    Station d’épuration Bruxelles Sud
    Photographie de la Station d’épuration Bruxelles Sud, SBGE (actuelle HYDRIA), Photographie de Emmanuel MANDERLIER

    De plus, les technologies de pointe comme celles employées dans la STEP de la cité-État insulaire reposent sur l’utilisation d’importantes quantités de métaux rares, des matières premières disponibles en quantité limitée sur terre, dont l’extraction devient toujours plus invasive, complexe, énergivores, dévastatrice et dont le recyclage reste peu probable, car trop difficile à mettre en œuvre3.  

    Prévenir ou guérir ?

    En définitive, le recours à des technologies plus performantes va généralement de pair avec une augmentation des coûts économiques et des ravages environnementaux et sociaux qu’elles impliquent. Comme souvent lorsqu’il est question de traitement de pollutions, la question n’est peut-être pas tant : comment traiter ces pollutions de manière plus performante que : comment réduire et limiter, à la source, la production de telles pollutions?

    Cet article vous est proposé par Ananda Kohlbrenner. Elle est historienne et urbaniste. Ses recherches, réalisées à l’ULB, ont porté sur l’histoire du traitement des eaux pluviales et usées en Région de Bruxelles-Capitale. Elle est également une des commissaires de l’exposition Oh ! Ça ne coule pas de source.

    1 Voir : LAPERCHE Dorothee, “Vers des stations d’épuration à énergie positive”, Actu environnement, 15 décembre 2015. [en ligne]
    2
     Voir : LAPERCHE Dorothee, “Vers des stations d’épuration à énergie positive”, Actu environnement, 15 décembre 2015. [en ligne]
    3 Voir à ce propos : BIHOUIX Philippe, L’âge des low tech, Editions du Seuil, 2014.

     

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    L'eau : un trait d'union

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    Comme de nombreuses villes dans le monde, Bruxelles dépend de régions extérieures à son territoire pour son approvisionnement en eau quotidienne (l’eau domestique, l’eau potable). Qu'en est-il exactement de notre capitale ? D'où vient l'eau que nous consommons ?

    Aujourd’hui, l’immense majorité des mètres cubes d’eau que consomment les Bruxellois et Bruxelloises provient de Wallonie (66 des 68 millions de mètres cubes acheminés annuellement, soit 97%). C’est Vivaqua, autrefois appelée Compagnie intercommunale bruxelloise des eaux (CIBE), qui assure son captage, son transport et sa distribution.  

    Les captages et prélèvements qui assurent cet approvisionnement se situent aussi bien en Brabant wallon (région de Braine l’Alleud), qu’en Hainaut (région de Mons ou d’Ecaussinnes), en province de Namur (région de Spontin, Yvoir) ou de Liège (région de Huy/Modave). Ainsi, quand on ouvre le robinet à Bruxelles, c’est l’interdépendance entre les régions du pays, entre la ville et des territoires plus ruraux, qu’on expérimente très concrètement. L’eau de tous les jours est ainsi un trait d’union entre Bruxelles et la Wallonie.

    Les points de captage de Vivaqua en Wallonie et à Bruxelles
    Les points de captage de Vivaqua en Wallonie et à Bruxelles

    Cette dépendance de Bruxelles vis-à-vis de territoires extérieurs n’est pas vraiment neuve. Au début du 17e siècle, quand Bruxelles était encore enserrée dans ses remparts, des eaux venues du Broebelaer (un petit affluent du Maelbeek à Etterbeek) avaient été amenées grâce à une savante machine, « la machine hydraulique de Saint-Josse-ten-Noode », vers un réservoir situé sur les hauteurs de la ville. De là, des canalisations repartaient vers les jardins du palais du Coudenberg et le quartier huppé avoisinant. Un peu plus tard, au milieu du même siècle, ce sont les eaux de Saint-Gilles, captées du côté de l’actuelle place Morichar, qui furent acheminées par des conduites souterraines vers des points d’eau bruxellois.  

    Ces captages dans la banlieue proche de la ville n’avaient cependant pas pour raison première la volonté d’alimenter le commun des mortels mais plutôt les jardins des princes ou des institutions (les couvents, les hôtels aristocratiques) même si, secondairement, ils ont pu alimenter quelques fontaines dans l’espace public. Mais pour la majorité des Bruxellois, l’eau quotidienne provenait des puits parfois situés dans l’espace public, ou plus souvent accessibles à l’arrière des maisons ou dans les intérieurs d’îlots. En 1850, à côté de 76 puits publics et d’une trentaine de fontaines, on recensait ainsi encore plus de 8000 puits privés ! Autrement dit, si l’on voulait de l’eau, il fallait aller la puiser ou la chercher. Cette tâche était le plus souvent l’affaire des femmes et des enfants.

    Fontaine du Marché aux Herbes (François Bossuet, 1832) Archives de la Ville de Bruxelles
    Fontaine du Marché aux Herbes (François Bossuet, 1832)
    Archives de la Ville de Bruxelles

    Ce paysage et ces pratiques de l’eau quotidienne ont radicalement changé au cours du 19e siècle. En 1852 en effet, tant pour des raisons hygiéniques que de confort et de prestige, les autorités de la Ville de Bruxelles se résolurent à réaliser des travaux qui permettraient d’alimenter les habitants à l’intérieur de leurs maisons. Pour être sûres de bénéficier de volumes suffisants et d’eaux propres, elles entreprirent d’aller les capter à Braine l’Alleud, aux sources du Hain (affluent de la Senne), soit à une trentaine de kilomètres de la ville. L’approvisionnement en eau entra alors dans une nouvelle phase historique, celle d’un « service », qu’il faudrait désormais payer.  

     Vite dépassées par leur projet, les autorités de la Ville de Bruxelles ne purent cependant satisfaire toutes les demandes de raccordement des habitants. Dans un climat de tension politique, ce furent alors les communes des faubourgs (principalement Saint-Josse, Schaerbeek, Ixelles, Saint-Gilles) qui prirent les devants. Se regroupant en 1891 sous forme d’intercommunale —la première dans l’histoire de Belgique—, elles réalisèrent un projet plus ambitieux encore en allant chercher des eaux aux sources du Bocq, un affluent de la Meuse dans la région de Spontin, à près de 80 km de la capitale. C’est l’anniversaire des 130 ans de cette intercommunale que Vivaqua a fêté cette année.  

    Cette réalisation qui nécessita d’importants moyens financiers, de très nombreuses expropriations, une main d’œuvre abondante et plusieurs années de travaux, ne manqua pas de faire la fierté des faubourgs face à la Ville de Bruxelles, une fierté subtilement revendiquée dans l’espace public.

    « La déesse du Bocq » au square Armand Steurs à Saint-Josse (Julien Dillens, 1899) et la « déesse du Bocq » devant l’hôtel communal de Saint-Gilles (Jef Lambeaux, vers 1896)
    « La déesse du Bocq » au square Armand Steurs à Saint-Josse (Julien Dillens, 1899) et la « déesse du Bocq » devant l’hôtel communal de Saint-Gilles (Jef Lambeaux, vers 1896)

    Ces deux premières « lignes d’eau » tirées depuis le Brabant wallon (1855) et la région de Dinant (1899) constituent aujourd’hui encore des axes importants de l’approvisionnement bruxellois. D’autres s’y ajoutèrent progressivement jusqu’aux années 1970, moment de la réalisation d’un premier captage d’eau de surface. En effet, entre 1969-1976, pour faire face à la demande croissante en eau quotidienne, une usine de potabilisation des eaux de la Meuse fut établie à Lustin (usine de Tailfer). Depuis lors, celle-ci assure selon les jours et les années entre 40 et 60% de l’approvisionnement bruxellois.  

    Depuis la réalisation de l’usine de Tailfer, le réseau de la CIBE (devenue Vivaqua en 2006) n’a pas fondamentalement changé. La stabilisation puis la diminution de la consommation d’eau depuis les années 1980 ainsi que la volonté d’indépendance des communes flamandes vis-à-vis de Vivaqua expliquent en grande partie la non-extension de ce réseau.

    Approvisionnement en eau à la source, ici à la « Fontaine d’Amour » à Schaerbeek Académie royale de Belgique, fonds Belfius
    Approvisionnement en eau à la source, ici à la « Fontaine d’Amour » à Schaerbeek
    Académie royale de Belgique, fonds Belfius

    Cette histoire de 130 ans (et plus) a doté Bruxelles d’un réseau d’approvisionnement aussi solide que vital. Mais, dans le même temps, elle a effacé les nombreux liens qui reliaient les Bruxellois à leurs ressources d’eaux locales, principalement la pluie, les sources et les eaux souterraines. Les changements à l’œuvre aujourd’hui (dérèglement climatique, dualisation sociale et appauvrissement d’une grande partie de la population pour qui l’accès et le paiement de l’eau sont de plus en plus difficiles) amèneront-ils à reconsidérer ces relations  ?

     

    Cet article vous est proposé par Chloé Deligne, historienne, formée en géographie et en sciences de l’environnement. Elle est également enseignante à l’ULB et chercheuse au FNRS. Elle est une des trois commissaires de l’exposition Oh ! Ca ne coule pas de source.

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    Bain ou douche, une pratique différenciée socialement

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    Institutions sanitaires méconnues, gommées par la généralisation de la salle de bain au tournant des années 1950-1970, les bains publics sont pourtant des témoins précieux d’une histoire de l’hygiène corporelle. Destinés par leur coût – le plus modeste possible – à la population la plus large possible, ils nous racontent la propreté des corps ordinaires.

    C’est à partir de 1901 que les communes belges reçoivent des subsides de l’État pour construire ce genre d’établissement. C’est donc à partir de ce moment-là qu’il est véritablement question d’un service public. Cela dit, certains établissements sont construits dès le milieu du 19e siècle pour répondre au besoin de se laver de la classe ouvrière. Ils sont souvent le fruit d’un partenariat entre actionnariat privé et communes.

    Les bains de Saint-Gilles
    Les bains de Saint-Gilles

    La piscine, la baignoire et la douche sont les trois dispositifs privilégiés pour répondre à ce besoin d’hygiène populaire. La douche n’est inventée qu’en 1872 et prendra une bonne décennie supplémentaire pour sortir du contexte carcéral dans lequel elle est créée. Elle devient ensuite, grâce à son fonctionnement – économe en temps, en eau et en espace – le dispositif d’hygiène populaire par excellence. Il apparait dès lors intéressant de se poser la question : quelle hygiène est accordée à quels corps en fonction des dispositifs accessibles ?

    Dans les premiers établissements de bains publics, lorsque la douche n’existe pas encore, il existe souvent entre 2 et 3 classes de baignoires. Elles donnent, en fonction d’un prix d’entrée plus ou moins élevé, accès à des services différents et dont l’écart, en termes de confort, est énorme. Aux premières classes : chauffage, mobilier plus luxueux et gestion individuelle de l’eau. Aux deuxièmes classes : baignoire préparée à l’avance, impossibilité de régler la quantité et la température de l’eau, absence de chauffage et mobilier sommaire. Avec l’arrivée du bain-douche, la différence de tarif se reporte sur la différence entre les deux dispositifs. Sous les douches, le temps devient plus court, la position des corps est verticale et les possibilités de relaxation et de détente se rétrécissent.

    Ces différences entre classes de baignoires, mais surtout entre baignoires et douches révèlent alors ce qui est accordé aux individus et à leur corps selon leur classe sociale et leur moyen financier. Aux plus riches, le confort d’une salle de bain dans leur logement, espace de luxe, de volupté et de liberté. Aux moins riches, la jouissance d’une baignoire publique. Aux plus pauvres, une douche au temps, à la température et à l’espace plus réglementés. Ce faisant, ce qui est refusé à ces derniers, c’est la possibilité d’associer à l’hygiène une forme de bien-être et de relaxation.

    Loin d’être anecdotique, la différence entre baignoire et douche dans l’organisation des bains publics rappelle donc les inégalités qui traversent l’architecture et l’expérience du confort de la « masse des sans salle de bain », largement majoritaire en Belgique jusque dans les années 1970.

    Article de Sophie Richelle, historienne et chercheuse post-doctorante à l’ULB ; et commissaire de l’exposition Oh ! Ca ne coule pas de source. Cliquez sur ce lien pour revoir sa passionnante conférence sur les bains publics.

    news

    Revoir la conférence "Bancs publics ? Non ! Bains publics..."

    news, projet scientifique

    Lieux méconnus, effacés des mémoires par la généralisation des salles de bains individuelles à partir des années 1950, les bains publics nous racontent pourtant la ville et la vie des classes populaires. Présents dans la plupart des villes belges jusqu’à aujourd’hui, ils sont les témoins d’un histoire des gestes de l’intime qui n’échappe pas aux inégalités ordinaires de classes et de genre.

    Sophie Richelle
    Sophie Richelle est historienne, chercheuse post-doctorante à l’ULB. En plaçant au centre de son attention l’expérience sensible, matérielle et humaine d’espaces resserrés et particuliers, elle tente de raconter l’histoire de celles et de ceux qui ont laissé peu de traces. De l’asile de folles aux hospices de vieux, elle poursuit aujourd’hui ses questionnements avec les bains publics.

    Cette conférence a eu lieu le 26 février 2022. Elle était proposée dans le cadre de l’exposition Oh ! Ça ne coule pas de source.

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    Revoir la conférence "Eau à tous les étages"

    news, projet scientifique

    Dans la seconde moitié du 19e siècle,  l’eau courante est installée dans les habitations. Elle entraine toute une série d’évolutions dans l’architecture de la maison, mais aussi au niveau des comportements et de l’organisation de la vie quotidienne.

    Vincent Heymans
    Vincent Heymans est docteur en Philosophie et Lettres. Il dirige la Cellule Patrimoine historique de la Ville de Bruxelles, chargée de la gestion et de la valorisation du patrimoine architectural. Il est administrateur du site archéologique du Coudenberg.
    Il enseigne l’histoire de l’architecture à l’Université Libre de Bruxelles, à l’ESA Arts2 et à l’ENSAV La Cambre. Il a de nombreuses publications à son actif, principalement dans le domaine de l’histoire de l’architecture et de la conservation du patrimoine.

    Cette conférence a eu lieu le 26 janvier 2022, dans le cadre de l’exposition Oh ! Ça ne coule pas de source.

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    l'égout, une infrastructure au service de “la nature” ?

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    Aujourd'hui, on tire la chasse et c'est parti. Pourtant, cela ne s'est pas toujours passé ainsi. Jusqu'au milieu du 19e siècle, les excréments bruxellois étaient récupérés et transformés en engrais. De leur côté, les canalisations d'égout servaient essentiellement à évacuer les eaux pluviales. L'adoption du “tout à l'égout” (rejet des matières fécales dans les canalisations souterraines avec les eaux pluviales) met fin au “cycle des immondices” qui permettait de rendre aux campagnes, sous forme d'engrais, les nutriments consommés en ville sous forme de denrées alimentaires.

    Le tout-à-l’égout fait partie de l’arsenal des mesures déployées au milieu du 19e siècle par les tenants du mouvement hygiéniste pour assainir la ville. Pourtant, loin de faire consensus, les perspectives ouvertes par ce nouveau dispositif se heurtent d’emblée à d’importantes critiques. D’une part, celles-ci portent sur le gaspillage de nutriments qu’implique l’évacuation des latrines à l’égout à une époque où les sources en matières fertilisantes sont limitées. D’autre part, elles dénoncent l’effet délétère de ce dispositif sur les cours d’eau dans lesquels les égouts se déversent faute de systèmes performants d’épuration des eaux usées.

    Ancienne latrine collective non raccordée à l'égout et non munie de chasse d'eau, située dans la cour de l’impasse Sainte-Ursule, dans les Marolles, vers 1920, Archives de la Ville de Bruxelles
    Ancienne latrine collective non raccordée à l’égout et non munie de chasse d’eau, située dans la cour de l’impasse Sainte-Ursule, dans les Marolles, vers 1920, Archives de la Ville de Bruxelles
    Caricature d'un Écossais faisant ses besoins dans un baquet, James GILLRAY, National conveniences, dessin à l’encre, 1796, National portrait Gallery, Londres
    Caricature d’un Écossais faisant ses besoins dans un baquet, James GILLRAY, National conveniences, dessin à l’encre, 1796, National portrait Gallery, Londres

    Le premier congrès d’hygiène, qui se tient à Bruxelles en 1852, va jouer un rôle déterminant dans l’atténuation de ces voix contestataires en présentant le tout-à-l’égout sous une forme nouvelle.

    Le conseil sanitaire de Londres à la recherche des agents pathogènes dans l'espace urbain (Welcome Library, London)
    Le conseil sanitaire de Londres à la recherche des agents pathogènes dans l’espace urbain (Welcome Library, London)

    L’égout au coeur des cycles naturels

    Lors de cette rencontre, Frederick Oldfield Ward, ambassadeur du célèbre réformateur anglais Edwin Chadwick, présente une allocution intitulée Circulation ou stagnation : les systèmes artériel et veineux pour l’assainissement des villes. Conformément aux grandes théories hygiénistes, il dénonce l’insalubrité liée à l’accumulation, au sein de l’espace urbain, des matières organiques en décomposition tels que les excréments. Pour y remédier, il propose de substituer aux fosses d’aisances un système d’écoulement et d’évacuation continue des matières excrémentielles.

    Grâce à un vaste réseau tubulaire élaboré sur le modèle de la circulation sanguine, sa proposition vise à fluidifier les échanges entre ville et campagne : « après avoir servi aux besoins de la population, [l’eau] s’en va, enrichie de résidus fertilisants, qu’elle entraine avant qu’ils n’aient eu le temps d’entrer en fermentation. Ces engrais, elle les charrie le long des tuyaux d’irrigation, pour les déposer dans le sol ; qu’elle traverse ensuite pour entrer dans les tuyaux de drainage ; d’où elle passe enfin aux rivières. Les rivières la conduisent à l’Océan, d’où elle s’élève en vapeur sous la chaleur du soleil, pour redescendre en pluie sur la colline, pour pénétrer encore une fois dans les tuyaux de collection, et pour recommencer ainsi son vaste et utile cercle.1»

    Le cycle des nutriments intact et rompu suite à l'adoption du tout-à-l'égout qui implique le recours aux engrais chimiques et a pour corollaire la pollution des cours d'eau. JENKINS J., The Humanure Handbook, A guide to composting Human Manure, Joseph Jenkins Incorporates, 1996
    Le cycle des nutriments intact et rompu suite à l’adoption du tout-à-l’égout qui implique le recours aux engrais chimiques et a pour corollaire la pollution des cours d’eau. JENKINS J., The Humanure Handbook, A guide to composting Human Manure, Joseph Jenkins Incorporates, 1996

    Loin de rompre les liens métaboliques entre la ville et les champs, le tout-à-l’égout assurerait leur perpétuation sous une forme plus aboutie. Dans ce modèle, l’infrastructure technique n’est pas l’antithèse de la nature, mais un moyen de de son accomplissement. Le tuyau prolonge le réseau hydrographique. Comparé aux artères assurant la circulation du sang dans le corps humain, il apparaît aussi essentiel et naturel que la pluie ou les cours d’eau. L’infrastructure d’assainissement devient, dans le modèle défendu par Ward, un maillon du cycle naturel de l’eau et des nutriments. Couplé à un système d’épandage des eaux usées, le tout-à-l’égout assurerait à la fois le retour à la terre des nutriments utiles à leur fertilisation et l’assainissement des eaux usées par filtration dans les sols avant leur rejet à la rivière. Avec ce modèle, Ward entend réconcilier préoccupations sanitaire et agricoles. Ce faisant, il rend caduques les différentes objections énoncées à l’encontre du “tout-à-l’égout”.

    Ce modèle va marquer les esprits. Accueilli avec sympathie mais retenu par les rapporteurs du congrès (qui estiment qu’il est trop nouveau pour qu’ils puissent se prononcer à son sujet), il va s’imposer à Bruxelles quelques années plus tard.

    Vive le tout-à-l’égout, mort à la rivière

    A partir de 1857, le tout-à-l’égout est progressivement admis dans la Capitale belge. En 1866, le conseil communal adopte le projet de voûtement de la Senne proposé par l’architecte Léon Suys. Celui-ci prévoit que les pertuis de la Senne soient bordés, de part et d’autres, par deux collecteurs destinés à servir d’épine dorsale au réseau d’égout. Mais aussi, contraint par la Province de Brabant à épurer les eaux drainées par ces égouts avant qu’ils ne  rejoignent la Senne à l’aval de Bruxelles, le Conseil communal va adopter un projet d’épandage d’eaux usées sur les plateaux de Haren. Des expériences d’épuration par infiltration dans les champs, menées dans des fermes anglaises avaient alors montré qu’un tel dispositif permet d’obtenir à la sortie une eau « qui n’a ni odeur ni saveur rappelant son origine 2».

    Gravure d'une ferme d'épandage agricole à Barking, dans la banlieue de Londres, 19e siècle, Creative Commons, Wellcome Collection
    Gravure d’une ferme d’épandage agricole à Barking, dans la banlieue de Londres, 19e siècle, Creative Commons, Wellcome Collection

    En 1871, les travaux d’assainissement prévus dans Bruxelles sont achevés et inaugurés en grande pompe. Cependant, à l’aval de l’agglomération, le projet destiné à épurer les eaux usées est reporté, puis réduit à une petite expérimentation avant d’être abandonné. De fait, les eaux usées drainées par les quelque 17 775 mètres de collecteurs d’égouts, construits entre Bruxelles et Haren, et dont le débit est alors évalué à plus de 85 000m3 d’eaux usées par jour, seront évacuées sans traitement dans la Senne.

    Lorsque l’infrastructure disparaît dans la nature

    En incorporant le réseau d’assainissement aux cycles naturels, le modèle présenté par Ward a joué un rôle non négligeable dans l’acceptation du tout-à-l’égout.

    L’application de ce modèle à Bruxelles, amputé de sa dimension “assainissement des eaux usées”, n’a pas permis de maintenir un lien métabolique entre ville et campagne. Au contraire, il a entraîné la pollution durable de la Senne par les matières excrémentielles. Suite à l’abandon du projet d’épandage bruxellois aux cours des années 1870, il faudra en effet attendre les années 2000 pour que les eaux usées de Bruxelles soient épurées par des stations d’épuration avant d’être rejetées à la Senne. Si ces infrastructures répondent (en grande partie ) aux préoccupations écologiques liées à la pollution des cours d’eau par les eaux usées, elles ne solutionnent pas la question du retour à la terre des nutriments (azote, phosphore).

    Loin d’être propre à Ward ou au 19e siècle, l’incorporation des infrastructures techniques au sein des cycles biogéochimiques se retrouve aussi dans les projets d’écologie industrielle qui ont pris leur essor au cours des années 1970.

    DUVIGNEAUD P., « L'écosystème Bruxelles », in P. HAVELANGE, P. DUVIGNEAUD & S. DENAYER-DE SMET, L'Écosystème urbain: Application à l'Agglomération bruxelloise, (International Symposium organized by the Brussels' agglomeration, 14-15 September 1974), Brussels : éd. Agglomération, 1975, pp. 45-57
    DUVIGNEAUD P., « L’écosystème Bruxelles », in P. HAVELANGE, P. DUVIGNEAUD & S. DENAYER-DE SMET, L’Écosystème urbain: Application à l’Agglomération bruxelloise, (International Symposium organized by the Brussels’ agglomeration, 14-15 September 1974), Brussels : éd. Agglomération, 1975, pp. 45-57

    Aujourd’hui, alors qu’avec l’engouement pour l’économie circulaire ce type de représentation bénéficie d’un regain d’intérêt, il ne doit pas faire oublier que les larges systèmes d’infrastructures techniques, loin de se fondre dans la nature, ont un impact déterminant sur le milieu dans lequel ils sont implantés et que celui-ci échappe souvent aux prévisions de leurs promoteurs. La tendance à les représenter sous forme organique ne doit pas non plus masquer qu’une fois construites, ces infrastructures rigides, lourdes et dispendieuses peuvent difficilement être démantelées ou adaptées à des systèmes alternatifs et décentralisés plus souhaitables.

    Le cas du tout-à-l’égout bruxellois nous invite à nous interroger : tout compte fait, est-ce une bonne idée de rejeter nos déjections dans les infrastructures souterraines ? Les égouts peuvent-il encore être perçus comme un élément sophistiqué du cycle de l’eau ?

    Pour en savoir plus, venez découvrir l’exposition Oh ! Ça ne coule pas de source, actuellement à la Fonderie.

     

    1 Ward M. F. O., 1852. « Circulation ou stagnation ? », Congrès général d’hygiène, à Bruxelles, première séance, 20 septembre 1852, discours de M. F. O. Ward (Angleterre). Bruxelles : Librairie universelle de Rozez, p. 6.
    2 Ville de Bruxelles, 1866. Deuxième rapport de la commission chargée de constater les résultats des opérations de sewage en Angleterre. In : B.C.B. Séance du 17 mars, tome 1, p. 253.

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    Revoir la conférence - Les dessous de l'eau quotidienne à Bruxelles : histoire et perspectives

    news, projet scientifique
    Dans cette conférence, Chloé Deligne vous dévoile les lignes de tensions scientifiques, politiques et sociales liées à la distribution de l'eau à Bruxelles.

    Le premier réseau de distribution à domicile est inauguré en 1855 à Bruxelles-Ville. L’extension rapide de ce réseau vers les communes limitrophes et la création d’un second réseau en 1891 par les communes des faubourgs ne signifie pas que l’entrée de l’eau dans les logements bruxellois s’est produite de façon “naturelle” et sans heurt. Au contraire, la mise en place de la distribution d’eau à domicile a ouvert de nouvelles lignes de tensions, voire de conflits, qu’elles soient scientifiques, politiques ou sociales. La conférence évoquera ces lignes de tensions à travers l’histoire de l’eau quotidienne aux 19e et 20e siècles et montrera que certaines sont toujours actives tandis que d’autres sont réactualisées par les changements profonds de ce début de 21e siècle (paupérisation de la population bruxelloise ou dérèglement climatique).

    Chloé Deligne
    Chloé Deligne est historienne, formée en géographie et en sciences de l’environnement. Elle est également enseignante à l’ULB et chercheuse au FNRS. Elle est passionnée par les histoires d’eau et, plus généralement, par les questions sociales et écologiques qui touchent les habitants des villes.

    Conférence donnée le 15 décembre 2022 dans le cadre de l’exposition Oh ! Ca ne coule pas de source.

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    D’où vient l’eau qui coule du robinet des Bruxellois(e)s ? 

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    66 millions de m³ d’eau sont consommés chaque année en Région de Bruxelles-Capitale. Deux tiers de cette eau sont utilisés par les ménages. En moyenne, un(e) Bruxellois(e) consomme environ 98 litres d’eau par jour. Mais d’où vient toute cette eau ? 

    À première vue, il ne manque pas d’eau à Bruxelles.
    Crachins, averses et grosses draches nous font régulièrement nous hâter dans les rues de Bruxelles. Sur le petit territoire de la région, il pleut d’ailleurs plus au sud-est, près de la forêt et davantage en « altitude » qu’au nord. L’eau est aussi visible dans le canal, les tronçons de cours d’eau à ciel ouvert ou les plans d’eau des espaces verts. Elle émerge également de sources souvent discrètes et méconnues. 

    Beaucoup d’eau se cache également à Bruxelles. Une grande partie des cours d’eau a été voûtée, totalement ou partiellement, et passe aujourd’hui dans les égouts. L’eau s’accumule aussi dans des nappes phréatiques plus ou moins profondément sous nos pieds. Enfin, n’oublions pas l’eau « atmosphérique » qui s’évapore sous le soleil ou par transpiration des végétaux. 

    Bruxelles n’est donc pas pauvre en eau. Et pourtant… seuls 3% de l’eau potable consommée dans la capitale y sont produits : cette eau est captée, depuis 1875, dans des nappes situées en Forêt de Soignes et au Bois de la Cambre.

    Inauguration des galeries de drainage sous la Forêt de Soignes, gravure parue dans Le Monde illustré, 1879
    Inauguration des galeries de drainage sous la Forêt de Soignes, gravure parue dans Le Monde illustré, 1879. La Fonderie – fonds VIVAQUA

    Mais alors, d’où viennent les autres 97 % d’eau potable consommée à Bruxelles ? 

    Jusqu’au 19e siècle, l’eau des Bruxellois était « locale » (puits, fontaines, sources, premiers réseaux d’approvisionnement réservés aux élites…) et la plupart des Bruxellois vivaient sans eau à domicile. Au milieu du 19e siècle, pour faire face à la croissance démographique et aux préoccupations hygiénistes grandissantes, la Ville décide de chercher de nouvelles ressources en eau. C’est le début de travaux colossaux pour la mise en œuvre d’infrastructures d’approvisionnement qui puissent assurer aux habitants la fourniture d’une eau en quantité et en qualité suffisantes.

    C’est naturellement vers la Wallonie que les autorités se tournent. Enjeux politiques, prouesses techniques et découvertes scientifiques émaillent la mise en place progressive de ce réseau d’approvisionnement qui démarre, en 1855, avec le captage des sources du Hain à Braine-l’Alleud. Un aqueduc (toujours existant et en fonction jusque 1972) amène l’eau par gravité jusqu’à un réservoir à Ixelles, d’où repartent des canalisations qui quadrillent les rues.

    Construction du réservoir de Boitsfort.
    Construction du réservoir de Boitsfort. Archives photographiques Vivaqua

    En 1891, la première compagnie intercommunale de Belgique, la CIE (aujourd’hui VIVAQUA), est créée. Elle ira chercher l’eau potable à 80 km de Bruxelles dans les vallées du Bocq près de Dinant et du Hoyoux près de Huy. Au 20e siècle, elle développe son réseau pour trouver toujours plus d’eau, dans des lieux de plus en plus nombreux, pour des usages et des habitants de plus en plus « aquavores » : eaux puisées dans les mines désaffectées de Vedrin (Namur), captages dans la région de Mons (Nimy, Havré), eaux des carrières désaffectées des régions de Fleurus et d’Écaussinnes…, mais également eaux de surface, essentiellement pompées dans la Meuse et potabilisées à l’usine de Tailfer entre Namur et Dinant.

    Des ouvriers aménageant la galerie d'adduction au fond de la mine de Vedrin
    Des ouvriers aménageant la galerie d’adduction au fond de la mine de Vedrin, 1962 Archives photographiques VIVAQUA

    Ce sont donc des eaux lointaines et d’origines diverses qui abreuvent Bruxelles. Une fois captées, elles sont acheminées vers la ville via des canalisations (500 kilomètres d’installation pour l’adduction vers Bruxelles). Elles sont ensuite stockées et mélangées dans des réservoirs (Rhode-Saint-Genèse, Boitsfort, Uccle…) avant d’être envoyées dans les conduites du réseau de distribution (2000 kilomètres de canalisations sous les rues)… et d’entrer dans nos maisons.

    Pose d'un siphon sous une bretelle d'autoroute à Braine-l'Alleud (sur le collecteur de Callois vers Uccle)
    Pose d’un siphon sous une bretelle d’autoroute à Braine-l’Alleud (sur le collecteur de Callois vers Uccle), Archives photographiques VIVAQUA

    Pour en savoir plus, venez voir l’exposition Oh ! Ca ne coule pas de source à La Fonderie jusqu’en juin 2026…
    Cette exposition est le fruit d’un partenariat entre La Fonderie – Musée bruxellois des industries et du travail –, le Laboratoire interdisciplinaire en Études urbaines de l’Université Libre de Bruxelles et VIVAQUA qui y participe dans le cadre de ses 130 ans.

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    La boite est vernie !

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    Ce mercredi 17 novembre après-midi a eu lieu le vernissage de l’exposition C’est dans la boîte ! Les Marolles et la Samaritaine. Voilà une belle conclusion pour ce projet d'éducation permanente riche en rencontres et apprentissages !

    Nous n’étions pas très nombreux mais le moment fut chaleureux. L’équipe au grand complet, des bénévoles et des bénéficiaires de la Samaritaine étaient là et ont découvert – visiblement avec plaisir – ce que notre groupe avait trouvé et produit durant cette aventure dont l’objectif était, rappelons-le, de réaliser une boite de documentation multimedia sur le passé et le présent de l’association et du quartier dans lequel elle œuvre.  

    Pour les travailleurs de La Fonderie qui ont mené le projet, ce fut une merveilleuse aventure et nous garderons d’excellents souvenirs des moments passés avec et à la Samaritaine. Nous sommes prêts à entamer le travail dans un autre quartier, sur d’autres sujets, avec un nouveau groupe. Avis aux amateurs !

    La boite s’expose au Musée bruxellois des industries et du travail jusqu’au dimanche 19 décembre 2021. L’exposition est ouverte du mardi au vendredi de 10h à 17h, les weekends et jours fériés de 14 à 17h. Entrée gratuite.

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    Pétition pour une passerelle Guido Vanderhulst

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    Ce 15 novembre, voilà deux ans que nous a quittés Guido Vanderhulst. Un collectif d'associations et de personnalités, dont La Fonderie, se mobilise pour honorer sa mémoire. Nous souhaitons faire baptiser à son nom une passerelle au dessus du canal à Bruxelles. Le pont, avec toute sa symbolique, est bien représentatif de ce qu'était Guido : un rassembleur. Nous vous invitons à signer une pétition pour soutenir le projet.

    Sauvetage de Tour et Taxis, de la brasserie Wielemans Ceuppens ou encore du Familistère Godin. Création d’asbl à vocation sociale et solidaire ou encore d’institutions culturelles de premier plan… Bruxelles doit beaucoup à Guido Vanderhulst (1940 – 2019). Ce lundi 15 novembre, cela fait tout juste deux ans qu’il nous a quittés. A cette occasion un collectif d’associations et de personnalités lance une pétition afin de faire reconnaitre l’étendue de son travail et son impact dans le domaine du patrimoine industriel et social bruxellois. L’objectif : faire inscrire le nom de Guido Vanderhulst dans l’espace public. Le lieu pressenti : la passerelle au-dessus du canal reliant Anderlecht à Molenbeek au niveau de la rue de Gosselies.

    Guido Vanderhulst
    Sociologue de formation, Guido a consacré sa vie à la défense du Vieux Molenbeek et de ses habitants. En 1978, il a créé l’asbl La Rue, association d’éducation populaire qui entre autres actions a œuvré pour la création d’espaces verts dans les quartiers densément bâtis : le parc de La Fonderie, l’espace Pierron, l’îlot Het Pleintje. Avec La Rue il a aussi persuadé les autorités d’acquérir l’ancien dépôt des bières “Belle-Vue”, qui deviendra l’Auberge de Jeunesse Génération Europe.
    Guido Vanderhulst a été l’initiateur de l’asbl La Fonderie, Musée bruxellois de l’industrie et du travail, établi sur le site de l’ancienne Compagnie des Bronzes. Il a été à la base du sauvetage du site emblématique de Tour & Taxis, du Familistère de Godin à Laeken, des bâtiments de la brasserie Wielemans-Ceuppens à Forest.
    Il a également collaboré à nombre d’ouvrages scientifiques sur l’histoire sociale et industrielle de Bruxelles.
    Il est devenu membre de la Commission Royale des Monuments et des Sites en 1989 et en aura été le président de 2008 à 2011. Il est également membre fondateur du Conseil bruxellois des Musées, aujourd’hui Brussels Museums, et en a assuré la présidence pendant près de 18 ans. Enfin, il a aussi été vice-président de Patrimoine Industriel Wallonie-Bruxelles, et le président-fondateur de l’asbl BruxellesFabriques / Brusselfabriek vzw.

    Guido Vanderhulst
    Guido Vanderhulst

    La passerelle à baptiser
    En raison de l’importance du personnage pour la défense des habitants des quartiers populaires ainsi que du patrimoine social et industriel à Bruxelles et ailleurs, les associations et personnalités signataires de ce projet proposent de baptiser “Passerelle Guido Vanderhulst” le nouveau pont mobile piétons/cyclistes enjambant le canal à hauteur de la rue de Gosselies, à Molenbeek. Il est situé devant la Grande Halle dont la rénovation est en cours quai de l’Industrie : c’est l’endroit idéal à consacrer à cet infatigable militant du patrimoine social et industriel de Molenbeek et de Bruxelles en général. Le canal et ses rives ont toujours été son centre d’intérêt principal. Il fut un précurseur dans la défense de cette zone. La première exposition organisée par La Fonderie, en 1986 avait d’ailleurs comme titre “Un canal, des usines et des hommes”. Le pont, avec toute sa symbolique, est bien représentatif de ce qu’était Guido : un rassembleur.

    Signez la pétition en cliquant ici !

    Les porteurs du projet
    Ce projet est porté par les soussigné.e.s, qui se sont illustré.e.s dans la défense du patrimoine industriel. Ensemble, nous lançons une pétition auprès du public plus large, solidaire des initiatives et réalisations de Guido Vanderhulst. Cette pétition sera remise à Mme Elke Van den Brandt, Ministre du Gouvernement de la Région de Bruxelles-Capitale, chargée de la Mobilité.

    asbl La Fonderie; Musée bruxellois de l’industrie et du travail; asbl La Rue; asbl Patrimoine Industriel Wallonie-Bruxelles (PIWB); asbl Brussels Museums; asbl Inter-Environnement Bruxelles (IEB); asbl BruxellesFabriques / vzw Brusselfabriek; vzw Foyer; vzw Bonnevie; Jean-Louis Delaet, président de The International Committee for the Conservation of Industrial Heritage (TICCIH-Belgium); Adriaan Linters, vzw Vlaamse vereeniging voor industriële archeologie (VVIA); Patrick Viaene, Expertisecel voor technisch, wetenschappelijk en industrieel erfgoed (ETWIE); Anne Van Loo, ancienne secrétaire permanente de la Commission royale des Monuments et des Sites de la Région de Bruxelles-Capitale; Jacques Debatty, ancien Secrétaire fédéral adjoint de la Fédération bruxelloise des Syndicats chrétiens (CSC-ACV); Myriam Gerard, ancienne Secrétaire régionale CSC Bruxelles; François Schreuer, UrbAgora et revue Dérivations; Marc FRÈRE, président asbl ARAU; René Schoonbrodt, fondateur de l’asbl ARAU et de l’asbl IEB; Gabrielle Clotuche; Ria Kaatee; Marie-Claire Migerode; Johan Proot; Nora De Kempeneer, ex responsable du Gemeenschapscentrum De Markten; Lieve Grauls; Olivier Bastin, past BouwMeester/Maître Architecte de la Région de Bruxelles-Capitale; Anne-Sophie Van Neste; Jean-Marie Desmet, président de la maison de quartier Bonnevie; Marcel Rijdams.

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    La Fonderie se joint à Still Standing for Culture

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    Still Standing for Culture est un mouvement qui rassemble plus d'une centaine d'institutions culturelles en Wallonie et à Bruxelles. Ensemble, nous revendiquons le déconfinement du secteur de la culture.

    Aftermovie du concert de The Miracle à La Fonderie, le 1er mai 2021.

    Nous sommes des cinémas, théâtres, centres culturels, lieux pluridisciplinaires, festivals, salles de concert, centres d’expression et de créativité, maisons de jeunes, cafés associatifs… Nous représentons une partie de la diversité des pratiques culturelles en Wallonie et à Bruxelles.

    De manière concertée, dans le cadre de la cinquième action de Still Standing for Culture, nous avons décidé de vous accueillir à nouveau après 6 mois de fermeture. D’autres rejoindront probablement ce mouvement. D’autres encore ont déjà annoncé des actions similaires de leur côté.

    Entre le 30 avril et le 8 mai, il y aura chaque jour en Belgique des activités culturelles : projections, spectacles, concerts, débats, performances, répétitions publiques… Le samedi 1er mai sera particulièrement foisonnant, parce que la Journée Internationale des Travailleur.se.s symbolise notre volonté de renouer avec nos métiers et avec leur dimension publique.

    Pendant ces 9 jours, certains opérateurs vous accueilleront dans leurs salles, d’autres en extérieur. Tous le feront dans le respect des protocoles sanitaires décidés par les pouvoirs publics et appliqués entre juillet et octobre 2020 (port du masque, gel hydroalcoolique, distances et sièges vides entre chaque bulle…).

    Nous avons choisi de rendre notre action publique à la veille d’une réunion du Comité de concertation qui doit enfin, après des mois de silence et de désintérêt, se pencher sur la reprise des activités culturelles, associatives, sportives…

    Si, à l’issue de cette réunion, les activités culturelles sont autorisées à reprendre immédiatement, comme nous le souhaitons, nous pourrons donc vous accueillir dans un cadre légal.

    Si, au contraire, la reprise culturelle reste conditionnée à un calendrier arbitraire, à de énièmes expériences tests ou à des paramètres épidémiologiques auxquels d’autres secteurs ne sont pas soumis, nous maintiendrons notre programmation.

    • Nous le ferons parce que nous voulons sortir de cette logique destructrice qui sacrifie les activités porteuses de sens, de débat et de lien social, et les relègue au rang de variables d’ajustement. Parce que les cartes blanches, les interpellations politiques et les précédentes actions n’ont pas fait bouger les lignes. Parce que nous répétons depuis des mois, sans être entendus, qu’il faut arrêter d’opposer les secteurs et que toutes les activités humaines doivent pouvoir reprendre de manière proportionnelle face à la situation sanitaire.

    • Nous le ferons parce que la précarité et le désespoir gagnent, et que la solidarité se désagrège. Parce que nous assumons des missions de service public. Parce que rouvrir est une première étape pour sortir d’une situation qui va nous impacter pour longtemps encore. Parce que l’indifférence et le mépris ne sont pas une réponse aux enjeux de notre époque. Parce que faire société, ce n’est pas uniquement rester chez soi, travailler et consommer.

    • Nous le ferons sans sous-estimer la dangerosité du virus, mais nous rappelons que les expériences et les études montrent que l’ouverture des lieux de culture n’a qu’un impact minimal sur les courbes de contamination face aux effets attribués aux activités des entreprises, des commerces et des services. Nous le ferons pour refuser que certains secteurs d’activités et certaines catégories de la population soient les seuls à porter le poids des mesures sur leurs épaules. Et pour défendre la diversité des lieux et des pratiques.

    Il est possible que le Comité de concertation du 23 avril décide de prolonger la fermeture des lieux culturels. Nous espérons toutefois que bourgmestres et procureurs n’interdiront pas cette action politique commune, juste, responsable et nécessaire face à une situation arbitraire qui ne peut plus durer. Quoi qu’il en soit, nous avons des arguments juridiques de poids et nous contesterons les éventuelles amendes, solidairement, qu’elles soient adressées aux organisateurs·rices, aux spectateurs·rices ou aux artistes.

    Nous espérons surtout vous retrouver nombreuses et nombreux pour recommencer à faire culture et à faire société ensemble.

    Pour en savoir plus sur le mouvement et sa programmation culturelle du 30 avril au 1er mai, rendez vous sur le site internet de Still Standing for Culture en cliquant ici. Dans ce cadre, La Fonderie accueillera The Miracle en concert le 1er mai.

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    Le printemps est là… c’est le moment de la « grande lessive » !

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    Plongeons dans une ancienne tradition : celle de la lessive du printemps. Au 19ème siècle, c'était toute une affaire.

    Dans les maisons, le printemps rime avec grand nettoyage et purification des intérieurs domestiques. Cette tradition printanière a longtemps également concerné le linge du foyer. En effet, jusqu’au 19e siècle, et parfois encore au 20e siècle, une « grande lessive » ou « grande buée » se fait systématiquement au printemps. Une autre est organisée en automne, à l’approche de la Toussaint.

    Seulement deux grandes lessives par an…, c’est que les dépenses en énergie et en temps sont considérables. Faite entièrement à la main par les femmes, la « buée » exige de nombreuses opérations éreintantes qui s’enchaînent sur plusieurs jours, sans compter le racommodage et le repassage. Avant l’eau courante, il faut aussi compter le temps et les efforts nécessaires pour aller à la rivière, au puits ou à la fontaine. Sans distribution généralisée du gaz et de l’électricité, il faut aussi mobiliser beaucoup de force physique pour brasser, frotter, rincer, tordre… le linge.

    Tableau La buée, auteur anonyme, vers 1645-1660 (Musée Fabre, Montpellier)
    La buée, auteur anonyme, vers 1645-1660 (Musée Fabre, Montpellier)

    Le premier jour de la buée, le linge sale accumulé est descendu du grenier, trié et mis à tremper dans un baquet d’eau froide. Le lendemain, il est placé dans un cuvier. L’eau est chauffée dans un chaudron en vue du « coulage » du linge. Sur le cuvier est étendue une toile où est déposée de la cendre de bois tamisée. Durant toute la journée, de l’eau de plus en plus chaude est versée sur l’ensemble. La cendre contient de la potasse qui dissout les matières grasses pouvant ainsi être entraînées par l’eau. Celle-ci emporte la saleté et s’écoule par un orifice situé dans la partie inférieure du cuvier. On récupère l’eau dans une bassine au sol et on la reverse dans le chaudron, avant de la transvaser à nouveau dans le cuvier. L’opération est longue et complexe, dans l’humidité et avec des risques de brûlures.

    Le linge est ensuite frotté et étalé sur l’herbe pour le blanchir. Le jour suivant, il est amené au lavoir ou à la rivière à l’aide de paniers ou de brouettes. Il est frotté à la main ou à la brosse sur une planche, avec du savon. Il est battu pour en expulser la saleté. Il est ensuite rincé plusieurs fois puis tordu à la main. Alourdi d’eau, il est ramené à la maison pour être mis à sécher.

    Le tordage des grandes pièces de linge se fait souvent à deux, 1902 (Émile Henri t’Serstevens / KIP-IRPA)
    Le tordage des grandes pièces de linge se fait souvent à deux, 1902 (Émile Henri t’Serstevens / KIP-IRPA)

    Le coulage n’est pas pratiqué partout. Un autre procédé consiste à laisser tremper le linge toute une nuit dans une eau savonneuse. On chauffe l’eau le lendemain et on agite la lessive à l’aide d’un bâton.

    La buée, est réservée au « linge blanc » qui seul résiste au lavage à haute température et prédomine donc dans le trousseau familial. Fabriqué en lin, en chanvre et, à partir du 18e siècle, en coton, il comprend le linge de maison (draps, essuies, nappes…), ainsi que les chemises de nuit et les sous-vêtements. Étalé sur l’herbe pour être blanchi, il donne l’occasion aux foyers aisés d’exposer la richesse du trousseau familial et donc leur rang social.

    Femme à la lessive, France, vers 1900 (© Albert Harlingue / Roger-Viollet)
    Femme à la lessive, France, vers 1900 (© Albert Harlingue / Roger-Viollet)

    Il ne faut cependant pas croire qu’on ne lavait le linge que deux fois par an. Une « petite lessive » demandant moins de manipulations est faite à la main pour les pièces délicates ou de couleur, au fur et à mesure des besoins. Cette nécessité varie suivant les classes sociales. Les plus démunis lavent leurs vêtements chaque semaine, ce qui n’est pas nécessaire dans les foyers aisés où ils sont stockés en abondance.

    Pour le lavage du linge, les femmes ne disposeront pendant des siècles que d’une planche en bois nervurée, d’un battoir à linge, d’une brosse et d’une bassine. Elles s’aident parfois d’agitateurs munis de longs manches qui permettent de brasser plusieurs pièces à la fois, sans courber le dos et sans plonger les mains dans l’eau chaude. Les plus anciens sont entièrement en bois et dotés à leur extrémité inférieure de bâtons qui font office de pales. Plus tard, des agitateurs à ressort seront équipés d’une ventouse en métal.

    Blanchisseuses à Spa, vers 1890 (Musée de la Lessive, Spa)
    Blanchisseuses à Spa, vers 1890 (Musée de la Lessive, Spa)

    La « grande lessive » a marqué la mémoire collective des femmes. Cette activité communautaire rassemblait les femmes du hameau ou du village. Unies dans la besogne de purification, elles vivaient un moment de labeur, mais aussi de sororité et d’entraide.

    Françoise Marneffe, historienne et responsable des expositions à La Fonderie.

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    la persistante répartition du travail non rémunéré entre hommes et femmes (1966 - 2013)

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    Cette conférence vous est proposée dans le cadre de notre exposition Derrière le hublot. La lessive d’hier à demain. La lessive, en tant que tâche ménagère, soulève de nombreuses questions. A vrai dire, elle constitue le reflet de notre société.

    L’une de ces questions – et probablement une des plus interpellantes – concerne le lien automatique qui s’opère inconsciemment entre les tâches ménagères et la femme. Mais ne serait-ce pas qu’une simple perception ou cela correspond-il à la réalité ? Quelle distinction peut-on faire entre travail et labeur ? Comment la répartition des tâches domestiques entre les hommes et les femmes a-t-elle évolué au fil du temps ? Et enfin, quelle est la situation aujourd’hui ?

    Afin de répondre à ces questions, nous avons invité deux chercheurs de la VUB (Vrije Universiteit Brussel) qui étudient ce sujet depuis plusieurs années.

    Ignace Glorieux est professeur de sociologie. Il mène des recherches sur l’utilisation du temps quotidien et est président de l’IATUR (International Association for Time Use Research).

    Son collègue Theun Pieter van Tienoven est également sociologue et chercheur postdoctoral. Ses recherches portent sur la vie quotidienne, la répartition du travail entre hommes et femmes et les inégalités de genre.

    Cette conférence vous est proposée en néerlandais. Son titre original est De standvastige verdeling van de onbetaalde arbeid tussen vrouwen en mannen (1966 – 2013).

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    Fabriquer des machines près de chez nous

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    Depuis longtemps, nettoyer son linge nécessite un appui technique : savons, machines, essoreuses, fers à repasser, etc. Des machines à laver sont fabriquées dans la région bruxelloise. La ville produit des appareils tant pour son marché intérieur que pour l’exportation. Coup d'oeil sur Olympia, une de ces fabriques de chez nous...

    Les fabricants sont à l’origine des menuisiers, des tonneliers ou encore des chaudronniers qui adaptent leurs produits à de nouvelles fonctions. Ces artisans témoignent de beaucoup d’inventivité en produisant des mécanismes parfois très élaborés et en les adaptant aux ancêtres de nos machines à laver. Des firmes spécialisées dans la mise au point, la production et la diffusion d’appareils ménagers se multiplient dans la capitale à partir de la seconde moitié du 19e siècle. Pour outiller les ménagères ou les nombreuses blanchisseries, ils conçoivent des machines à laver, des tordeuses et des essoreuses. Ces petites sociétés assurent également un service après-vente de proximité, ajoutant par exemple un moteur électrique aux machines anciennes.

    Ancienne photo d'une machine à laver avec moteur électrique et essoreuse.
    Machine à laver avec moteur électrique et essoreuse.

    De la vingtaine de firmes présentes à Bruxelles et sa périphérie, nous voudrions pointer l’une d’entre elle : Olympia. Cette société a en effet été fondée par le grand père d’une des guides de la Fonderie, Sylvie De Bruyne. Son évolution est à l’image de beaucoup d’autres entreprises du même type et résume à elle seule une histoire mainte fois répétée.

    Cyriel De Bruyne est né à Machelen aan de Leie, près de Deinze, en 1913. Il est tonnelier de profession. Son entreprise familiale est florissante dans une région où la production de tonneaux est au diapason de demandes toujours plus importantes de brasseurs et autres marchands de liqueurs. Cyriel s’intéresse plus particulièrement à la mécanique et s’essaye tout naturellement à la construction de tonneaux de lessive. Le succès est au rendez-vous, à peine interrompu par la Seconde Guerre mondiale. En 1948, il crée avec son jeune frère Robert une société qu’ils baptisent du nom d’« Olympia », en hommage aux Jeux Olympiques qui se déroulent alors à Londres. Le grand-père de Sylvie s’occupe du travail manuel et de la confection des tonneaux, tandis que son frère est responsable de l’administration de l’usine de Machelen et des ventes .

    ancienne photo de famille représentant Cyriel et Maria De Bruyne et 3 de leurs enfants
    Photo de famille représentant Cyriel et Maria De Bruyne et 3 de leurs enfants

    Suite à une divergence d’opinions, les deux frères se séparent. Robert conservera la société et la développera. Cyriel retournera à la fabrication de tonneaux avant d’ouvrir un grand magasin d’électroménagers et de matériel de jardin à Olsene (Deinze). Il meurt à Waregem en 1992.

    La marque Olympia va connaitre un grand succès, surtout local. Les machines, très simples au niveau du design, sont réputées pour la qualité du lessivage. On les surnommait les « boerenwasmachines », les machines paysannes, pour souligner leur solidité : ce type de machines est acheté pour 20 ans et constitue un investissement sur le long terme, garanti par un service après-vente sans défaut.

    En 1967, une cinquantaine de fabricants de machines sont toujours signalés en Belgique. Leurs ateliers vont bientôt devoir s’effacer face à la concurrence de grandes multinationales qui inondent le marché de produits moins encombrants et à bas prix. L’arrivée de la machine automatique porte un coup fatal à ces petites entreprises locales, qui disparaissent au profit de sociétés étrangères. Mais Olympia se maintient malgré tout et produira des machines à laver automatiques et plus tard électroniques. La firme de Machelen conservera toujours une taille modeste, n’employant jamais plus de six personnes, et vendant surtout des machines en Flandre et à Bruxelles.

    Fons et Jan, les deux petits-fils du fondateur, décident finalement de cesser leurs activités en 2008. Il s’agissait de la dernière entreprise belge fabriquant des machine à laver. Pourtant, Olympia continue toujours de garantir un service de réparation. Leur site internet annonce d’ailleurs « Le 1er mars 2008, la production des machines à laver Olympia a été arrêtée. Cependant, vous pouvez encore profiter de notre service rapide et fiable pendant de nombreuses années. » Un rapide coup d’œil sur des sites de vente de seconde main montrent que ces machines inusables tiennent toujours la cote !

    article du Laatste Nieuws : laatste Belgische wasmachinefabrikant stopt ermee
    Article du Laatste Nieuws du 13/08/2008

    Aujourd’hui, dans des complexes ultra modernes, il est à peine plus rapide de faire une lessive que de fabriquer un lave-linge. Les plus grands fabricants actuels de machines à laver sont entre autres américains (General electric, Kenmore, Whirlpool), coréens (Samsung, LG), suédois (Electrolux) ou chinois (Haier). Mais l’ambiance de ces usines y est certainement beaucoup moins familiale que celle des ateliers des frères De Bruyne.

    Auteur : Pascal Majerus, conservateur de La Fonderie, Musée bruxellois des industries et du travail.

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    Le linge blanc… une valeur morale ?

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    Notre imaginaire associe le blanc à la pureté et à l'innocence. Pureté de l’âme et pureté du corps. Cette valeur symbolique du blanc est presque universelle et a traversé l’histoire. Notamment celle du linge et de la lessive...

    Culturellement le blanc représente la pureté. La robe de mariée en constitue un parfait exemple. A la fin du 18e siècle, la couleur blanche s’impose aux jeunes filles. Elle est censée figurer leur virginité. Mais le blanc est également la couleur de l’hygiène par excellence. Du coup, la saleté renvoie à la faute. Entretenir son linge avec soin devient donc une obligation morale.

    À la Renaissance, l’eau est considérée comme dangereuse pour la santé. On pratique la « toilette sèche ». En même temps, la chemise blanche devient essentielle. Porter une chemise sale est indécent et suspect. L’habit révèle une image de l’âme de celui qui la porte. Le blanc que l’on affiche témoigne donc de la pureté de celle-ci.

    Cette prédilection pour le blanc s’explique aussi par des raisons pratiques. Les tissus qui touchaient le corps (les draps, le linge de toilette, les sous-vêtements) devaient être blancs car c’était la seule couleur pouvant être lavée à haute température tout en restant stable. L’hygiénisme du 19e siècle a d’ailleurs fait du linge bouilli un de ses crédos pour venir à bout des épidémies.

    Assignée à l’entretien du linge, la femme est responsable de sa propreté et de sa blancheur. Elle en a la charge morale et culturelle, pour le bien familial et collectif. Les publicitaires contribueront à ancrer cette norme morale et hygiénique du blanc. Le graal du blanc parfait est une constante dans les campagnes promotionnelles des produits lessiviels. Leurs slogans quelque peu absurdes s’adressent à la femme représentée dans son rôle de mère et de ménagère : « lave plus blanc que blanc », « toujours plus blanc », « si blanc, on ne peut plus blanc »…

    Publicité pour la poudre à lessiver Tide, années 1950
    Publicité pour la poudre à lessiver Tide, années 1950. ©La Fonderie

    Les publicités d’époque véhiculent des messages propres à deux types de stéréotypes. D’une part,celui de la femme en charge des devoirs et tâches domestiques. D’autre part, des stéréotypes « raciaux » surfant toujours sur cette valeur du blanc. En témoignent des publicités pour des produits de lessive ou de l’eau de javel capables de « blanchir un nègre ».

    Publicité pour la lessive de la ménagère, 1892
    Publicité pour la lessive de la ménagère, 1892 (Bibliothèque Nationale de France)

    Un slogan impensable de nos jours… Et pourtant, en 2016, un spot publicitaire chinois semble tout droit s’en inspirer. Dans une salle de bain, un jeune homme noir taché au visage par de la peinture blanche est attiré par une jeune Chinoise. Elle lui met une dosette de lessive Qiaobi dans la bouche et le pousse dans une machine à laver. Un jeune Chinois « idéal » en ressort. Il a le teint clair et est tout propre dans son t-shirt blanc immaculé…

    Ce clip a été visionné des millions de fois sur les réseaux sociaux et a suscité un tollé international. Cependant, il existe des contre-exemples. Comme cette publicité italienne des années 2000 qui déjoue ces stéréotypes en vantant un produit de lessive destiné aux vêtements de couleur… Cette fois, c’est un homme blanc gringalet et sans allure qui se transforme en un homme noir musclé et attirant. « C’est mieux en couleur », affirme le slogan final.

     

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    Mesures sanitaires pour votre visite au musée

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    A La Fonderie, la sécurité et la santé du public, des collaborateurs et du personnel constituent notre priorité. Voici quelques règles sanitaires mises en place pour vous permettre de profiter en toute sérénité de nos expositions, activités et services.

    La Fonderie est heureuse de vous accueillir au musée bruxellois des industries et du travail. Pour vous garantir une visite agréable et sûre, nous vous demandons juste de respecter quelques règles de sécurité.

    Port du masque
    Le port du masque est nécessaire sur l’ensemble du site de La Fonderie : le site extérieur, le musée et le bâtiment administratif comprenant le centre de documentation. Nous vous demandons de le porter pendant l’ensemble des activités : visites d’exposition, visites guidée, stageou consultations du centre de documentation.
    Conformément aux dispositions relatives à l’horeca, vous en êtes dispensés lorsque vous consommez nourriture ou boissons à la cafétéria ou en terrasse. 

    Gestes barrière
    Une distance physique d’1m50 est requise entre personnes ne partageant pas la même bulle. Une solution hydro-alcoolique est à votre disposition au musée. Il vous est demandé de vous désinfecter les mains à votre entrée et à votre sortie. 

    Nombre de visiteurs du Musée
    Le musée bruxellois des industries et du travail limite le nombre de visiteurs à maximum 10 personnes par tranche horaire.

    Réservation et paiement
    Il est fortement conseillé de réserver votre visite au musée à l’avance. Veuillez nous contacter du lundi au vendredi (10h – 17h) et le weekend (14h – 17h) par téléphone ou par e-mail : reservation@lafonderie.be – 02 410 99 50. Le paiement se fait au musée. Nous vous demandons de privilégier les paiements par carte bancaire.

    Paiement pour les visites guidées
    Dans le cas des visites guidées en ville, nous recommandons vivement le paiement anticipatif par virement bancaire. Si vous préférez payer le jour même, nous vous prions de remettre la somme exacte au guide.

    Cafétéria fermée
    Conformément aux dispositions relatives à l’horeca, la cafétéria du musée est temporairement fermée.

    Centre de documentation
    Le centre de documentation est actuellement fermé aux visiteurs jusqu’au 19 novembre inclus. Cependant, l’équipe se pliera en quatre pour répondre à vos questions et vos besoins. Vous pouvez nous contacter : centredoc@lafonderie.be  - 02 413 11 80 ou 76 .

    Personne de contact
    Si vous avez des questions ou des remarques par rapport aux mesures sanitaires de La Fonderie, vous pouvez contacter notre Covid manager Anne-Sophie Walazyc à l’adresse info@lafonderie.be ou au 02 410 10 80 .

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    Réouverture du musée bruxellois des industries et du travail

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    Le musée bruxellois des industries et du travail a réouvert ses portes ce 1er décembre. La culture se déconfine petit à petit. Toute l'équipe de La Fonderie se réjouit de vous revoir !

    Dans un post sur notre compte Facebook, nous vous avions promis de faire fleurir nos rosiers jusqu’à votre retour à la fin de ce 2ème confinement. La mission est accomplie.

    Afin de rendre votre visite la plus agréable et la plus sûre possible, nous avons mis en place toutes les mesures nécessaires. Nous vous invitons à les parcourir sur cette page info. Nous vous rappelons par ailleurs qu’il est préférable de réserver votre visite par e-mail à l’adresse reservation@lafonderie.be ou par téléphone au 02 410 99 50.

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    La Fonderie vous propose 4 façons de témoigner de votre travail

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    Il fait l’histoire des hommes, des femmes et de la ville. Il témoigne des modes de vie, des combats sociaux, des luttes menées par les uns et les autres. Il évolue avec les techniques et les idées. Il est le témoin d’une époque.  C'est le travail. Et pour pouvoir le documenter, La Fonderie a besoin de vous...

    Faire ses devoirs, ramasser les pommes tombées de l’arbre pour en faire de la compote, effectuer un stage, passer ses examens, préparer un entretien d’embauche, faire sa vaisselle, exercer un métier, faire son repassage, éduquer les enfants, donner de son temps libre à une association, présider un comité de parents à l’école, réparer sa toiture, former son remplaçant, écrire ses mémoires… Le travail, c’est la vie.

    On le fait par choix ou par obligation, avec les pieds de plombs ou par plaisir, bénévolement ou contre rémunération. On l’effectue au bureau ou à l’usine, dans le jardin ou à l’école, de jour comme de nuit, pour le bien commun ou pour sa propre santé mentale. C’est un hobby ou un métier. 

    Nous y passons toute-s. Avec plus ou moins de bonheur. Il nous apporte compétences, savoir-faire et savoir-être. Il nous fait grandir, nous honore ou nous ennuie. Il occupe la majeure partie de notre temps. Et nous avons toutes et tous quelque chose à dire à son propos. 
    A La Fonderie, le travail nous intéresse, voie même nous obsède. Nous le décortiquons, l’étudions, l’exposons, et transmettons ce qu’il nous apprend. Et pour cela, on a aussi besoin de vous…

    Voici 4 projets d’éducation permanente. 4 façons bien distinctes qui vous permettent de témoigner de votre travail… 

    Dis moi ce que tu fais

    Une table, quelques verres, deux, trois ou quatre personnes assises… Ils et elles discutent de leur travail. « Que fais-tu ? » ; « ça se passe comment ? » ; « tu trouves ton travail utile ? » ; « qu’est-ce qui t’a donné envie de faire ça ? » ; « comment crois-tu que ton travail va évoluer ? »… 
    La conversation est enregistrée. Cet enregistrement sera versé dans la base de données de mémoire orale du centre de documentation de La Fonderie. Une capsule audio sera montée et diffusée sur notre site internet. Et la matière ainsi recueillie servira à la rédaction d’un Dictionnaire subjectif du travail. Autant de façons de faire profiter le plus grand nombre d’entre vous de l’intéressant échange qui aura eu lieu. 
    P
    our en savoir plus sur le projet, cliquez ici…

    Ces métiers qui sont les nôtres

    Un groupe de personnes qui au départ, ne se connaissent pas. Des rencontres, des visites, des animations, des jeux, des débats, des ateliers… Pendant un an, nos métiers seront le fil conducteur de nos activités et à travers eux, nous apprendrons à mieux nous connaître.
    Durant la deuxième année, nous dissèquerons ce que nous avons dit et fait l’année précédente. Avec l’aide d’un comédien et metteur en scène, nous en ferons du théâtre amateur.  
    Pour en savoir plus sur le projet, cliquez ici…

    Atelier d’écriture “Une vie de labeur”

    Quand j’étais petit-e, je travaillais… ; Faites le portrait d’un travailleur dans un siècle ; Écrivez l’épitaphe de votre travail.
    Voici quelques exemples de consignes données aux participant-e-s à cet atelier d’écriture qui se veut à la fois créatif et documentaire. Ici, l’animatrice ne corrige pas votre style et ne vous donne aucun truc d’écrivain, sauf à la demande mais ce n’est pas le but. Elle met en place par contre un contexte et utilise une méthode de travail pour vous inspirer un maximum de textes sur les mille et une formes que prend votre travail, au quotidien ou plus particulier. Elle fait émerger des récits parfois documentaires, parfois plus fantaisistes, qui contribueront à documenter l’histoire du travail à Bruxelles, hier, aujourd’hui et demain.
    Pour en savoir plus sur ce projet, cliquez ici…

    Bilan : groupe de paroles pour jeunes retraités

    Après avoir effectué un, deux, ou une multitude de métiers, il est temps de faire « place aux jeunes » comme on dit, et de prendre « un repos bien mérité ». Mais à quoi aspirez-vous réellement ? 
    Vous êtes jeune retraitée ou retraitée ou en passe de le devenir. Vous avez derrière vous une carrière riche en enseignements et devant vous… l’inconnu. Vous avez envie de retracer l’histoire de votre carrière, d’en faire le témoignage et, ce faisant, de réfléchir avec d’autres à la suite. Nous vous proposons de rejoindre notre groupe de parole qui débutera en février (à condition que la situation sanitaire le permette et si ce n’est pas le cas, nous trouverons une façon de le faire… autrement). 
    Pour en savoir plus sur ce projet, cliquez ici…

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    la fonderie recrute un.e conservateur/conservatrice adjoint.e

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    Le ou la conservateur/ conservatrice adjoint.e aura pour mission principale d’assurer la gestion scientifique et administrative des collections, valoriser les collections, organiser et gérer le déménagement des collections, organiser les réserves muséales et les nouveaux espaces.

    Les collections du musée comportent une grande diversité d’objets : œuvres d’art – notamment des plâtres ou dessins de la Compagnie des Bronzes  -, machines, outils, matériel technique, objets du quotidien, témoignages oraux, fonds photographiques, archives d’entreprises… Ce sont autant de témoins de l’histoire industrielle bruxelloise.

    Une série de défis se présentent au conservateur/à la conservatrice adjoint.e. Il/elle aura un rôle essentiel notamment dans le cadre du déménagement des collections et la réorganisation des réserves du musée.

    Tenté par ce challenge ? Téléchargez ici l’offre emploi conservateur-trice adjoint-e.

    Postulez au plus tard pour le 31 janvier 2021 à l’adresse emploi@lafonderie.be. Bonne chance !

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    Le Cahier de La Fonderie sur la lessive est arrivé !

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    "Tant qu'il y aura du linge à laver" est le Cahier de La Fonderie n°53. La lessive est un sujet qui dit énormément de nous-mêmes, de notre rapport au temps, à l'espace, aux autres et à la société. Il nous raconte une activité à la fois éminemment domestique et industrielle ainsi qu'une société qui change...

    Ce qu’on y découvre…

    Dans une démarche qui est avant tout celle de l’histoire sociale, nous nous interrogeons d’abord sur cette question cruciale : qui fait la lessive ? Et la réponse est d’emblée : les femmes. De tout temps, laver le linge fut d’abord une tâche féminine.

    Une analyse spatiale apporte également de précieux enseignements. C’est le cas des espaces domestiques de la maison. Mais c’est encore plus marquant pour les espaces de la ville où la présence de l’eau, naturelle (cours d’eau) puis artificielle (via la distribution), joue un rôle fondamental dans l’organisation des activités liées au lavage du linge.

    Faire la lessive aujourd’hui n’a plus grand-chose à voir avec la “grande buée” ou la grande lessive d’avant la généralisation des machines. Plusieurs auteurs témoignent de la lourdeur et de la pénibilité d’un travail que la mécanisation n’a pourtant pas entièrement supprimées.

    Mais au-delà des gens, des lieux, et des techniques de la lessive, ce sont sans doute les valeurs qui s’y attachent qui nous en apprennent le plus sur les évolutions sociales. Mouvements hygiénistes, exaltation du blanc, schémas traditionnels et conservateurs passent la revue.

    Et qu’en est-il de l’avènement d’une lessive verte et durable qui abandonne ces produits qui, s’ils ont fait la gloire de l’industrie chimique du 19ème siècle, n’en sont pas moins extrêmement toxiques ?

    Pour le tenir entre vos mains…

    Ces problématiques et bien d’autres sont à découvrir dans ce Cahier. Vous pouvez vous le procurer à l’accueil de La Fonderie au prix de 12 euros.  Il est également disponible par correspondance (+ frais postaux). Adressez votre demande à info@lafonderie.be

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    Les statues doivent-elles rester en place ? 

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    On se souviendra sans doute du début de l’été 2020 comme de la saison du déconfinement et du déboulonnage de statues commémoratives. La polémique sur ces figures controversées habite nos médias et agite les réseaux sociaux. Faut-il retirer ces statues de l’espace public ou les laisser en place ? Nos figures statufiées sont-ils des héros à encenser ou des criminels à abattre ? Entre ces deux attitudes, une troisième voie existe, porteuse de débats ô combien nécessaires. L’histoire s’est écrite dans le bronze durant ces deux derniers siècles, mais comment la relire dans une ville aussi métissée que Bruxelles ?

    On se souviendra sans doute du début de l’été 2020 comme de la saison du déconfinement et du déboulonnage de statues commémoratives 

    En réponse au meurtre de George Floyd, des statues évoquant l’oppression raciale ou les exactions coloniales sont prises à partie, abattues ou vandalisées. Celle d’Edward Colston, négociant anglais d’esclaves du 17e siècle, a été arrachée de son socle à Bristol et jetée dans la rivière Avon. Des gestes similaires se répètent dans le monde entier, et en Belgique, ce sont surtout les représentations de Léopold II qui sont visées. Si elles sont prisent pour cibles, c’est dans l’idée que l’esclavage et la colonisation en ancrant durablement dans l’inconscient l’image du noir inférieur, sauvage et dominé, serait à l’origine du racisme encore présent aujourd’hui. Ces statues ne seraient donc pas uniquement un rappel de crimes d’une autre époque, mais pour ceux qui réclament leur retrait, symboliseraient le racisme actuel et contribueraient à le perpétuer. La question embrase les médias et les réseaux sociaux, les passions se déchainent. A l’heure du virtuel, la puissance symbolique de ces vieilles figures de bronze pâtinées étonne. 

    Mais de tels gestes ne sont pas neufs : les statues subissent depuis des siècles la vindicte populaire. Lors des révolutions, le peuple s’attaque aux représentations de ses rois déchus ou de ses dictateurs exécutés en renversant leur représentation et en les humiliant. L’histoire de l’Afrique du Sud, avec sa douloureuse expérience de l’apartheid, a vu de nombreuses statues retirées de l’espace public pour pouvoir représenter les aspirations de la nouvelle administration démocratique. Les statues de généraux confédérés aux États Unis ou de colons au Canada font débat depuis plusieurs décennies. Le poids émotionnel de ces figures est lourd : les monuments sont censés unifier la nation, mais lorsqu’au contraire ils stigmatisent division et oppression, une réaction s’organise. 

    En Belgique, l’attention s’est portée principalement sur les statues de Léopold II, sans doute parce qu’elles sont les plus nombreuses et les plus visibles, mais aussi et surtout pour la responsabilité du roi dans l’organisation coloniale et les crimes qui en ont découlés.  

    Les statues, c’est un peu notre spécialité à La Fonderie : notre asbl est située à Molenbeek, dans une ancienne fonderie d’art, celle de la célèbre Compagnie des Bronzes. Elle abrite aujourd’hui le Musée bruxellois des industries et du travail. Parmi nos missions, il y a celle de faire connaitre la production bronzière de cette entreprise, omniprésente en Belgique. Ces statues témoignent aussi de la compétence industrielle de notre pays avec des productions d’exception. L’une de ces statues est particulièrement visée par les mouvements anti-racistes, celle de la Place du trône. La statue équestre de notre deuxième roi, créée par le sculpteur Thomas Vinçotte en 1914,  n’y sera placée qu’en 1926. Elle suscite aujourd’hui la polémique quant à sa présence dans le centre de Bruxelles et une pétition ayant réuni des dizaines de milliers de signatures réclament son déplacement. « This man killed 15M people » («cet homme a tué 15 millions de personnes» en anglais) y a été tagué.  

    Le rôle qu’a joué ce roi dans l’histoire coloniale n’est plus à prouver et encore moins à défendre. S’il  n’est pas le seul responsable, il symbolise l’expansion de nations européennes outre mers, l’arrogance du blanc, la supposée hiérarchie des races, la force brutale et l’exploitation des ressources locales et des populations pour le bénéfice de la métropole. La statue de la place du trône l’éclaire admirablement. « Le plus impitoyable regard de mépris qui ait jamais plané au-dessus de la racaille »  a écrit Michel De Ghelderode quand il évoquait ce bronze.  

    Décoloniser l’espace urbain risque d’être long. Il y a bien sûr les statues, dont certaines n’ont pas encore été pointées du doigt par les manifestants mais qui sont ô combien problématiques : la statue de Godefroy de Bouillon, trônant place royale, célèbre un homme responsable de massacres épouvantables. Celle de Winston Churchill, que les anglais appellent au démantèlement à cause du racisme bien connu de l’homme d’état, devrait elle aussi partir. Mais il faut également parler des rues parfois baptisées du nom d’assassins, comme le Commandant Lothaire, à Etterbeek, responsable d’atrocités dans l’état indépendant du Congo. Il faudrait aussi questionner les façades d’anciens bâtiments coloniaux boulevard d’Ypres ou rue Dansaert.

    Décoloniser, c’est aussi contextualiser des œuvres d’art admirées dans nos musées : par exemple, le Sphinx, œuvre la plus connue du sculpteur Charles Van der Stappen, considéré comme une pièce phare de la sculpture symboliste, a été réalisé en 1897 pour l’exposition coloniale avec l’ivoire congolais et est exposé aux Musées Royaux d’Art et d’Histoire sans référence particulière. Ces maisons Art Nouveau qui font la renommée de Bruxelles ou le mobilier art déco de nos hôtels de maitre regorgent de produits coloniaux. Sans parler du bronze des bâtiments civils et religieux, comme les portes du palais de Justice, réalisés avec le cuivre congolaisLe travail est immense. 

    Aborder la question des statues controversées n’est donc qu’une partie du travail de décolonisation. Une des solutions proposée et déjà partiellement mise en place serait de les déménager de l’espace public vers des musées. Des jardins de statues ont déjà été créés dans les anciens pays communistes libérés de la dictature, où se côtoient Lénine, Marx et d’autres penseurs communistes. Le cas de la RDC est intéressant : durant la période coloniale, des statues fondues à la Compagnie des Bronze l’étaient en double et envoyées vers la colonie : Léopold II, Albert Ier, Stanley et d’autres représentants du pouvoir blanc ornaient les artères des grandes villes congolaises, à l’image de la métropole. Déboulonnées après l’indépendance, elles ont longtemps été remisées dans des hangars mais viennent de trouver une destination dans le nouveau musée national qui s’est ouvert à Kinshasa : ainsi la statue équestre de Léopold II, jumelle de celle de la Place du Tne, surmonte maintenant le fleuve Congo depuis les collines du mont Ngaliema. 

    Mais entre remiser les statues polémiques dans les musée, considérés comme des lieux de dépôt d’objets qu’on ne veut plus voir, et l’hommage inconditionnel que certains leur vouent encore, il y a une marge nécessaire qui peut refléter nos sensibilités contemporaines. A mon sens, les statues doivent être maintenues en place et interprétées in situ, et cela pour plusieurs raisons 

    D’abord, elle témoignent d’époques spécifiques et de leur valeurs. A partir des années 1850, les villes belges se peuplent d’une foule de monuments à l’effigie des grands hommes de la nation : des héros comme Evrard t’Serclaes, des peintres comme Rubens, des industriels  comme John Cockerill,…. Et bien sûr de nos rois. Ces effigies étaient sensées illustrer les qualités d’un pays neuf, libéral et démocratique, où le sentiment national devait être valorisé. Le bronze ancre un message dans l’éternité et donne des exemples de valeurs aux générations futures.

    Statue équestre de Leopold II
    Statue équestre de Léopold II à Bruxelles

    Mais ces valeurs sont-elles intemporelles ? Bien sûr que non, puisqu’elles correspondent à des moments précis de l’histoire. Mais si ces statues érigées peuvent être perçues en terme d’hommage, elles peuvent aussi être comprises comme le témoignage de propagande de ces valeurs patriotiques, bourgeoises, racistes et patriarcales. Les statues et monuments coloniaux de la période léopoldienne remontent toutes à la reprise de l’État Indépendant du Congo par la Belgique. Elles ont été placées dans l’espace public avec un but de propagande, et non pas pour glorifier des personnes. L’intention de l’Etat belge était de réhabiliter l’idée coloniale mise à mal par les révélations du début du 19e siècle sur les abus de l’administration léopoldienne ; l’opinion publique était alors indifférente, voire hostile à cette expansion. Les retirer amputerait aujourd’hui la ville de témoins importants pour lire l’histoire. Par exemple, l’absence de femmes statufiées, mis à part des Gabrielle Petit ou autre Marguerite d’Autriche, montre le masculinisme du pouvoir, mais signale aussi combien les questions liées au genre sont encore bien réelles. Une ville est tout sauf un lieu aseptisé et neutre. 

    Car, deuxième raison, ces statues restent de fantastiques moyens pédagogiques et sont porteuses de débat. D’ailleurs, celui qui nous anime aujourd’hui n’est-il pas possible parce qu’il a été provoqué par ces statues ?  A La Fonderie, nos visites guidées pour Belges ou publics étrangers, publics scolaires ou en formation continue, utilisent abondamment ce mobilier urbain pour expliquer la ville. Ces monuments décriés sont de magnifiques accroches à l’échange d’idées, à la confrontation, à l’échange. La controverse est nécessaire pour construire la démocratie. Ces statues nous permettent d’expliquer le contexte historique de leur implantation, d’informer le visiteur en se raccrochant à un visuel tangible et authentique. Car le manque d’informations historiques est criant à l’heure des fake news et des politiques hyper partisanes. Nous avons un besoin urgent de nuances, de sens critique, de données historiques. Les monuments ont la fâcheuse habitude de normaliser le passé, pour le meilleur ou pour le pire. Ils rendent les injustices plus faciles à défendre et, insidieusement, plus difficiles à voir. A nous d’être vigilants. Dans nos pratiques d’éducation permanente, ces statues permettent d’éveiller le sens critique, de comprendre les intentions passées par une remise en contexte et par là de pouvoir passer à l’action dans les problèmes actuels. Elles peuvent ainsi parler d’exclusions sociales, de discriminations à combattre, d’inégalités. Faire disparaitre ces statues n’annulera ni le racisme ni l’injustice. Mais en nous en débarrassant, nous empêchons les discussions et les remises en question collectives.  

    Enfin, les statues sont visibles par tous et appartiennent à la collectivité. Il faut payer pour visiter un musée, mais pas pour voir ce mobilier urbain lorsqu’il est en place. Quand la commune d’Ixelles évacue la statue du «Général Storms», un des agents de l’Etat indépendant du Congo des plus controversés, du Square de Meeûs pour l’Africa Museum, elle rate l’occasion de raconter l’Histoire et d’éduquer le passant qui ignore tout. Le pourcentage de la population qui se rend dans nos musées reste minime et correspond souvent à des couches aisées. Or, ces statues peuvent être de vrais outils d’éducation populaire. A condition, bien sûr de les contextualiser, de les interpréter par des plaques explicatives ou d’autres formes de médiations appropriées, voire de les compléter par des œuvres d’art contemporaines. La véritable question n’est peutêtre pas d’enlever ces statues, mais ce qu’il faut y ajouter ! Pensons à l’impact des « pavés de mémoire » qui commémore des victimes de la Shoah et apportent une histoire à des batiments anonymes. Il est par ailleurs intéressant de constater qu’aucun monument d’importance n’existe pour célébrer l’indépendance du Congo, aucune statue en Belgique ne représente des Congolais malgré une histoire « commune » de 80 ans. 

    Ici se trouve le vrai défi : cette contextualisation ô combien nécessaire doit être collective et éviter qu’un groupe dominant fixe seul les termes du débat. Dans une ville comme Bruxelles où la moitié des habitants est née hors de Belgique, trouver le ton juste, jauger les attentes des uns et des autres  sera certainement une gageure. Mais avons-nous vraiment le choix ?  

    Faire disparaitre les traces, déboulonner les statues serait à mon sens une grave erreur. Si elles disparaissaient, quel débat sera encore possible ? Nous aurons peut être créé une ville décolonisée, mais sans mémoire, et nous risquons de le regretter par après. La Belgique ne pourra pas oublier Léopold II, il est partout sur nos places, dans nos rues. Son monogramme orne de multiples bâtiments. Il fait partie de cette histoire qu’il nous faut assumer. Nous serons peutêtre déculpabilisés en surface de notre passé colonial en faisant disparaitre les représentations controversées. Quand ce passé sera devenu invisible et lointain, qu’en garderonsnous ? Nous portons tous comme Belges le poids de cette histoire peu glorieuse. N’oublions pas que c’est la Belgique entière qui a bénéficié de cette époque coloniale, et pas seulement Léopold II. Nous devons assumer que ce passé, avec toute son horreur, est bien le nôtre et que si nous ne sommes personnellement pas responsables, nous en sommes les héritiers. Un peu comme ces bronzes urbains, dérangeants mais que nous devons confronter. Le récent rapport des experts de l’ONU rappelle non pas les crimes coloniaux au Congo, mais bien nos difficultés à confronter cette histoire. C’est ce passé que nous devons enseigner dans nos écoles, c’est cette histoire que nous devons débattre, et les statues urbaines peuvent nous y aider. 

     

    Pascal Majérus
    Conservateur de La Fonderie 

     

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    Fin de parcours pour la Gueuse

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    Après 20 ans de bons et loyaux services, La Fonderie se voit dans l’obligation de mettre fin à ses activités sur le bateau « la Gueuse ». Mais le projet de mémoire historique et patrimonial autour de la zone canal continuera. 

    Depuis 2000, LFonderie vous a proposé des croisières sur les canaux bruxellois. Lors de celles-ci, on vous racontait le chantier du creusement du canal Bruxelles-Charleroi et le rôle qu’il a joué dans le développement de Bruxelles en pleine révolution industrielle. On vous expliquait le rôle et le fonctionnement des écluses. On vous narrait les nombreuses activités liées aujourd’hui encore au Port de Bruxelles et à ses bassins : transport, recyclage, incinérateur, yachting et plaisance… Bref, c’était l’occasion de vous faire découvrir Bruxelles et son histoire sous un angle original. 

    Ces croisières, nous vous les proposions à bord du bateau, la Gueuse. Initialement, il fut construit pour l’exposition universelle de 1939 en Suisse.  Baptisé “Möve – mouette en allemand -, il a transporté pendant 60 ans ses passagers d’une rive à l’autre du lac de Zürich. Et en 1999, il a fait le voyage jusqu’à Bruxelles par convoi exceptionnel. Rebaptisé « la Gueuse », il a entamé une seconde carrière sur les canaux bruxellois avec les parcours de La Fonderie. 

    Pour diverses raisons, La Fonderie se voit aujourd’hui dans l’obligation de cesser ses activités sur la Gueuse. 

    Dans sa cabine ou sur le pont, il aura emmené des milliers d’écoliers et autres visiteurs à qui nos guides ont fait découvrir les canaux bruxellois, leur histoire et leur patrimoine. Et c’est le cœur triste mais la tête pleine de bons souvenirs que nous quittons ce bateau. 

    Cependant, nous voulons réinventer nos parcours au fil de l’eau. Et nous reviendrons vers vous avec des propositions innovantes, éducatives et solidaires. Parce que nous n’abandonnons pas notre projet de mémoire et de promotion de la zone du canal.

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    la bande dessinée Rivages est sortie !

    news
    Un atelier BD, 8 dessinateurs, 8 histoires... Rivages raconte la vie d’un quartier de Bruxelles en constante mutation depuis 150 ans :  la Porte du Rivage. Aujourd’hui, il correspond à la place de l’Yser et aux rues avoisinantes.  

    Vous avez peut-être visité notre dernière exposition temporaire Au rivage de Bruxelles. Dans ce cas, vous avez pu vous rendre compte des nombreuses mutations qui ont transformé ce quartier. Autrefois, il fut industrielindustrieux et grouillant d’activités en tous genres. Il est devenu un quartier administratif, dont le paysage et la fréquentation se sont radicalement transformésEn parallèle à l’exposition, La Fonderie a organisé un atelier BD centré sur cette thématique. 

    Lors de leur première rencontre à La Fonderie, Céline, Chloë, Fanny, Farah, Joëlle, Khaled, Marie, et Rémi ne savaient pas encore très bien comment aborder le sujetMais suite à une visite guidée de l’exposition très instructive, les idées fusaient. A tel point qu’il a fallu quelques séances à certains participants pour trouver leur angle d’attaque scénario, personnages etc 

    Ils ont été pour cela conseillés et – disons-le ! – chouchoutés par Dennis Marien, dessinateur, éditeur et animateur de cet atelier. Des plus amateurs aux plus aguerris, ils ont finalement tous trouvé leurs marques pour raconter leurs histoires. Le résultat est une œuvre fantasque, riche de 8 personnalités différentes, et d’autant de styles graphiques. 

    Un corbeau traverse un poème d’Emile VerhaerenUne chape de pragmatisme se coule sur le quartier. Un masque aspire à l’amour et à la liberté. Un mégot de cigarette évolue au milieu des grues et machines de chantier. Une serveuse de cabaret voit défiler des personnages hauts en couleurs. Un personnage énigmatique fait naître une colonne monumentale. Un souverain, des politiciens et des riverains s’entremêlent dans une cacophonie d’idées. La ville se transforme en plateforme de jeu Pac Man. Avec ces histoires, laissez-vous balader au fil des mutations du quartier du Rivage… 

    La bande dessinée est en vente au prix de 6€ à l’accueil du Musée bruxellois des industries et du travail. 

    Oh ! le programme culturel

    Autour de l’exposition Oh ! Ça ne coule pas de source, La Fonderie vous propose un riche programme culturel. Il comprend conférences, ateliers, animations et une nocturne. Ces événements s’adressent tantôt aux amateurs d’histoire locale, aux artisans en herbe et tantôt aux enfants.

    Découvrez également Oh ! la balade. C’est une promenade interactive à faire en autonomie. Vous y apprendrez plein de choses sur les nombreux métiers liés à l’eau.

    Date Événement
    Me 15 décembre Conférence – Les dessous de l’eau quotidienne à Bruxelles : histoire et perspective
    Sa 18 décembre Samedi rigol’eau – “L’eau cassée” et “Monsieur tuyau”
    Ma 28 décembre L’eau contée : histoires en kamishibaï
    Me 29 décembre L’eau contée : histoires en kamishibaï
    Me 26 janvier Conférence – Eau à tous les étages
    Di 06 février Visite guidée de l’expo Oh ! Ça ne coule pas de source
    Sa 19 février Samedi rigol’eau – water squad
    Ma 22 février Conférence – “Bancs publics ? Non ! bains publics…”
    Di 06 mars Visite guidée de l’expo Oh ! Ça ne coule pas de source
    Sa 19 mars Samedi rigol’eau – 1.000 milliards de fois plus petits qu’un petit pois

     

    Date Événement
    Di 27 mars Journée de l’eau et Printemps des sciences
    Je 31 mars Conférence – La problématique de la Senne à Bruxelles, des inondations de 1850 à la mise en service du second voûtement de la rivière en 1955
    Di 03 avril Visite guidée de l’expo Oh ! Ça ne coule pas de source
    Di 03 avril Visite guidée – De la soif au soulagement
    Je 7 avril L’eau jouée : visite ludique et jeux de société
    Sa 16 avril Samedi rigol’eau – Eau à tous les étages
    Me 20 avril Conférence – Les fontaines, un fil rouge du développement urbanistique de Bruxelles ?
    Di 1er mai Journée des artisans
    Di 1er mai Visite guidée de l’expo Oh ! Ça ne coule pas de source
    Sa 21 mai Samedi rigol’eau – Des crabes dans les égouts
    Di 05 juin Visite guidée de l’expo Oh ! Ça ne coule pas de source
    Sa 18 juin Samedi rigol’eau -Un fatberg dans les égouts ?
    Di 19 juin Visite guidée – De la soif au soulagement
    Di 26 juin Oh ! La journée des tout-petits

    Oh ! la balade

    Oh! La balade est une promenade sonore en autonomie de La Fonderie au Musée des Égouts. Téléchargez le plan du parcours en cliquant ici. Ce plan en version papier est à votre disposition à l’accueil de La Fonderie – Musée bruxellois des industries et du travail –  et au Musée des Égouts. C’est gratuit !

    Qu’est-ce qui se cache derrière une taque de distribution d’eau? D’où vient et où va l’eau de la douche?  Y a-t-il des sources à Bruxelles? Cette balade sonore est un voyage dans les coulisses des métiers de l’eau à Bruxelles. Partez à la recherche des bornes-pavés en bronze, scannez le code QR ou lisez la puce NFC et écoutez les récits des acteurs de l’eau.

    Les bornes ont été conçues par des jeunes de l’école de devoirs l’Amorce dans le cadre du stage Sous les pavés organisé par La Fonderie, le Musée des Égouts et Fabwest en juillet 2021. Les participants ont réalisé des modèles originaux en plâtre qui ont servi pour couler les bornes-pavés en bronze, inspirées par la grande variété de plaques présentes dans nos rues.

    Pas de 4G? Écoutez les podcasts de chez vous.

    1. La Compagnie
    2. Les bains
    3. Le canal
    4. L’hydrologue
    5. L’historien 
    6. Le fontainier
    7. L’égoutier
    8. L’infirmier 
    9. Le pompier

    Si vous souhaitez prolonger ce périple au fil des métiers de l’eau à Bruxelles, nous vous conseillons de découvrir une seconde balade sonore créée par notre partenaire VIVAQUA : Sur les traces de l’eau en région bruxelloise. Celle-ci vous mènera du Bois de la Cambre au Musée des Égouts.
    Les plans de ces deux balades sont disponibles dans les deux musées.

    Les acteurs de l’eau : Negi Ben Ali (SIAMU), Dimitri Crespin (VUB), Christian Debuyst (VIVAQUA), Pieter Elsen (Canal It Up), Roel Jacobs, Sophie Richelle (LIEU et ULB), Koen Van Den Broek (Infirmiers de rue), Roland Vereycken (Musée des Égouts).

    L’équipe du projet : Martin Angenot, Aude Hendrick, Sylvie Jacobs, Katerina Papadopoulos (Musée des Égouts), Françoise Gutman, Pascal Majerus, Luiza Mitrache (La Fonderie) Stephy Maes, Julien Petrequin (Fabwest).

    Logos des partenaires du projet Oh ! la balade
    Logos des partenaires du projet Oh ! la balade

    événement

    Expo Mettewie @parc du Karreveld park

    événement, news17 juin - 22 septembre 2022
    Vernissage le jeudi 16 juin de 15h à 17h

    Exposition au Parc du Karreveld : Louis Mettewie, bien plus qu’un boulevard !

    Découvrez les nombreuses réalisations d’un industriel défenseur du suffrage universel et d’un bourgmestre molenbeekois qui a profondément modernisé sa commune.

    Ce sera également l’occasion de découvrir la publication qui lui est dédié.

    En collaboration avec :

    événement

    samedi rigol'eau : un fatberg dans les égouts ?

    événement

    Participez à ce samedi rigol’eau !
    Chaque troisième samedi du mois , La Fonderie vous propose un atelier créatif dédié aux enfants. Il vous permet de prolonger votre visite en famille de manière ludique et amusante. L’atelier est amorcé par une réflexion critique sur l’une des thématiques de l’exposition. Spectacles et lecture de contes seront également proposés.

    Imaginez un énorme amas de graisse et de déchets qui pèse des tonnes et qui bouche les égouts. C’est ce qu’on appelle un fatberg. Est-ce qu’une telle monstruosité peut exister dans les égouts bruxellois? Et si cette chose était vivante ? Quelle horreur !
    Ce samedi rigol’eau, venez réaliser à partir de matériaux de récup’ et de terre le plus épouvantable  monstre des égouts… !

    Oh ! la journée pour les tout-petits...

    Ce dimanche, La Fonderie vous propose un programme spécialement pour les tout-petits…

    Participez à une visite baby friendly de l’exposition Oh ! Ca ne coule pas de source.

    Les réservations pour la visite baby friendly sont complètes.

    La visite baby friendly vous est proposée en collaboration avec l’asbl La Court’Echelle.

    Une après-midi avec des “jeux d’eau” en lien avec la salle de bains était prévue en plus. Malheureusement ces activités-ci sont annulées.

    samedi rigol'eau - des crabes dans les égouts

    Participez à ce samedi rigol’eau !
    Chaque troisième samedi du mois, La Fonderie vous propose un atelier créatif en continu dédié aux enfants. Il vous permet de prolonger votre visite en famille de manière ludique et amusante. L’atelier est amorcé par une réflexion critique sur l’une des thématiques de l’exposition. Spectacles et lecture de contes seront également proposés.

    Venez explorer la faune des égouts lors d’un atelier de création de petites peluches en feutre ! Celui-ci vous est proposé par l’illustratrice et créatrice Anouk Jurdant.

    Anouk Jurdant
    Créatrice textile autodidacte, Anouk est un véritable couteau suisse. Initialement illustratrice-graphiste de formation, elle coud par instinct – le plus souvent à la main – pour réaliser des œuvres colorées naviguant avec équilibre dans un univers plus ou moins doux, plus ou moins rigolo.Curieuse chevronnée, elle prend plaisir à puiser son inspiration dans tout ce qui l’entoure. Sous leurs airs mutines et attachantes, ses œuvres textiles s’adressent aux enfants comme aux adultes. Persuadée de la richesse et de la puissance de l’échange des connaissances, Anouk propose des ateliers créatifs vous accompagnant dans un univers artistique pimenté d’originalité et de fraîcheur.

    Anouk Jurdant, graphiste - illustratrice et créatrice de doudous...
    Anouk Jurdant, illustratrice et créatrice de doudous…

    événement

    Nocturne des musées 2022

    événement

    Cette année encore, La Fonderie participe aux Nocturnes des Musées. Ce jeudi … mai, venez découvrir notre musée en toute relaxation…

    Visitez notre exposition Oh ! Ca ne coule pas de source. Les commissaires de l’expo seront présentes pour vous guider au travers de l’un ou l’autre segment de l’expo et répondre à toutes vos questions !

    Une journée de travail sous tension ? Venez vous faire masser dans la section « hammam » de l’expo. Des étudiants en massage de l’école BGS vous prodigueront un massage assis dont vous ressortirez tout détendu…

    Et puis sur le site extérieur, présence d’une installation sonore hydro-cinétique de Pierre Berthet, qui exposera et manipulera une variation de son cru sur le principe de la fontaine traditionnelle japonaise “Shishi Odoshi”.

    Les Nocturnes des Musées

    Tous les jeudis soir du 21 avril au 9 juin, les Nocturnes vous ouvrent les yeux sur les trésors des musées et centres d’art bruxellois.

    De 17h à 22h, découvrez les expositions du moment et les collections de 63 lieux insolites grâce à des visites guidées inédites, un accès aux coulisses et réserves ou des ateliers artistiques sur mesure. Pour combiner les plaisirs, les Nocturnes s’organisent toujours par quartier et proposent aussi des promenades extra-muros à la découverte de notre ville.

     

    événement

    Créez avec les artisans

    événement

    Le 1er mai, six artisans installent leurs ateliers à La Fonderie. Venez les rencontrer et exercez vos talents créatifs entre amis ou en famille.

    La fonderie
    Françoise Gutman est sculpteur céramiste. Elle partagera avec vous sa longue expérience du travail du métal. Vous prenez l’empreinte d’un modèle en plâtre dans du sable. Vous obtenez ainsi un moule de fonderie dans lequel on coule de l’aluminium en fusion.

    La typographie
    Aurélien Cecchi est designer graphique, animateur numérique et médiateur culturel. Amoureux de la communication et de la typographie, il vous introduit à la graphie des lettres tout en développant votre créativité plastique et manuelle. Vous réalisez des tampons et des lettres de typographie à l’aide de matériaux de récupération (lino, caoutchouc, mousse, blocs de bois, bouchons de liège). Aurélien transposera ensuite vos recherches et impressions sous la forme d’un jeu vidéo/portfolio numérique contemplatif créé spécialement pour l’occasion.

    L’atelier textile
    Saskia De Kinder est designer textile. Elle est diplômée de l’Académie des Beaux- Arts de Bruxelles. Elle crée ses propres motifs qu’elle tisse à l’aide de son métier à tisser manuel à lames. Elle vous propose de sortir des sentiers battus en tissant sur un CD. Vous combinez des textures et des couleurs pour réaliser une pièce unique à exposer chez vous.

    L’atelier de feutrine
    Anouk Jourdan est créatrice textile autodidacte. Elle est un véritable couteau suisse. Initialement illustratrice-graphiste de formation, elle coud par instinct – le plus souvent à la main – pour réaliser des œuvres colorées naviguant avec équilibre dans un univers plus ou moins doux, plus ou moins rigolo. Curieuse chevronnée, elle prend plaisir à puiser son inspiration dans tout ce qui l’entoure. Sous leurs airs mutines et attachantes, ses œuvres textiles s’adressent aux enfants comme aux adultes. Persuadée de la richesse et de la puissance de l’échange des connaissances, Anouk propose des ateliers créatifs vous accompagnant dans un univers artistique pimenté d’originalité et de fraîcheur.

    Le 1er mai, venez réaliser un porte-clefs et des broches en feutrine.

    L’atelier numérique
    En collaboration avec le pôle Jeu Vidéo d’Arts et Publics, nous vous proposons un atelier numérique hors du commun.

    Pauline Flajolet est artiste pluridisciplinaire avec une prédilection pour le textile et le numérique. Vous aurez l’occasion d’apprendre les différents points de broderie et d’explorer les frontières entre travail manuel et travail numérique. Mêler la broderie et le jeu vidéo ? Tout à fait possible. C’est d’ailleurs ce que je vais vous faire découvrir par la confection d’un personnage en broderie qui prendra place au sein d’un jeu vidéo sur le thème de l’exposition temporaire : Oh ! ça ne coule pas de source. A vos aiguilles et vos manettes !

    Ekin Bal est créateur et animateur numérique. Il développe depuis plusieurs années des ateliers mêlant jeu vidéo et réflexion sur des thématiques de société, et ce avec des publics variés : enfant comme adulte. Il a notamment réalisé plusieurs projets de création virtuelle spatiale à l’aide de Minecraft. À l’aide de cet outil, il accompagne des groupes dans la création d’une ville utopique ou la réimagination d’un Musée comme La Fonderie. Le 1er mai, Ekin vous ouvre les portes de l’univers tridimensionnel de Minecraft.

    Des visites guidées
    Des visites guidées des expositions de La Fonderie vous seront également proposées. L’inscription se fera le jour de l’événement, à l’accueil du musée.

    événement

    conférence - les fontaines, un fil rouge du développement urbanistique de Bruxelles ?

    événement

    Avant que l’eau courante ne pénètre dans nos maisons, la fontaine occupait une place utilitaire et vitale dans la cité.  Sa proximité influençait même le prix des immeubles…
    Ce n’est que pendant le dernier quart du 19ème siècle qu’elle acquiert le statut d’objet d’art, réalisé par des sculpteurs de renom. 
    Dédié à la mémoire d’une personnalité imminente – politique (Jules Anspach, Charles De Brouckère) historique ou folklorique (Manneken Pis) – la fontaine devient ensuite pur geste artistique ou ludique, destiné à égayer places et rues pour le plus grand bonheur (?) des promeneurs et des petits baigneurs…  Toute une histoire ! 

    Thierry Demey
    Thierry Demey est l’auteur des guides historiques BADEAUX dont la vocation est de rendre accessible au plus grand nombre les grands thèmes de l’histoire locale à travers des récits vivants et rigoureux, centrés autour d’un thème et agrémentés de promenades-découvertes commentées.  La collection  est née en 2003 avec la publication de Bruxelles en vert. Elle compte désormais 13 titres.  

    événement

    samedi rigol'eau - eau à tous les étages - Complet !

    événement

    Encore un samedi rigol’eau !
    Chaque troisième samedi du mois, La Fonderie vous propose un atelier créatif en continu dédié aux enfants. Il vous permet de prolonger votre visite en famille de manière ludique et amusante. L’atelier est amorcé par une réflexion critique sur l’une des thématiques de l’exposition. Spectacles et lecture de contes seront également proposés.

    Ce samedi rigol’eau, on vous invite à participer à l’atelier Eau à tous les étages ! Que se cache-t-il derrière les murs de ta maison ? Après la visite de l’exposition, les enfants réalisent une maison en plâtre où tuyaux, canalisations et siphons sortent des murs !

    événement

    l’eau jouée ! - visite ludique et jeux de société

    événement

    Pendant ces vacances de Pâques, La Fonderie vous propose « l’eau jouée ». C’est un après-midi de jeux aquatiques…

    La Fonderie vous propose une visite ludique de l’exposition Oh ! Ca ne coule pas de source. L’objectif de cette visite est de sensibiliser les enfants à la gestion durable de l’eau dans la ville.

    Ensuite, la Ludothèque Speculoos vous propose une sélection de jeux de société situés dans des univers aquatiques !

    Logo ludothèque familiale Speculoos
    Ludothèque familiale Speculoos

    événement

    l’eau contée II - bon voyage, petite goutte !

    événement

    Cette activité est déjà complète. Cependant, il reste des places pour L’eau jouée, le mercredi 6 avril.

    Pendant les vacances de Pâques, participez à ce super atelier aussi ludique qu’instructif ! Profitez-en pour visiter l’exposition Oh ! Ca ne coule pas de source.

    Au départ d’une sélection d’albums de jeunesse, les enfants créent un livre accordéon pour illustrer le cycle naturel et anthropique de l’eau. Quel est le trajet d’une goutte ? D’où part-t-elle ? Où va-t-elle ? Comment est-elle éventuellement transformée ?

    Cet atelier sera animé par Caméléon bavard.

    événement

    conférence - la problématique de la Senne à Bruxelles (1850 - 1955)

    événement

    Le titre entier de la conférence est :
    La problématique de la Senne à Bruxelles, des inondations de 1850 à la mise en service du second voûtement de la rivière en 1955

    Cette conférence abordera les contextes architecturaux, financiers, politiques, sanitaires et urbanistiques qui présidèrent au voûtement de la Senne. Plusieurs questions y seront traitées, dont: Quel fut le rôle exact du bourgmestre Jules Anspach, de l’architecte Léon Suys et des concessionnaires anglais créateurs de la Belgian Public Works Company, Limited? Comment se déroula l’exécution  des travaux et quelles furent leurs conséquences sur le sort des populations expropriées? Le conférencier se penchera aussi sur la thématique de l’épuration des eaux usées, sur les projets de prolongement du voûtement de la Senne vers l’aval de Bruxelles, ainsi que sur le second voûtement entamé en 1931.

    Yvon Leblicq
    Yvon Leblicq est Docteur en Philosophie et Lettres ( Histioire). Il a enseigné l’histoire urbaine à l’École polytechnique de l’ULB, où il est actuellement Professeur invité. Il est le lauréat de divers prix et l’auteur de nombreuses publications sur l’histoire de Bruxelles.

    Les travaux ci : du second voûtement de la Senne au boulevard du Midi, 1950-1951
    Les travaux ci : du second voûtement de la Senne au boulevard du Midi, 1950-1951 ( Collection Yvon Leblicq)

    événement

    journée de l'eau et printemps des sciences

    événement

    Pour des raisons de santé, nous nous voyons forcé d’annuler l’atelier dans le laboratoire de l’eau. Cependant, l’exposition reste accessible en visite libre et le spectacle L’eau cassée est maintenu à 16h.

    Ce dimanche, La Fonderie vous propose un super programme pour mêler la Journée de l’eau et le Printemps des sciences…

    Visite et atelier dans le laboratoire de l’eau (14h30 – 16h00)
    Dans le laboratoire de l’eau, expérimentez avec les propriétés chimiques et physiques de l’eau.

    Visite libre de l’exposition “Oh ! Ça ne coule pas de source” (14h – 16h)

    Spectacle « L’eau cassée » (16h – 16h45)
    « Ce qui vient de se passer est grave ! Très grave ! L’eau est cassée… Enfin elle n’arrive plus au musée. »
    Voilà comment débute ce spectacle animation sur la thématique de l’eau. Et comme à chaque fois qu’une chose est cassée, on fait appel à un réparateur. C’est ainsi qu’arrive le réparateur de l’eau. C’est un monsieur un peu étrange, il a un costume bleu, de drôles d’outils et surtout de drôles d’histoires pour nous expliquer combien l’eau est importante et précieuse.  Pour commencer, il faut la retrouver ! Mais d’où vient-elle l’eau ? Petit à petit, et avec l’aide des enfants, le réparateur va réparer l’eau et juste avant de partir, il la fera couler à nouveau sous leurs yeux… Ouf !
    Ce spectacle vous est présenté par le Chakipesz Théatre. Il raconte aux enfants le voyage de l’eau, en passant par ses différents états jusqu’à sa sortie par le robinet ! Il allie les aspects ludiques aux aspects didactiques. Par sa dynamique, le comédien inclut les spectateurs qui deviennent ses complices, tout au long de l’aventure.

    événement

    piss & love - vernissage

    événement

    En écho à l’exposition Oh ! Ça ne coule pas de source, le projet “Piss and Love” vient se nicher dans un « petit coin » de La Fonderie et approche la question des toilettes publiques dans l’espace urbain bruxellois, en mêlant photographie et art plastique, intrigue et revendication.

    Venez donc admirer les photographies de Patrice Niset et les incroyables carnets de dessins rassemblés par Cristina Cerqueira qui officie comme “Madame Pipi” au Beursschouwburg”. Le graffeur Danger Dan contribue à faire dialoguer ces oeuvres au travers d’une direction artistique de l’expo et d’une signalétique percutante. Cliquez ici pour en savoir plus sur l’exposition carte blanche Piss & Love.

    L’inauguration de cette exposition aura lieu le vendredi 25 mars à 18h30. Tout un chacun est le bienvenu, sans réservation !

    événement

    samedi rigol’eau : 1000 milliards de fois plus petit qu’un petit pois

    événement

    Participez à ce samedi rigol’eau !
    Chaque troisième samedi du mois, La Fonderie vous propose un atelier créatif en continu dédié aux enfants. Il vous permet de prolonger votre visite en famille de manière ludique et amusante. L’atelier est amorcé par une réflexion critique sur l’une des thématiques de l’exposition. Spectacles et lecture de contes seront également proposés.

    Ce samedi, plonge dans une goutte d’eau avec une technique surprise !

    événement

    Oh ! la soirée jeux de société

    événement

    Venez passer une soirée ludique et conviviale à La Fonderie !
    Dans le cadre de l’expo Oh ! Ça ne coule pas de source, nous vous proposons en partenariat avec la ludothèque Speculoos une soirée jeux de société.

    Vous aimez les jeux de coopération ou les jeux de stratégie ? êtes-vous plutôt univers historique ou univers contemporain? Birmingham ou Tokyo ? Des jeux pour tous, à partir de 12 ans, pour revisiter nos deux thématiques-phares : l’industrie et l’eau.

    La ludothèque intergénérationnelle “SPECULOOS” est un espace ludique et convivial destiné à tous. Elle met l’accent sur les relations et les rencontres qui se créent grâce à un outil culturel qu’est le jeu.

    Logo ludothèque familiale Speculoos
    Ludothèque familiale Speculoos à Molenbeek

    événement

    conférence - "bancs publics ? non ! bains publics..."

    événement

    Lieux méconnus, effacés des mémoires par la généralisation des salles de bains individuelles à partir des années 1950, les bains publics nous racontent pourtant la ville et la vie des classes populaires. Présents dans la plupart des villes belges jusqu’à aujourd’hui, ils sont les témoins d’un histoire des gestes de l’intime qui n’échappe pas aux inégalités ordinaires de classes et de genre.

    Sophie Richelle
    Sophie Richelle est historienne, chercheuse post-doctorante à l’ULB. En plaçant au centre de son attention l’expérience sensible, matérielle et humaine d’espaces resserrés et particuliers, elle tente de raconter l’histoire de celles et de ceux qui ont laissé peu de traces. De l’asile de folles aux hospices de vieux, elle poursuit aujourd’hui ses questionnements avec les bains publics.

    événement

    samedi rigol’eau : water squad

    événement

    Participez à ce samedi rigol’eau !
    Chaque troisième samedi du mois, La Fonderie vous propose un atelier créatif en continu dédié aux enfants. Il vous permet de prolonger votre visite en famille de l’expositon Oh ! Ça ne coule pas de source de manière ludique et amusante. L’atelier est amorcé par une réflexion critique sur l’une des thématiques de l’exposition. Spectacles et lecture de contes seront également proposés.

    Pour ce samedi rigol’eau, nous vous proposons l’atelier « Water squad ». Lors de cet atelier vous allez personnaliser une veste et une casquette. Les enfants brodent et cousent leur badge “Pompier” ou “Égoutier” de la ville de Bruxelles. Cela vous fera un déguisement pour Carnaval !
    Atelier proposé par Lili.

    L’atelier est complet mais l’exposition reste accessibles pour tous les visiteurs qui souhaitent la découvrir.

    conférence - eau à tous les étages

    événement, projet scientifique
    01 mars 2022

    Dans la seconde moitié du 19e siècle,  l’eau courante est installée dans les habitations. Elle entraine toute une série d’évolutions dans l’architecture de la maison, mais aussi au niveau des comportements et de l’organisation de la vie quotidienne.

    Vincent Heymans
    Vincent Heymans est docteur en Philosophie et Lettres. Il dirige la Cellule Patrimoine historique de la Ville de Bruxelles, chargée de la gestion et de la valorisation du patrimoine architectural. Il est administrateur du site archéologique du Coudenberg.
    Il enseigne l’histoire de l’architecture à l’Université Libre de Bruxelles, à l’ESA Arts2 et à l’ENSAV La Cambre. Il a de nombreuses publications à son actif, principalement dans le domaine de l’histoire de l’architecture et de la conservation du patrimoine.

    Conférence donnée le 26 janvier 2022.

    événement

    l’eau contée : histoires en kamishibaï

    événement

    Les après-midis contés du 28 et du 29 décembre seront bien maintenus.
    Les activités du musée ne sont pas concernées par les restrictions gouvernementales. Le public est limité à un nombre très restreint de participants (15). Et les gestes barrières seront bien mis en place (masque, distance physique et aération).
    Attention : uniquement sur réservation !

    Pendant ces vacances de Noël, La Fonderie vous propose « l’eau contée ». Ce sont des après-midis de lecture de contes aquatiques…

    Une goutte d’eau suffit pour créer un monde. Dans un espace de lecture cocoon, Zoé interprète des histoires en kamishibaï. Des mondes se révèlent et des êtres fantastiques sortent de l’eau. La lecture est suivie de la visite libre de l’exposition.

    Le kamishibaï (littéralement « pièce de théâtre sur papier ») est un genre narratif japonais où des artistes racontent des histoires en faisant défiler des illustrations devant les spectateurs. Il se rapproche du théâtre de Guignol, mais avec des images à la place des marionnettes.

    événement

    samedi rigol’eau : monsieur tuyau et l’eau cassée

    événement

    Ce samedi rigol’eau affiche complet.

    Participez à ce samedi rigol’eau !
    Chaque troisième samedi du mois, La Fonderie vous propose un atelier créatif en continu dédié aux enfants. Il vous permet de prolonger votre visite en famille de manière ludique et amusante. L’atelier est amorcé par une réflexion critique sur l’une des thématiques de l’exposition. Spectacles et lecture de contes seront également proposés.

    Pour ce samedi rigol’eau, nous vous proposons deux activités : l’atelier « Monsieur tuyau » et le spectacle « L’eau cassée ».

    Atelier Monsieur tuyau (en continu 14h – 17h)
    Dans cet atelier créatif, les enfants sont invités à fabriquer un mobile en papier à partir de collages de tuyaux, de robinets et de vannes… !

    Spectacle « L’eau cassée » (16h – 16h45)
    « Ce qui vient de se passer est grave ! Très grave ! L’eau est cassée… Enfin elle n’arrive plus au musée. »
    Voilà comment débute ce spectacle animation sur la thématique de l’eau. Et comme à chaque  fois qu’une chose est cassée, on fait appel à un réparateur. C’est ainsi qu’arrive le réparateur de l’eau. C’est un monsieur un peu étrange, il a un costume bleu, de drôles d’outils et surtout de drôles d’histoires pour nous expliquer combien l’eau est importante et précieuse.  Pour commencer, il faut la retrouver ! Mais d’où vient-elle l’eau ? Petit à petit, et avec l’aide des enfants, le réparateur va réparer l’eau et juste avant de partir, il la fera couler à nouveau sous leurs yeux… Ouf !

    Ce spectacle a été conçu et est joué pour vous par le Chakipesz Théatre. Il raconte aux enfants le voyage de l’eau, en passant par ses différents états jusqu’à sa sortie par le robinet ! Il allie les aspects ludiques aux aspects didactiques. Par sa dynamique, le comédien inclut les spectateurs qui deviennent ses complices, tout au long de l’aventure.

    événement

    conférence - les dessous de l'eau quotidienne à Bruxelles : histoire et perspective

    événement

    Le premier réseau de distribution à domicile est inauguré en 1855 à Bruxelles-Ville. L’extension rapide de ce réseau vers les communes limitrophes et la création d’un second réseau en 1891 par les communes des faubourgs ne signifie pas que l’entrée de l’eau dans les logements bruxellois s’est produite de façon “naturelle” et sans heurt. Au contraire, la mise en place de la distribution d’eau à domicile a ouvert de nouvelles lignes de tensions, voire de conflits, qu’elles soient scientifiques, politiques ou sociales. La conférence évoquera ces lignes de tensions à travers l’histoire de l’eau quotidienne aux 19e et 20e siècles et montrera que certaines sont toujours actives tandis que d’autres sont réactualisées par les changements profonds de ce début de 21e siècle (paupérisation de la population bruxelloise ou dérèglement climatique).

    Chloé Deligne
    Chloé Deligne est historienne, formée en géographie et en sciences de l’environnement. Elle est également enseignante à l’ULB et chercheuse au FNRS. Elle est passionnée par les histoires d’eau et, plus généralement, par les questions sociales et écologiques qui touchent les habitants des villes.

    événement

    Monstres et Compagnie

    événement

    L’événement Monstres et Compagnie a malheureusement du être annulé. Toutes nos excuses pour les éventuels désagréments.

    Faites parler votre créativité et frissonnez de plaisir avec cette journée des familles spéciale Halloween à La Fonderie.

    Inspirez-vous de l’exposition Oh ! Ça ne coule pas de source et créez votre monstre en terre, textile, feutrine et papier. Le monstre de la Meuse, celui de la Senne ou encore de la salle de bains seront au rendez-vous… Ensuite les enfants iront cacher leurs créations dans l’exposition et guideront leurs parents à la lampe de poche !

    Venez déguisés. Nous nous occupons des grimages.

    14h – 17h : atelier de création de monstres en continu
    17h – 18h : exploration à la lampe de poche de l’exposition Oh! Ça ne coule pas de source

    👕 Teintures textiles

    22 août - 24 août 2023

    -CE STAGE EST COMPLET-

     

    Ce stage est une introduction à la teinture sur tissu, à partir de pigments naturels et chimiques issus d’une production locale. Découvrez comment plier, ligaturer, nouer, coudre un tissu ou un vêtement afin de créer une teinture par réserve. Une matinée sera également consacrée à la découverte du cyanophyte sur textile, un ancien procédé photographique.

    Le matériel est fourni sur place, mais n’hésitez pas à apporter de vieux draps de lit en coton blanc ou écru ainsi qu’une trousse rudimentaire de couture (jeu d’aiguilles à broder, petite paire de ciseaux).

    RÉSERVATION
    Coussins Shibori teints à la main
    Coussins Shibori – stage de teintures textiles

    🖋 Le cimetière, la mort et nous – atelier d'écriture

    La mort de toute chose, de tout être vivant, est inéluctable. Elle nous attend tous au bout du chemin. 

    Mais dans le monde, elle est vécue différemment d’un peuple à l’autre, d’une famille à l’autre, d’une culture à une autre. 


    Notre âge ; notre culture, qu’elle soit familiale ou nationale ; nos expériences… nous font appréhender la mort de façon différente de celle avec laquelle l’appréhenderont nos parents, nos frères et sœurs ou nos voisins.
     

    De quelle façon fréquentons-nous le cimetière ? Pourquoi l’évitons-nous ? Qu’y cherchons-nous, qu’y redoutons-nous ? 

    Quel est notre rapport à la mort ? Serein ou angoissant ? Nous paraît-elle proche ou éloignée, effrayante ou attendue ? 

    Anne Brunelle, animatrice à La Fonderie, vous invite à la suivre dans un voyage à travers nos représentations du cimetière et de la mort, grâce à l’écriture. 

     

    Du lundi 10 au jeudi 13 juillet 2023 ou Les 2, 3, 9 et 10 septembre 2023

    événement

    formation Res Urbis

    événement

    Lancée en 2001 par la fondation Marcel Hicter, la formation Res Urbis s’adresse aux acteurs culturels bruxellois privilégiant un rapport novateur à la ville.
    Elle vise à renforcer leurs capacités à développer leur projet, à comparer leurs pratiques et comprendre les enjeux dans lesquels ils évoluent : politique de la ville, politique et actions culturelles, enjeux sociaux, politiques et économiques.
    Les participants sont considérés comme acteurs du processus et non comme étudiants ou apprenants.

    Res Urbis est une formation de 6 journées. Elle a lieu à La Fonderie. Elle est axée sur la conception de projets culturels et alterne :

    • Des journées de séminaires et un exercice méthodologique pratique de conception et gestion de projet
    • La construction d’un argumentaire et de techniques de présentation de projets
    • La connaissance de l’environnement culturel bruxellois (place et enjeux de la culture dans la ville) et européen (partenariats, financements etc.)
    • Les concepts et la méthodologie de la coopération culturelle en Europe.

    Vous êtes intéressé.e ? Téléchargez le programme et le document d’inscription.

    Cette formation est financée par la Cocof, Service Education permanente.

    Journée d'accompagnement : Bronze

    29 juillet

    Vous avez réalisé un modèle de fonderie en plâtre, bois, plastique ou autre matériau et vous souhaitez le couler en bronze. Accompagné par Françoise Gutman, vous réaliserez votre moule en sable et vous coulerez votre pièce. Le tout en une journée à la Fonderie !

    Chaque participant réalise un (seul) moule à partir d’un ou plusieurs châssis. La Fonderie met à votre disposition deux formats de châssis :

    • rectangulaire L :40/ l :20/ h :5 cm (pour un bas-relief)
    • circulaire D : 15/ h :5 cm (pour un volume plein).

    Pour comprendre les possibilités et les contraintes de cette technique, référez-vous au vadémécum du stagiaire pour le bas-relief ou le vademecum pour le volume plein. 

    RÉSERVATION

    🔥 Stage de bronze II : petit volume

    22 août - 24 août 2023

    Entre les murs d’une ancienne halle de coulée de bronze, partez des méthodes traditionnelles du sculpteur pour arriver, au terme de 3 jours de stage à une sculpture en bronze tout en découvrant la technique de coulée au sable. Cette technique, utilisée encore régulièrement dans certaines fonderies d’art, se différencie très fortement de celle à la cire perdue.

    Vous expérimenterez la sculpture, la réalisation du modèle en plâtre, la fabrication du moule en sable, la coulée de bronze, la ciselure et la patine.

    RÉSERVATION

    Stage de tissage

    25 juillet - 27 juillet 2023

    Lors de ce stage, vous apprendrez d’abord les divers points et techniques de tapisserie sur cadre. A partir de chutes de tissus et de vieux vêtements, vous créez ensuite une nouvelle pièce originale, personnalisée et 100% récup ! Nous souhaitons sensibiliser le public au patrimoine matériel et au savoir-faire artisanal lié au design textile d’hier et d’aujourd’hui.

    Vous possédez un vêtement dont vous aimez la couleur ou les motifs mais que vous ne mettez plus car trop petit, troué ou abîmé ? Un foulard ou un tissu dont vous ne savez que faire ? Amenez-les ! Nous les transformerons en matière première d’une pièce tissée, entièrement réalisée par vos soins. Vous apprendrez également à faire votre propre cadre de tapisserie avec des matériaux de récupération.

    RÉSERVATION

    Stage de bronze I : bas-relief

    25 juillet - 27 juillet 2023

    Entre les murs d’une ancienne halle de coulée de bronze, partez des méthodes traditionnelles du sculpteur pour arriver, au terme de 3 jours de stage, à une sculpture en bronze tout en découvrant la technique de coulée au sable. Cette technique, utilisée encore régulièrement dans certaines fonderies d’art, se différencie très fortement de celle à la cire perdue. Vous expérimentez la sculpture, la réalisation du modèle en plâtre, la fabrication du moule en sable, la coulée de bronze, la ciselure et la patine.

    RÉSERVATION 

    Ces métiers qui sont les nôtres 2020-2022

    éducation permanente - outils et services
    13 juillet 2023
    Témoignages de professionnels et carnet d’exploitation des témoignages pour groupes d’adultes

    En 2020 et 2021, six personnes sont venues échanger à propos de leurs métiers à La Fonderie. Elles ont également participé à des animations réflexives et ludiques autour de la notion de métier et de travail. L’ouvrage que vous vous apprêtez à lire contient deux parties : la première est le recueil de leurs témoignages et la deuxième, un carnet d’exploitation de ceux-ci, proposant une série d’activités en lien avec les témoignages, à mettre sur pied pour des groupes d’adultes.  

    Les métiers abordés sont ceux de Roxane, coach entrepreneuriale ; Marguerite, artiste-pédagogue et architecte-paysagiste ; Claude, syndicaliste ; Margaux, artiste ; Sarah, formatrice en insertion socio-professionnelle et Carlo, sociologue. Certes, ces métiers ne reflètent pas la grande diversité des métiers existants, et aucun ne comporte une part importante de travail physique, mais tous renvoient à des questions universelles sur le travail et sur la façon dont il nous impacte.  

    Les témoignages et les activités que l’on vous propose en lien avec ceux-ci abordent des thématiques soit en lien direct avec les métiers des témoins (le syndicalisme, qu’est-ce qu’un-e artiste ?, comment s’approprier son environnement ?…) soit en lien avec le travail et la recherche d’un emploi en général (travailler pour l’argent ou pour s’épanouir ?, faire son bilan socio-professionnel, la législation du travail, l’école de mes rêves…).   

    Thématiques  

    Art (art et déchets, métier d’artiste, variété dans l’art, art outsider ou débutant) – citoyenneté (engagement, combat social) – compétences individuelles ou de groupe – emploi (recherche d’emploi, CV, maîtrise d’un logiciel informatique, lettre de motivation, chômage, bien-être, conditions d’embauche, conditions de travail, reconversion professionnelle) – environnement (biodégradabilité, écologie)  – estime de soi – études (diplôme, enseignement, éducation, école, formation et compétences, comment choisir) – expérience de vie – gestion des déchets – identité – loisirs – métiers (genre, gestion des ressources humaines, balayeur de rue, artiste, reconnaissance et valorisation, changement des mentalités, bons et moins bons métiers, comment trouver le métier qui me correspond, métiers et valeurs personnelles, prestige, peut-on concilier aspirations professionnelles et aspirations financières, comment choisir) – récit de vie – syndicat (rôle, fonctionnement, bien-être) – travail (contrat, expérience professionnelle, législation, allocation universelle, utilité, environnement, objectif)  

    Description de l’outil/du service 

    Document 1 : un recueil de témoignages (renvoyant au carnet d’exploitation) 

    Document 2 : le carnet d’exploitation des témoignages (consignes pour organiser les activités avec un groupe d’adultes) 

     

    Objectif 

    Chaque consigne d’activité est accompagnée de ses objectifs.  

    Quelques exemples : 

    • Permettre à chaque participant.e de dresser un bilan de son parcours professionnel 
    • Permettre aux membres du groupe de comprendre l’impact de la gestion des déchets sur l’environnement mais également sur l’homme 
    • Permettre à chacun.e de mieux connaître ses droits et devoirs en matière de contrat de travail 
    • Proposer la rédaction collective – et sans enjeu personnel – d’un CV  

     

    Publics 

    La plupart des activités proposées peuvent être organisées avec n’importe quel public. Cependant, certaines activités s’adressent à des publics plus spécifiques : public ayant peu ou pas accès au travail, ou de façon ponctuelle, primo-arrivants, public en insertion socio-professionnelle, étudiant.e.s, demandeurs d’emploi, personnes en réorientation professionnelle, public relevant du CPAS, public peu familier de l’art, public en formation, public sachant écrire et/ou sachant lire, public FLE ou alpha, public en burnout, public d’origines culturelle variées, personnes sans diplôme 

    Outil/Service en ligne 

     Téléchargez le recueil de témoignages : Ces métiers qui sont les notres -Temoignages-

     Téléchargez le carnet d’exploitation pour groupes d’adultes : Ces métiers qui sont les notres -Carnet-

     

     

    éducation permanente - outils et services

    Bilans de vies professionnelles

    éducation permanente - outils et services
    Anne, Annie, Athéna, Barbara, Béatrice, Claude, Jean-Luc, Juliette, Léon, Nicole et Simon (certains prénoms ont été modifiés) ont pris leur pension récemment.. Pour certain-e-s, la transition entre vie « active » et pension a été facile, pour d’autres moins.  L'outil "Bilans de vies professionnelles" vise à partager ces expériences pour inspirer ceux qui se trouveraient confrontés à cette problématique.

    En 2021 et 2022, La Fonderie a donné l’occasion à quelques personnes de revenir sur l’ensemble de leurs carrières professionnelles, sous la forme d’un groupe de parole. Durant une dizaine de matinées, nous avons parlé (beaucoup), dessiné et écrit (un peu). Nous avons tout enregistré, tout gardé, tout copié. Des heures de discussions et des tas de documents et images.  

    Tou.te.s les participant.e.s ont apprécié l’aventure et en ont tiré du positif, pour des raisons parfois très différentes. Le bilan positif des premier et deuxième groupe nous encouragent donc à monter un troisième groupe pour septembre 2023.  

    Dans l’objectif de garder une trace de ces riches carrières – traces qui pourraient être utiles à d’autres – nous avons construit ensemble un premier coffret, puis un deuxième. Ils condensent nos histoires, nos expériences, nos questionnements ainsi que les enseignements que nous en avons tirés et que nous partageons avec vous.  

    Comment l’environnement social et familial impacte nos choix de formations et de carrières. Comment se rendre utile à la société, et pourquoi. Comment surmonter les difficultés et se réinventer. Comment appréhender les nombreux changements – évolution des outils, changement des mentalités, évolution de la législation, obstacles et opportunités… – qui surviennent au fil d’une carrière. Finalement, que retenons-nous de toutes ces expériences vécues ?  

    Nous avons tenté, à travers nos propres expériences, de coucher ici tout ce qui pourrait être utile à d’autres, qui se trouvent à un croisement : au moment du choix de la formation ; au moment de postuler pour un nouveau travail ; en burn-out et prêt-e-s à se réinventer ; ou encore, se demandant s’il ne serait pas temps d’arrêter

    Nous vous souhaitons une bonne traversée en notre compagnie !

    Publics

    • des personnes suivant un parcours de formation professionnelle, que ce soit dans un cadre d’études classiques (écoles supérieures ou universitaires) ou dans un cadre d’insertion socioprofessionnelle  
    • des personnes en reconversion professionnelle 
    • des personnes en burn out  
    • des personnes en thérapie, suite à des problèmes dans le domaine professionnel 
    • des personnes en transition entre la vie dite « active » et la retraite 

    Infos
    Les coffrets Bilan de vies professionnelles 1 et 2 sont en vente à l’accueil du Musée bruxellois des industries et du travail. (15€)

    Une fiche pédagogique contenant des pistes d’exploitation des coffrets pour les groupes d’adultes est disponible sur demande au Service éducation permanente – ep@lafonderie.be – 0499 134 955

    éducation permanente - outils et services

    Dictionnaire subjectif du travail

    éducation permanente - outils et services
    Portraits intimes du travail aujourd'hui... Le Dictionnaire subjectif du travail est un recueil de définitions élaborées à partir de témoignages individuels. Il assume son caractère subjectif. Il traduit la diversité des types de travail et valorise chacun d'eux. C'est un témoignage du travail à notre époque.

    Année de création
    2019 – toujours en cours…

    Thématiques
    Les thématiques sont différentes chaque année, en fonction des participants inscrits aux rencontres « Dis-moi ce que tu fais…» 

    Description de l’outil/du service
    Le Dictionnaire subjectif du travail est un recueil de définitions élaborées à partir de témoignages individuels. Il assume son caractère subjectif. 
    Il traite notamment de structures, de compétences qui – selon les interlocuteurs – sont nécessaires pour effectuer un travail donné ; de ce qu’ils-elles font et qui ne fait pourtant pas partie de leurs profils de fonction ; ou encore de ce qui leur plaît le plus dans leur travail..   

    Objectif(s)
    Faire connaître la grande diversité de types de travail et valoriser chacun d’eux. Témoigner du travail à notre époque.   

    Qui peut l’utiliser ? 
    Tous 

    Comment l’utiliser ?
    Le Dictionnaire subjectif du travail parait en ligne, par tome (un par année). Chaque tome contient un sommaire (appellations des différents types de travail qu’on peut y trouver).

    Outil en ligne
    Téléchargez le tome 1 (2019)

    Téléchargez le tome 2 (2020)

    Téléchargez le tome 3 (2022)

    Une fiche pédagogique contenant des pistes d’exploitation du dictionnaire pour les groupes d’adultes est disponible sur demande au Service éducation permanente – ep@lafonderie.be – 02 413 11 79

     

    éducation permanente - outils et services

    Bande dessinée « Rivages »

    éducation permanente - outils et services
    Dans le cadre de son exposition sur les mutations du quartier de la Porte du Rivage à Molenbeek, La Fonderie a organisé un atelier BD de novembre 2019 à janvier 2020. De cet atelier est née la bande dessinée « Rivages ».

    Année de création
    2020  

    Thématiques
    Évolution/bouleversement socio-économique, urbanisme, industries, Molenbeek, Bruxelles, bande dessinée, créativité 

    Description de l’outil / du service
    Dennis Marien
    est auteur de bande dessinée et dirige une maison d’édition. Il est également formateur. Début 2019, il a animé un atelier BD pour La Fonderie et en a publié le résultat : La lessive du futur.
    Dans le cadre de l’exposition “Au rivage de Bruxelles”, il a animé un nouvel atelier. Le sujet traité était les bouleversements socio-économico-urbanistiques du quartier de la Porte du Rivage. Chaque participant a réalisé quelques planches et pages de la BD Rivages 

    Objectifs
    Permettre au groupe de dessinateurs confirmés et amateurs de s’approprier une exposition de La Fonderie et d’exprimer leurs opinions sur le sujet qui y est abordé.  

    Publics
    La publication s’adresse à un public adulte.   

    Comment utiliser la BD en tant qu’enseignant ou formateur ? 
    La BD est un support ludique pour aborder le thème des changements urbains, de la désindustrialisation et des transformations. 

    La publication est en vente au bookshop du musée bruxellois des industries et du travail, au prix de 6€ 

    Une fiche pédagogique contenant des pistes d’exploitation de la publication pour les groupes d’adultes est disponible sur demande au Service éducation permanente – ep@lafonderie.be – 02 413 11 79

    éducation permanente - outils et services

    Une vie de labeur : site internet et livre

    éducation permanente - outils et services
    Le travail lorsqu’on est enfant, adolescent, adulte ou senior prend des formes diverses et variées. Dans le passé, aujourd’hui ou comme ils.elles l’imaginent demain, les participant.e.s à l’atelier d’écriture ont décrit leur travail et celui des autres dans des textes courts, faciles à lire et à analyser. Découvrez-les sur le site internet et dans le livre publié en 2022.

    Année de production 

    2019-2020  

    Thématiques  

    bénévolat – travail et bien-être – environnement de travail – horaires de travail – métiers – métiers du futur – secteurs professionnels – travail au jardin – travail domestique – travail scolaire – maladies du travail – enfants au travail – chômage – lieux de travail – travail et Covid-19 

    Descriptif  

    Suite aux diverses sessions de l’atelier d’écriture « Une vie de labeur » , les participant.e.s ont désiré partager avec vous leurs productions : des textes qui parlent du travail.

    Les exercices donnés à faire durant l’atelier d’écriture ont permis la production de textes aux thèmes et formes diverses, drôles ou profonds, légers ou bouleversants. On y parle aussi bien du facteur à vélo de notre enfance que du chercheur du futur, du travail de bureau à l’administration que du travail de vendeur en magasin…

    Ces textes sont rassemblés dans un site internet consultable par tous, et une sélection de ces textes a été publiée sous la forme d’un petit livre illustré, disponible au prix de 7€ à l’accueil du Musée bruxellois des industries et du travail.

    Objectif  

    Si vous désirez aborder le sujet du travail avec votre groupe, allez lire ces textes, piochez-y ceux qui vous intéressent et livrez-les au ressenti et à l’analyse de votre public.  

    Qui peut l’utiliser ? 

    Enseignants, formateurs et animateurs de groupes d’adultes francophones. Vous trouverez les textes classés sur le site internet selon deux types de classement :

      • Par atelier (dans l’ordre chronologique de leurs moments de production)
      • Par thématiques

    Quant au livre, il présente également les consignes d’écriture, que vous pouvez à loisir reproduire avec vos participant.e.s dans vos locaux.

    Outil en ligne

    Accédez au site internet Une vie de labeur 

    Une fiche pédagogique contenant des pistes d’exploitation du site internet pour les groupes d’adultes est disponible sur demande au service éducation permanente – abrunelle@lafonderie.be – 0499 134 955.

    éducation permanente - outils et services

    C'est dans la boîte !

    éducation permanente - outils et services
    Le projet se base sur les boîtes du centre de documentation. Elles peuvent être physiques ou virtuelles. Les lecteurs peuvent y trouver de la documentation sur un sujet précis : un quartier, le canal, l’électricité, l’eau dans la ville etc. Choisissez votre thématique. Ensuite La Fonderie vous aide à rassembler livres et articles de presse, à mener votre reportage photo, à réaliser vos interviews… bref, à constituer une boîte de documentation.

    Année de création
    2019

    Thématiques
    Les thématiques sont différentes en fonction du quartier ciblé

    Description du service
    Le projet C’est dans la boîte ! se base sur les boîtes de documentation du centre de documentation de La Fonderie : des boîtes physiques ou virtuelles dans lesquelles les lecteurs peuvent trouver de la documentation sur un sujet précis (un quartier, le canal, l’électricité, l’eau dans la ville…). Nous proposons aux groupes en éducation permanente comme à d’autres types de groupes (collègues, comités de quartier…) qui le souhaiteraient de construire avec et pour nous une boîte de documentation sur la vie dans leur quartier. Ils seraient ainsi amenés à se former à l’utilisation du centre de documentation, à mener des enquêtes sur le terrain, à prendre images et sons en témoignage de la vie du quartier à un moment précis, à se découvrir experts sur un point de vue particulier…

    Description de l’outil
    Les boîtes de documentation ainsi créées seront versées dans les collections du centre de documentation.

    Objectif(s)
    L’objectif est double.
    Pour le groupe, il s’agit de s’approprier son environnement immédiat pour mieux le comprendre et le maîtriser, développer un pouvoir d’action dans le quartier, agir collectivement pour s’approprier l’espace et les us et coutumes du lieu.
    Pour le centre de documentation de La Fonderie, il s’agit d’élargir ses collections et de travailler sur le présent d’un quartier (en général, La Fonderie travaille surtout sur l’histoire passée de la ville). Il s’agit également d’élargir le cercle des lecteurs du centre doc et de former ceux-ci à son utilisation de façon collective.

    Qui peut l’utiliser ?
    Un groupe intéressé par la découverte de divers aspects de leur quartier : vie économique, politique, sociale, associative…

    Avec quel type de public ?
    Adultes parlant français

    Comment l’utiliser ?
    Un programme type est disponible sur demande auprès du Service éducation permanente – ep@lafonderie.be – 02 413 11 79

    Concrètement, qu’est ce que cela peut donner ?
    Vous trouverez un exemple d’une boite de documentation déjà réalisée en collaboration avec La Samaritaine (Marolles) sur un site dédié au projet. Pour le consulter, cliquez ici…

    éducation permanente - outils et services

    Dis moi ce que tu fais...

    éducation permanente - outils et services
    Que ce soit à l’usine ou au bureau, qu'on soit ouvrier.e, indépendant.e ou employé.e, qu'on soit au chômage, à l'école, homme ou femme au foyer… nous travaillons tous. La Fonderie s'intéresse à toutes ces formes de travail. Pour les documenter, nous avons organisé des rencontres en petits groupes de deux ou trois personnes durant lesquelles chacun-e expliquait aux autres son travail. Ces rencontres ont été enregistrées et les enregistrements sont à votre disposition au centre de documentation de La Fonderie.

    Année de création
    2019 – 2020   

    Thématiques
    Le travail bénévole ou rémunéré, domestique ou de bureau, à l’usine ou à l’atelier, intellectuel ou manuel…  

    Description de l’outil :

    • Des enregistrements durant entre une et deux heures, à consulter au centre de documentation de La Fonderie, et dont vous pouvez demander une copie à utiliser avec vos groupes
    • De courtes capsules audio à podcaster sur notre site web, résumé de chaque rencontre

    Objectif(s)

    Faire connaître et valoriser un large panel de types de travail

    • Permettre aux participants de découvrir l’activité d’autres personnes et de présenter sa propre activité
    • Faire émerger de la fierté chez les participants
    • Témoigner du travail à notre époque
    • Alimenter les recherches sur le travail et sur les métiers abordés dans les enregistrements
    • Rendre les métiers abordés plus concrets
    • Par la personnalisation induite par le témoignage, encourager l’auditeur à s’ouvrir à d’autres réalités de travail que celles qu’il connaît déjà

     

     

    Avec quel public l’utiliser ? 

    Les discussions sont accessibles à toute personne ou tout groupe de personnes comprenant le français, ou en apprentissage du français (oral ou écrit).

    Une fiche pédagogique contenant des pistes d’exploitation des enregistrements pour les groupes d’adultes est disponible sur demande au Service éducation permanente – ep@lafonderie.be – 02 413 11 79

     

     

    éducation permanente - outils et services

    Ces métiers qui sont les nôtres 2017 - 2019

    éducation permanente - outils et services
    Pendant deux ans, un groupe de personnes se sont réunies régulièrement pour débattre de la question de leurs métiers et des métiers en général : est-on déterminé par ce que l’on fait ou, au contraire, faisons-nous par notre pratique, notre éthique, nos combats, de nos métiers ce qu’ils sont ?

    Année de création : 2019 (préparation de 2017 à 2019) 

     

    Thématiques : métiers – travail – déterminisme social – robotisation – travail des femmes – pénibilité au travail – salaires  

     

    Description du service 

    Après plus d’un an de rencontres, les membres du groupe ont souhaité élargir le débat à 3 types de publics : les écoles primaires et secondaires, les associations et le grand public.  

    Les 10, 11 et 12 octobre 2019, nous vous invitions à nous rejoindre pour débattre avec nous de toutes ces questions, sous la forme d’expositions et d’ateliers ludiques et interactifs.

    Consultez le programme général que nous proposions aux différents publics :  écoles, associations et grand public.

     

    Objectif

    Permettre à chacun.e de s’exprimer sur son métier, d’en savoir plus sur d’autres métiers, de réfléchir à ce que c’est qu’un métier, ce que signifie avoir un métier, et l’importance que ça a dans la vie de chacun.e.

     

    Retrouvez le rapport final du projet sur le site internet de Ces métiers qui sont les nôtres.

    Atelier des salaires

    Devant vous, une série de travailleurs. On vous confie un budget avec lequel vous allez devoir payer ces travailleurs sur une période donnée. Comment allez-vous partager le budget entre ces travailleurs ?

    Année de production 2019 

     

    Thématiques 

    salaires – inégalités salariales – mérite – métiers – travail 

     

    Descriptif  

    En sous-groupes, décidez de la stratégie à adopter et partagez l’enveloppe budgétaire entre les différents travailleurs. Ensuite, confrontez votre politique à celle des autres sous-groupes et débattez-en.  

     

    Objectif

    Chaque participant à cet atelier apportera aux autres ses propres connaissances et compétences en matière de salaire. Chacun sera également amené à argumenter pour persuader les autres « joueurs » de le suivre dans sa politique de distribution des salaires. Ainsi, un débat naîtra spontanément mais la forme ludique de l’activité permettra d’éviter les tensions qui pourraient naître d’un tel débat. 

    La façon dont les participants s’informeront auprès des autres de la réalité des salaires leur permettra de mieux maîtriser leur environnement économique. 

    En fin d’atelier, l’animateur peut, s’il le souhaite et si les participants en émettent le désir, donner les salaires réels des métiers en présence dans l’atelier. Ainsi, chacun pourra confronter sa vision avec la réalité. 

     

    Outil 

    L’outil est disponible pour emprunt à La Fonderie.

    éducation permanente - outils et services

    Capsules à débattre

    éducation permanente - outils et services
    6 capsules audio reprennent des témoignages personnels sur des sujets tant de société que de la vie quotidienne. Ils visent à amorcer discussions et débats en groupe.

    Année de création

    2018

     

    Thématiques 

    Capsule LA FAMILLE : intergénérationnel, mariage, diversité religieuse et culturelle au sein de la famille, homosexualité, divorce, interculturalité.

    Capsule ETRE D’ICI ET DE LA-BAS : déracinement, origines, démarches administratives, intégration, interculturalité, communautarisme, économie, racisme.

    Capsule ETRE HOMME OU FEMME : violence intrafamiliale, stéréotypes, émancipation, polygamie, absence d’un parent, femmes et travail, femmes dans l’Eglise, travaux ménagers, mariage arrangé.

    Capsule L’ECOLE : illettrisme, interculturalité, transport, mixité, langue des études, autorité, émancipation.

    Capsule RELIGIONS, CROYANCES ET PHILOSOPHIES DE VIE : catholicisme, islam, athéisme, intolérance, mixité, port du voile, radicalisme.

    Capsule LE TRAVAIL, ETRE UTILE A LA SOCIETE : travail dans les mines, âge et travail, travail au noir, pension, bénévolat, chômage, travail et migration, relations de travail, épanouissement au travail, émancipation.

     

    Description de l’outil/du service

    Pendant plusieurs mois, un groupe de 11 personnes s’est réuni à La Fonderie dans le cadre du projet “je raconte ma vie”. Elles se sont raconté leur vie en fonction de certaines thématiques prédéterminées. Ces rencontres se sont avérées particulièrement riches mais il ne s’agissait pas de débattre de questions de société mais bien de se raconter et ainsi mieux se connaître. Toutes ces discussions ont été enregistrées et retranscrites. De ces retranscriptions, nous avons tiré des citations dans le but de réaliser 6 capsules audio. Ces capsules servent à lancer ou alimenter des débats en groupes d’adultes.

     

    Objectif

    Fournir aux formateurs et animateurs de groupes d’éducation permanente de la matière à débattre sur les 6 sujets suivants : la famille ; être d’ici et de là-bas ; être homme ou femme ; l’école ; religions, croyances et philosophies de vie ; le travail, être utile à la société.

     

    Qui peut les utiliser ? 

    Les formateurs, animateurs et enseignants travaillant avec des groupes d’adultes.

     

    Avec quel type de public ? 

    Tout groupe sur le point de débattre d’un des 6 sujets précités.

     

    Comment l’utiliser ? 

    Si vous travaillez l’un des sujets précités, et souhaitez entamer ou alimenter un débat sur ce sujet, faites écouter à votre auditoire la capsule s’y référant. Les citations qu’elle contient sont de nature à alimenter un débat.

     

    Outil/Service en ligne

    La famille
    Être d’ici et de là-bas
    Être homme ou femme
    L’école
    Religions, croyances et philosophies
    Le travail, être utile à la société

     

    Merci à Michèle Piron (Ages et transmissions) d’avoir été à l’initiative du projet « Je raconte ma vie » sans lequel ces capsules n’auraient pas existé.  Merci à Danielle, Elisabeth, Eva, Fatima, Habiba, Mariette, Meriem, Micheline, Mina, Mohamed et Philippe de nous avoir autorisés à les citer.  Merci à Anne Brunelle (La Fonderie), Danielle Marion, Guy Raucq, Mohamed Lamine, et Sylvie Lefèbvre (La Fonderie) pour la sélection des extraits. Merci à Thibault Coeckelberghs (GSARA) pour l’enregistrement, et à Christiane Dampne pour le montage.  Merci à Anne Brunelle (La Fonderie), Danièle Piette, Danielle Marion, Dominique Braeckman, Mohamed Lamine, Pascale Deberghe (La Fonderie), Pascal Majérus (La Fonderie) et Robin Pringels de nous avoir prêté leurs voix.

    éducation permanente - outils et services

    Dossier d'exploitation de l'exposition permanente

    éducation permanente - outils et services
    Ce dossier d’exploitation de notre exposition permanente permettra à ses utilisateurs de structurer et partager leurs compétences et savoirs sur les thèmes abordés dans l’exposition : révolution industrielle, conditions de travail, production, technologie, métiers...

    Année de création

    2018

     

    Thématiques 

    •        la Révolution industrielle
    •        le Taylorisme
    •        l’alimentation et société
    •        les conditions de travail et nouvelles technologies
    •        la production textile
    •        l’histoire de l’industrie à Bruxelles
    •        évolution(s) urbaine(s)
    •        le transport et société
    •        les métiers et leur image au fil du temps

     

    Description de l’outil/du service

    De l’histoire de la Révolution Industrielle au dessin des plans d’un musée rêvé, ce dossier invite les groupes à aborder une série de questions, débats et ateliers en utilisant leurs savoirs propres comme base de travail.

     

    Objectif

    Faire émerger des groupes d’utilisateurs un savoir qu’ils seront ensuite amenés à partager et structurer. Aborder une série de questions de société à partir de l’exposition permanente du musée bruxellois des industries et du travail.

     

    Public

    Ce dossier s’adresse aux formateurs, enseignants et groupes d’adultes  dans un cadre d’éducation permanente, de formation, d’études…

     

    Comment l’utiliser ?

    Le dossier liste et explique une série d’activités à mettre en place avant ou après la visite de l’exposition. Le temps de réalisation de ces activités peut varier entre deux heures et une année.

     

    Outil/Service en ligne

    TÉLÉCHARGEZ LE DOSSIER

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    Dossier d'exploitation : Temps de travail

    éducation permanente - outils et services
    Ce dossier accompagne l'exposition "Temps de travail, mesures et démesures". Il comprend un livret avec des idées d'exploitation et un livret avec les textes de l'exposition.

    Année de création

    2018

     

    Thématiques

    • temps de travail : définition
    • travail/loisirs/repos
    • travail des femmes et des enfants
    • mise en perspective temps de travail en Belgique et ailleurs
    • travail et santé
    • syndicats et luttes sociales
    • travail et innovations technologiques
    • allocation universelle

     

    Descriptif

    L’exposition Temps de travail. Mesures et démesures s’est tenue à La Fonderie jusqu’en mars 2018. Depuis, elle est disponible à la location. Téléchargez ci-dessous le dossier descriptif de l’exposition.

     

    Objectif(s) 

    Permettre aux animateurs et formateurs qui veulent emmener leur groupe visiter l’exposition de préparer la visite et d’y donner suite en centrant le propos sur les membres du groupe et en leur permettant de s’approprier le sujet en profondeur.

     

    Qui peut l’utiliser ? 

    Les animateurs de groupes d’adultes en éducation permanente ou en alphabétisation

    L’exposition et son exploitation sont particulièrement intéressantes pour les formateurs de délégués syndicaux

    Les formateurs de groupes d’adultes en ISP

    Les enseignants des universités et hautes écoles

     

    Avec quel type de public ? 

    Les pistes d’exploitation sont suffisamment diversifiées pour être utilisables avec n’importe quel type de groupe parlant le français

     

    Comment l’utiliser ? 

    Les activités sont souvent annoncées comme étant à organiser avant ou après la visite. Lorsque rien n’est annoncé, cela signifie que l’activité peut-être organisée indépendamment de la visite de l’exposition.

    Le type d’activité est également annoncé en début de paragraphe (débat, animation, discussion, atelier, jeu de rôles…)

    Enfin, d’autres outils (films, séries et livres) sont conseillés pour prolonger la réflexion.

    Outil en ligne

    Téléchargez le dossier descriptif de l’exposition

    Téléchargez le dossier d’exploitation de l’exposition

    Téléchargez le livret de textes de l’exposition 

    éducation permanente - outils et services

    Dossier d'exploitation le petit Manchester

    éducation permanente - outils et services
    Cet outil s'adresse aux groupes ayant participé à la visite guidée "Molenbeek, le petit Manchester". Il leur permet de structurer et de partager leurs compétences et savoirs sur les thèmes abordés lors du parcours.

    Année de création

    2018

     

    Thématiques 

    • la révolution industrielle
    • Molenbeek
    • Notions de frontières
    • Logement
    • Transport
    • Travail
    • Gentrification
    • Migrations
    • Toponymie
    • Services à la population
    • Evolution(s) urbaine(s)

     

    Description de l’outil/du service

    Le dossier d’exploitation du parcours “Le petit Manchester” va pousser ses utilisateurs à structurer et partager leurs compétences et savoirs sur les thèmes abordés lors de la visite. De l’histoire de la Révolution Industrielle au dessin des frontières « rêvées » de leur commune, les groupes aborderont une série de questions, débats et ateliers en utilisant leurs savoirs propres comme base de travail.

    Objectif

    Faire émerger des groupes d’utilisateurs un savoir qu’ils seront ensuite amenés à partager et structurer. Aborder une série de questions de société en ayant pour support une visite guidée dans la ville.

     

    Qui peut l’utiliser ? 

    Les formateurs, animateurs et enseignants

     

    Avec quel type de public ? 

    Les groupes d’adultes dans un cadre d’éducation permanente, de formation, d’études…

     

    Comment l’utiliser ? 

    Le document propose une série d’activités à mettre en place avant ou après avoir suivi le parcours. Le formateur, l’animateur ou l’enseignant choisira les activités à mettre en  place en fonction de la nature de son groupe et du temps qu’il peut ou veut consacrer à l’exploitation de ce parcours.

    Outil/Service en ligne

    Téléchargez le dossier d’exploitation du parcours “Le petit Manchester”.

    éducation permanente - outils et services

    Discours sur le temps de travail

    éducation permanente - outils et services
    Cette publication écrite regroupe des citations d’experts récoltées à l'occasion de l'exposition Temps de travail, mesures et démesures. Elle traite le sujet du temps de travail spécifiquement en Belgique.

    Année de création

    2018

     

    Thématiques 

    Histoire et avenir de l’évolution du temps de travail en Belgique, débats et projections.

     

    Description de l’outil/du service

    Synthèse des interviews et conférences réalisées et mises sur pied dans le cadre de l’exposition Temps de travail. Mesures et démesures à La Fonderie.

     

    Objectif(s)

    Permettre aux lecteurs d’appréhender et de comprendre les tenants et aboutissants de l’évolution du temps de travail en Belgique pour pouvoir se positionner sur les politiques et actions à venir.

     

    Qui peut l’utiliser ? 

    Tout le monde

     

    Avec quel type de public ? 

    Un public adulte alphabétisé

     

    Comment l’utiliser ? 

    Les chapitres de cette publication sont les suivants :

    • L’importance du temps
    • Réduction collective du temps de travail
    • Rapports de force
    • Le poids des politiques
    • Femmes et travail
    • Travail et vie privée
    • A s’en rendre malade
    • Et demain ?
    • Adieu le salariat ?
    • Une allocation universelle ?

     

    Outil/Service en ligne

    Téléchargez la publication Discours sur le temps de travail.

    éducation permanente - outils et services

    Parlons social

    éducation permanente - outils et services
    Mais en quoi consistent les métiers du social ? Quel est leur combat et leur quotidien ? Cet ouvrage vous permet d'aborder ces métiers au travers de témoignages de travailleurs sociaux. C'est un excellent outil pour comprendre et nourrir la réflexion et le débat.

    Année de création 

    2019 

      

    Thématiques 

    Santé communautaire, santé mentale, santé, vocation, relation au travail, utilité de la supervision, enseignement et formation, utilité des stages, théorie et pratique, bonnes et mauvaises pratiques,… 

      

    Description de l’outil 

    Dans le cadre de l’exposition itinérante Vivre: les métiers du social, 100 ans d’histoire et de formation, La Fonderie a organisé un groupe de parole sur ces métiers. Toutes les discussions de ce groupe ont été retranscrites. D’autres témoignages de travailleurs sont venus enrichir ce corpus.  

    Des membres du groupe de parole et des membres du personnel de La Fonderie ont collaboré à la rédaction d’un recueil de ces témoignages. La publication a été illustrée par une dessinatrice qui a suivi des professionnels dans le cadre de leur travail.  

    La publication est parue en décembre 2019.  

      

    Objectif

    • Permettre aux participants du groupe de parole de s’exprimer librement sur leurs expériences de vie, de les comparer à celles des autres, d’émettre des points de vue sur divers aspects de leurs métiers ou futurs métiers.  
    • Leur permettre également, par le biais de la publication, de transmettre ce qu’ils ont appris.  
    • Enfin, enrichir l’exposition par une publication de récits de vies professionnelles.  

      

    Qui peut l’utiliser ?  

    Les étudiants, enseignants, usagers et travailleurs dans les métiers du social. 

     

    Infos pratiques 

    Publication disponible à l’accueil de la Fonderie – musée bruxellois des industries et du travail 

    Une fiche pédagogique contenant des pistes d’exploitation de la publication pour les groupes d’adultes est disponible sur demande au Service éducation permanente – ep@lafonderie.be – 02 413 11 79

     

    éducation permanente - outils et services

    La ligne du temps de travail

    éducation permanente - outils et services
    Ce jeu accompagne l’exposition « Temps de travail. Mesures et démesures ». Il permet de placer dans le temps les étapes majeures de l'histoire du temps de travail en Belgique.

    Année de création

    2018

     

    Thématiques 

    L’évolution du temps de travail en Belgique. Les combats sociaux, syndicaux. Les politiques liées au temps de travail.

     

    Description de l’outil : 

    Le jeu “Ligne du temps de travail” permet aux animateurs et formateurs d’ancrer de façon ludique et interactive une ligne du temps de l’histoire du temps de travail chez les membres de leur groupe.

     

    Objectif

    Permettre aux animateurs et formateurs de donner suite à la visite de l’exposition Temps de travail, mesures et démesures de façon ludique et interactive. Les participants se familiarisent avec l’histoire du temps de travail au travers d’un jeu.

     

    Qui peut l’utiliser ? 

    • Les animateurs de groupes d’adultes en éducation permanente ou en alphabétisation
    • L’exposition, son dossier d’exploitation et le jeu sont particulièrement intéressantes pour les formateurs de délégués syndicaux
    • Les formateurs de groupes d’adultes en ISP
    • Les enseignants des universités et hautes écoles

     

    Avec quel type de public ? 

    N’importe quel groupe d’adultes parlant le français

     

    Comment l’utiliser ? 

    Téléchargez le jeu La ligne du temps de travail. Un mode d’emploi accompagne le jeu.

    éducation permanente - outils et services

    Conférence : La condition ouvrière à Bruxelles au 19e et début 20e siècle

    éducation permanente - outils et services
    On vous raconte les conditions de vie et de travail des ouvriers à Bruxelles, au 19ème et 20ème siècle. On analyse aussi les représentations sociales qui dominaient à l'époque ainsi que les politiques mises en place par les autorités à l'égard des ouvriers : exploitation, répression, paternalisme luttes syndicales et acquis sociaux.

    Année de création 

    2018 

     

    Thématiques 

    Aux 19è et 20è siècles : la condition ouvrière, le chômage, les luttes et les acquis sociaux et syndicaux, les conditions de la vie quotidienne, la condition et le travail des femmes et des enfants, le suffrage universel 

     

    Description de l’outil 

    Montage vidéo de la conférence organisée conjointement par La Fonderie et Brussels Academy, qui s’est tenue au Musée bruxellois des industries et du travail le 21 octobre 2016, sur le thème de la condition ouvrière à Bruxelles au 19è et au début du 20è siècle. La conférence a été donnée par Florence Loriaux, historienne au CARHOP.

     

    Objectif(s) 

    Cet outil est destiné à alimenter, documenter, et offrir un support médiatique à tout animateur ou formateur qui aborderait avec un groupe d’adultes l’une des thématiques développées ici.

    Vous trouverez ici un document d’exploitation de la conférence.

    éducation permanente - outils et services

    C'est dans la boîte : le site internet

    éducation permanente - outils et services
    Pour le projet “C’est dans la boîte !”, les services multimedia, éducation permanente et centre de documentation de La Fonderie s’associent pour accompagner un groupe à la découverte de son quartier/ Le résultat ? Une boîte de documentation palpable et virtuelle riche de toutes sortes d’illustrations sur le passé et le présent d’un quartier bruxellois.

    Année de création 

    2019 – 2020 

      

    Thématiques  

    Les thématiques sont différentes en fonction du quartier ciblé : urbanisme et architecture, maillage social, histoire socio-économique, culture et arts… 

      

    Description du service 

    Le projet “C’est dans la boîte!” se base sur les boîtes qu’on trouve dans tous les centres de documentation, notamment celui de La Fonderie. Ce sont des boîtes physiques ou virtuelles dans lesquelles les lecteurs peuvent trouver de la documentation sur un sujet précis (un quartier, le canal, l’électricité, l’eau dans la ville…).  

    Ici, la boîte n’a pas été constituée par des professionnels de l’histoire et du documentaire mais par des habitants et usagers du quartiers, experts dans certains domaines touchant à ce quartier pour l’expérimenter tous les jours.  

     

    Outil en ligne

    Un site web “C’est dans la boîte” reprend les boîtes virtuelles ainsi qu’un journal qui expose les rencontres et étapes de chaque projet.

    Actuellement, un premier groupe développe son projet “C’est dans la boîte !”. C’est le Comité culturel de la Samaritaine qui travaille sur le quartier des Marolles. La boîte sera disponible dès la fin de l’année 2020.

    Connaître mon quartier

    Certains publics fragilisés connaissent la ville sans pour autant bien la comprendre. Avec ce projet il devient acteur de sa découverte.

    Année de réalisation

    2017

     

    Description de l’outil

    Musée de proximité, La Fonderie propose une animation en soutien à tout projet, à destination d’un public de quartier, qui doit aider les habitants à mieux appréhender leur histoire. Ceci implique potentiellement diverses interventions :

    • produire un outil d’animation sur base des objectifs du projet, tout en tenant compte des réalisations qui en découlent
    • animer plusieurs séances comportant travail en classe et visite pédestre interactive du quartier
    • observer le quartier lors d’une visite pédestre personnalisée (lieux-phares pour les habitants du quartier, lieux-phares dans l’histoire du quartier)
    • outils: micro-macro, puzzle, je vais au marché et j’achète, lecture témoignages

     

    Objectifs :

    • découvrir le quartier avec un nouveau regard
    • s’approprier son quartier en le regardant avec d’autres lunettes
    • observer, et relever des indices qui racontent l’histoire de la rue
    • s’exprimer / s’écouter
    • greffer à ses propres analyses des informations nouvelles liées à l’histoire et au patrimoine du quartier
    • autres regards à poser, regarder autrement, et le croiser avec l’histoire du quartier
    • valoriser la propre identité du quartier
    • casser les stéréotypes
    • créer de la convivialité : l’importance de faire du lien, de l’expression, de parler du ressenti
    • accroître les connaissances mutuelles
    • « Il est important de connaître l’histoire de son quartier, d’aimer connaître des nouvelles choses.”

     

    Avec quel type de public ?

    Idéalement, un public d’adultes, écrivant et comprenant le français, personnes inactives, souvent isolées avec des problèmes de logement, de santé. Public fragilisé. Ils connaissent la ville mais ne la comprennent pas nécessairement.

     

    Thématiques :

    • découvrir le passé à travers la matérialité urbaine
    • les aider à regarder, à comprendre et à décrire des bâtiments ou des endroits connus et inconnus de leur quartier
    • fournir une grille de lecture facile à reproduire
    • apporter des réponses à leurs questions
    • faire parler de ce qu’on aime et de ce qu’on n’aime pas
    • connaître quelques éléments d’histoire du quartier ou de la commune qui permettent de mieux comprendre le présent du quartier
    • connaître quelques éléments clés de l’histoire sociale et du monde du travail : faire des ponts entre des éléments visuels côtoyés au quotidien (maisons, hôtel de ville, église,…) et les contextualiser de manière plus globale.

     

    Outil/Service en ligne

    Télécharger le document Connaître mon quartier.

    Par ailleurs, La Fonderie met à votre disposition son personnel et son centre de documentation (bibliothèque, iconothèque, médiathèque) pour les recherches concernant l’histoire du quartier sur lequel vous souhaitez travailler.

    éducation permanente - outils et services

    Le forum Ransfort

    éducation permanente - outils et services
    Le Forum Ransfort est un espace de rencontre créé pour et avec les travailleurs sociaux et culturels du Vieux Molenbeek.

    À l’initiative de l’asbl La Fonderie et de l’antenne du Projet Lama, une première matinée d’échange, rassemblant plus de 60 personnes et 20 associations, a eu lieu à La Fonderie le 17 mai 2017.
    Ce rapport a pour but de présenter le déroulé et les traces écrites de la rencontre et d’exposer les étapes-clés dans l’organisation de l’événement dans le cadre de l’axe 3.1 de l’éducation permanente. Il a été réalisé à l’intention des participants, des travailleurs du milieu socio-culturel et de toute personne souhaitant entreprendre une démarche similaire.

    Téléchargez le rapport du forum Ransfort.

    éducation permanente - outils et services

    Bande dessinée : La lessive du futur

    éducation permanente - outils et services
    Dans le prolongement de l’exposition Prélavage en 2017 – destinée à récolter témoignages et objets sur la lessive – La Fonderie prépare une exposition sur l’évolution de ce travail domestique : La Grande Lessive. En vue d’agrémenter cette exposition, La Fonderie a réalisé un atelier d’introduction à l’art de la bande dessinée sur le thème de la lessive du futur.

    Année de création 

    2019 

     

    Thématiques 

    • lessive : histoire, pratiques, avenir 
    • protection de l’environnement 
    • questions de genre 
    • art de la BD 

     

    Description de l’outil 

    Les participants, au nombre de 6, ont été invités à réfléchir individuellement et collectivement à ce que serait la lessive dans le futur. Ils ont chacun choisi d’aborder l’une des trois sous-thématiques suivantes : la technique, la question du genre, les problématiques environnementales. 

    Les participants ont conçu un scénario et imaginé un ou plusieurs personnages. Ils ont ensuite été guidés par Dennis Marien dans la réalisation de leur BD. 

     

    Objectif(s) 

    • s’initier à l’art de la BD, connaître les différentes étapes de la réalisation d’une BD. 
    • Réfléchir aux possibles pratiques futures dans le domaine de la lessive. Argumenter et débattre en groupe sur les problématiques liées au genre, à la technique et à l’environnement propres à la lessive. Imaginer des alternatives. 
    • Permettre au groupe de contribuer à une future exposition de La Fonderie en ayant réfléchi sa thématique et en y étant eux-mêmes exposés. 

      

    La BD est en vente à l’accueil du musée à prix libre. 

     

    Une fiche pédagogique contenant des pistes d’exploitation de la publication pour les groupes d’adultes est disponible sur demande au Service éducation permanente – ep@lafonderie.be – 02 413 11 79

    Atelier d'écriture "Une vie de labeur" - Ateliers en soirées

    Que nous ayons un emploi ou que nous n’en ayons pas, que nous soyons jeunes ou que nous soyons âgés, que ce soit à l’école ou à l’usine, que ce soit par choix ou par nécessité… nous travaillons tous. Rejoignez-nous pour écrire votre métier.

    Année de création
    2019 – 2020  

    Thématiques
    Travail, écriture, atelier 

    Description du projet
    La Fonderie – Musée bruxellois des industries et du travail s’intéresse à toutes les formes du travail. Nous vous proposons de nous rejoindre pour une série d’ateliers d’écriture. Nul besoin d’être un grand écrivain, un prof de français ou un petit génie de l’orthographe. L’envie d’écrire est la seule condition pour participer.  

    Venez écrire votre travail avec nous. Aidez-nous à documenter le monde du travail… 

    Le projet atelier d’écriture “Une vie de labeur” dispose de son propre site internet. Vous pouvez y retrouver des textes écrits par les participants. Consultez-le en cliquant ici…

    Publics
    A partir de 15 ans 

    Ateliers 2023

    Atelier en soirées – de 18h30 à 20h30 :

    jeudi 27 avril, jeudi 4 mai, lundi 8 mai, jeudi 11 mai, lundi 15 mai, lundi 22 mai, jeudi 25 mai, jeudi 1er juin, jeudi 8 juin. Participation demandée à au moins 6 soirées. 30€ pour les 9 soirées.

    Contact et inscriptions
    abrunelle@lafonderie.be – 02 413 11 85 – gsm 0499 134 955

    éducation permanente - projet

    💬 Bilan :  groupe de paroles pour jeunes retraité-e-s

    éducation permanente - projet

    Le projet Bilan est un espace de rencontre pour jeunes retraité-e-s de tous types de métiers. Les membres sont invités à se raconter leurs carrières professionnelles, leurs bonheurs et leurs déboires, leurs visions de leurs métiers, l’évolution de ces métiers et la place que leurs carrières leur a permis de prendre dans la société.

    De notre formation jusqu’à nos derniers jours de travail (rémunéré), nous développons une série de compétences et acquérons de l’expérience qui fait de nous ce que nous sommes aujourd’hui. Quelle importance a eu mon travail dans ma vie ? Quelle place m’a-t-il permis de prendre au fil du temps ? Que referais-je aujourd’hui et que ne referais-je pas ? Au vu de ma carrière, comment puis-je encore être utile à la société ? Ai-je encore envie de jouer un rôle à l’avenir ?

    Une fois retraité-e, il est bon de jeter un œil en arrière et de prendre de la hauteur par rapport à notre vécu pour mieux rebondir. En outre, le témoignage de notre expérience peut en inspirer d’autres et contribue à construire la grande histoire du travail.

    De septembre à décembre 2024, le groupe de parole se réunira pour 12 rencontres. Celles-ci auront lieu les jeudis, de 10h à 12h30 :

    12 septembre – rencontre 1 : je raconte ma vie professionnelle en quelques mots 19 septembre – rencontre 2 : atelier d’écriture de la ligue des super-pros 26 septembre - rencontre 3 : ma vocation et ma formation 3 octobre – rencontre 4 : ma carrière et ses rebondissements 10 octobre - rencontre 5 : évolution de mon métier 17 octobre - rencontre 6 : illustrer ma carrière professionnelle 7 novembre  - rencontre 7 : comment mon métier m’a permis de prendre une place dans la société.

    14 novembre – rencontre 8 : comment j’ai réussi – ou pas – à concilier vie privée et vie professionnelle 21 novembre– rencontre 9 : comment j’ai transmis mes savoirs et compétences 28 novembre – rencontre 10 : comment je vis ma retraite, que vais-je faire demain 5 décembre – rencontre 11 : évaluation du groupe de parole et suite du projet 12 décembre – rencontre 12 : rencontre avec les précédents participants au projet, suivie d’un repas

    Parcours Alpha : visite guidée et animée pour groupes en alphabétisation

    Molenbeek est un quartier emblématique de la ville en changement. Il regorge de possibilités pour les groupes en alphabétisation qui veulent apprendre le fonctionnement et les codes de l’environnement urbain.

    Année
    2019 – 2021

    Thématique : la ville en changement

    Prendre conscience des réalités urbaines proches de soi permet à l’individu de mieux se situer socialement et engendre plus de maîtrise de son environnement. 
    Mieux maîtriser son environnement, c’est être en mesure d’exercer son pouvoir démocratique, de faire entendre sa voix, de se rassembler et de se concerter pour améliorer la ville pour ses habitants.
    Outre ce parcours “clé sur porte” à commander à La Fonderie, nous proposerons également aux formateurs-trices une boîte à outils qui leur permettra soit de répéter les animations pensées pour notre groupe-test à Molenbeek, dans les mêmes quartiers ; soit d’adapter ces activités dans un autre quartier ou une autre commune bruxelloise.  

    Descriptif

    Le projet est mené avec un groupe du Collectif alpha de Molenbeek, encadré par deux animatrices du Collectif et par La Fonderie. Ilteste en ce moment une série d’activités interactives à la découverte de leur quartier : vieux Molenbeek, abords du canal…

    Les activités que le groupe aura préférées, celles qui leur auront le plus apporté en termes de connaissances sur l’histoire de leurs quartiers, seront retenues pour construire un parcours-type. Ce parcours sera ensuite proposé aux groupes inscrits dans un processus en alphabétisation.
    En outre, un “journal de bord” retrace tout le travail qui aura permis la création de ce parcours-type. Il  sera mis à la disposition de toute association qui souhaiterait mettre sur pied le même type de projet.  

    Objectifs

    • Favoriser la maîtrise de leur environnement pour des groupes en alphabétisation 
    • Travailler à la fois dans un esprit d’alphabétisation mais aussi de découverte active de l’environnement urbain 

    Publics
    Groupes en alphabétisation

    Infos
    Pour toute info, contactez le Service éducation permanente : ep@lafonderie.be – 02 413 11 79

    L'intime confinement

    Ce projet vise à partager des photos ou représentations d’objets qui ont pris une place inédite dans nos vies pendant le confinement. Au-delà de l'anecdote, les objets deviennent des symboles. On traite autant de libertés que du quotidien. On crée du lien et on invite aussi à réfléchir sur les enjeux politiques et sociaux qui se posent pendant et après la crise sanitaire.

    Année

    2020

     

    Thématiques

    Il s’agit ici principalement du confinement et de la question des libertés : de mouvements, de rassemblement, de déplacement, de relations sociales… 

     

    Description du projet

    Au début du confinement Covid-19, nous avons cherché un moyen de lancer un projet en éducation permanente en ligne, qui puisse éventuellement avoir des suites moins virtuelles. C’est ainsi qu’est né le site internet “L’intime confinement”.  Chacun y présente la photo d’un objet accompagnée d’un texte expliquant en quoi cet objet a pris tant d’importance, à quoi il sert, d’où il vient…  Le résultat est donc un site internet qui relate le confinement de plusieurs dizaines de personnes. 

    Dans un avenir que nous espérons proche, nous pourrions réunir les participant-e-s qui le souhaitent pour leur proposer de réfléchir ensemble à un événement autour de ce site, qui encouragerait la réflexion du grand public sur ce qu’a été le confinement pour nous, de son impact sur notre vie à ce moment-là mais également après, et de ce que l’on peut en tirer comme leçons pour l’avenir.  

     

    Objectifs 

    • Encourager chacun-e à dévoiler un pan de ce confinement qui a tellement coupé les liens entre nous, à réfléchir à ce qui avait pris de l’importance à ce moment-là, à coucher sur papier ces réflexions 
    • Permettre aux internautes de retrouver du lien en visitant ce « musée des gens ordinaires », pour constater à quel point on se ressemble toute-s, ou pas 
    • Poser les bases d’un projet plus large, qui réunira les participants et les encouragera à construire ensemble un projet sur base d’échanges et de réflexion : comment avons-nous vécu ces restrictions à nos libertés ? Etaient-elles ou pas nécessaires ? A-t-on ensuite retrouvé la même liberté qu’avant le Covid-19 ou, au contraire, nos libertés ont-elles été restreintes ? 
    • Les participants ont été et seront encore encouragés à réfléchir à ce que ces objets réunis ici symbolisent et représentent en termes de libertés. Plus largement, nous pourrons également parler, à partir de ce projet, de déconfinement et des actes politiques qui ont été posés lors de cette crise sanitaire, économique et sociale.

     

    Publics

    Tous

     

    Infos pratiques

      Accédez au site “L’intime confinement”. Lisez, participez, partagez…

    animation - atelier

    La lessive : recueillir des témoignages d'un groupe en alphabétisation

    animation - atelier

    L’exposition “Derrière le hublot, la lessive d’hier à demain”, est présentée à La Fonderie du 20 décembre 2020 au 22 aout 2021. Une animation de découverte est proposée pour les publics FLE (A1 et A2) et Alpha. Cette visite du musée aidera vos apprenants à mieux comprendre l’histoire de ce travail domestique tout en travaillant l’apprentissage de la langue (la description, les souvenirs, les verbes, les matières, le passé et le présent, …). Au moyen d’une pédagogie active et ludique, elle permet de travailler les quatre compétences de base (écoute, parole, lecture, écriture), en s’articulant autour d’objectifs linguistiques, discursifs et socio-culturels

    Pourquoi le thème de la lessive ? Aujourd’hui, la lessive est une activité qui paraît anodine. Pourtant, elle nous concerne tous, peu importe notre milieu social ou nos origines. Omniprésente dans notre quotidien, elle renvoie à des évolutions techniques, culturelles, sociales et économiques.

    Cette animation est en lien avec le dossier d’activités pédagogiques préparé spécialement autour de cette exposition par le Collectif Alpha et disponible gratuitement en cliquant sur ce lien.

    Loin d’être un lieu ennuyeux, le musée propose des espaces dynamiques d’étude et d’émancipation. La Fonderie, musée bruxellois des industries et du travail, se veut un outil d’appui à l’apprentissage de la langue.

    animation - atelier

    des enquêtes pour prolonger l'expérience pédagogique "derrière le hublot"

    animation - atelier
    Voici 5 enquêtes que les jeunes élèves sont invités à réaliser sur le thème de la lessive. Elles permettent de prolonger l'expérience proposée avec le kit pédagogique "derrière le hublot".

    Enquête 01 : Comment lavait-on ses vêtements avant la machine à laver ? 
    Tu t’es déjà demandé comment on lavait ses vêtements avant l’invention de la machine à laver automatique ?  Nora et Théo testent pour toi les plus extraordinaires outils et machines 

    • Quelle étape de la lessive est la plus difficile selon Nora et Théo ? Et selon toi ?  
    • Quels sont les avantages de la machine à manivelle ?  
    • Que font-ils dans leur buanderie ?  
    • Et toi ? As-tu une buanderie ? Y fais-tu la lessive ?  
    • Nora écoute Spotify pendant que sa maman fait la lessive ? Et toi ? 
    • Quel est l’outil ou la machine que tu voudrais tester ?  

     

    Enquête 02 : Comment blanchissait-on le linge avant les poudres à lessiver ?  
    Nora et Théo ont lessivé avec de l’eau et du savon râpé. Les poudres à lessiver que nous utilisons aujourd’hui n’ont pas toujours existé. Elles commencent à être utilisées après la Seconde Guerre mondiale. Mais comment obtenir un linge bien blanc sans poudre à lessiver ? Ce film montre le déroulement d’un jour de lessive dans les années 1930 à Rijssen (Pays-Bas). 

     

    • Quelles sont les actions réalisées par les femmes ?  
    • Où font-elles la lessive ?  
    • Que font-elles une fois le linge rincé et essoré  
    • Pourquoi étendent-elles le linge sur l’herbe ?  
    • Au moyen de quel petit véhicule ramènent-elles le linge sec à la maison ?  
    • Pourquoi ne voit-on que des femmeset des enfants ? Où sont les hommes ?

     

    Enquête 03 : Est-il dangereux de faire la lessive ?  
    Propose à ta grand-mère ou à une personne âgée de visionner ce film ensemble et de t’aider à répondre aux questions. Ces images filmées il y a 70 ans pourraient lui réveiller des souvenirsSuis le petit garçon aux cheveux blonds ! 

    • sa maman faisait-elle la lessive     
    • Que fait-il pendant que sa maman essore le linge ? Et pendant qu’elle l’étend sur la corde  
    • Y a-t-il quelque chose de dangereux dans ce qu’elle fait Et dans ce que le petit garçon fait ?  
    • Quelle est l’étape finale de la lessive ?  
    • Que font les autres enfants qui apparaissent dans ce film ? 
    • Selon toi, quand et où ces enfants ont-ils vécu ? 

     

    Enquête 04 : Quand la lessive arrive sur le grand écran
    Les frères Auguste et Louis Lumière sont deux ingénieurs français qui réalisent la première projection d’un film sur grand écranAujourd’hui, on les considère les inventeurs de la salle de cinéma. Ils sont également les réalisateurs du premier film publicitaire au monde. C’était pour le savon Sunlight en 1897.  

    • Qui sont les personnages, comment sont-ils habillés et que font-ils ?  
    • Qu’entends-tu ?  Quel est le rôle de la musique de fond ?   
    • Quel est le message de cette publicité ?  
    • À qui s’adresse-t-elle ?  
    • Que nous dit-elle sur les tâches ménagères d’il y a 100 ans ?  
    • Es-tu d’accord avec le message de cette publicité ? 

     

    Enquête 05 : Les tâches ménagères sont-ellesplus partagées aujourd’hui 
    Cette campagne publicitaire a été réalisée par la marque Ariel en 2018 sous le slogan Partageons les tâches !  La lessive reste aujourd’hui l’un des derniers obstacles à lever, nous dit Ariel.  

     

    • Qui sont les personnages, comment sont-ils habillés et que font-ils ?  
    • Qu’entends-tu ? Quel est le rôle de la musique de fond ?   
    • Quel est le message de cette publicité ?  
    • À qui s’adresse-t-elle ?  
    • Que nous dit-elle sur les tâches ménagères d’aujourd’hui ? 
    • Es-tu d’accord avec le message de cette publicité ? 

    animation - atelier

    Derrière le hublot : kit et dossier pédagogiques

    animation - atelier
    La Fonderie propose une exposition intitulée Derrière le hublot, la lessive d’hier à demain. Mais vu le contexte actuel, il n’est pas forcément évident pour les écoles d’organiser des sorties au musée. C’est pourquoi nous avons développé un kit interactif itinérant et un dossier pédagogique. Ils permettent aux enseignants de plonger en classe, avec leurs élèves, dans la formidable histoire de la lessive.

    Le kit et le dossier pédagogique

    Le kit comporte des objets et des documents historiques, un dossier pédagogique et des fiches d’exploitation. Ces éléments permettent d’explorer trois thématiques différentes afin de répondre aux questions suivantes :

    • Comment lavait-on ses vêtements avant la machine à laver ?
      Les élèves découvrent les pratiques d’antan en analysant des documents iconographiques d’époque. Ils perçoivent la pénibilité de la lessive manuelle en manipulant des outils anciens
    • Qui fait la lessive à la maison ?
      Grâce à une midi-radio portable incorporée au kit, les élèves écoutent des témoignages sonores de plusieurs générations de femmes. Ils s’en inspirent pour mener une enquête sur la répartition des rôles et des tâches domestiques à la maison.
    • Comment le savon agit-il ?
      Comme dans un petit laboratoire, les élèves expérimentent avec les propriétés chimiques de l’eau et du savon. Si cela leur permet de comprendre comment ce dernier agit sur les taches et la crasse, cela permet aussi de les sensibiliser au rôle de l’hygiène dans le contexte actuel de l’épidémie de Covid-19.

    Le public

    Ce kit s’adresse aux classes de la 3ème jusqu’à la 6ème primaire.
    L’enseignant peut l’exploiter dans le cadre de ses cours d’histoire et de sciences. Il peut s’en charger de façon entièrement autonome ou faire appel à La Fonderie pour animer le premier module “comment lavait-on ses vêtements avant la machine à laver ?”

    Le déroulement

    • Nous venons déposer le matériel dans votre école.
    • Si vous le souhaitez, un animateur de La Fonderie vient dans votre classe pour l’animation introductive Comment lavait-on ses vêtements avant la machine à laver ? (optionnel – 50 minutes)
    • Une fois initiés, les élèves sont en mesure de réaliser toutes les autres activités du kit par eux-mêmes.
    • Deux tutoriels en ligne vous permettent de prolonger l’expérience.
    • A la fin de la semaine, nous venons rechercher le matériel. Vous conservez le dossier pédagogique.

    Les documents à télécharger

    Le mode d’emploi du kit et du dossier
    Le dossier pédagogique pour les élèves
    Le labo de la lessive – expériences
    Le labo de la lessive – dossier

    Infos et réservations

    Participation à une après-midi d’initiation. Gratuit. Réservation nécessaire. Maximum 4 personnes par séance.
    Location du kit pendant 1 semaine : Gratuit.
    Caution  : 50 euros. Celle-ci vous sera rendue à la fin de la location.
    1h d’animation en classe par La Fonderie (optionnel) : 50 euros

    Pour toute question et pour les réservations, adressez vous à Luiza Mitrache – Chargée du service éducatif – lmitrache@lafonderie.be – 02 413 11 78.

    Le kit et le dossier pédagogique “Derrière le hublot” ont pu être réalisés grâce au soutien d’Innoviris.

    Cinq enquêtes complémentaires à réaliser en classe ou chez soi vous sont proposées. Elles sont assorties de vidéos. Vous les retrouverez toutes sur la page des enquêtes pour prolonger l’expérience pédagogique “derrière le hublot”.

    animation - atelier

    Vapeur, machines et ouvriers

    animation - atelier, écoles
    La première révolution industrielle à Molenbeek et Bruxelles

    Descriptif

    On commence par arpenter le site de l’ancienne Compagnie des bronzes, véritable entreprise entre art et technique, installée dans le petit Manchester d’une jeune Belgique qui, dès les années 1840, est à la pointe de la Révolution industrielle. On explore ensuite, à travers les objets et machines de l’exposition permanente, l’évolution du travail et des industries à Bruxelles au cours des 19e et 20e siècle.

    A travers des focus sur le métal, le bois, le textile et l’alimentation ; la découverte active de l’exposition amène à comprendre comment la machine comme outil de travail a amené une nouvelle structure de production, l’usine ; et un nouveau statut, l’ouvrier, qu’à l’époque aucune législation sociale ne protège. Les postes de travail y sont définis par rapport à l’ensemble de la fabrication du produit, sans relâche et à la chaine.

    A destination du cycle supérieur de l’enseignement fondamental et de l’enseignement secondaire

     

    Objectifs 

    Comprendre la révolution industrielle et les principaux changements sociaux et économiques qu’elle a entrainés dans notre société.

    Parmi les thèmes abordés :  la machine à vapeur, la mécanisation, la standardisation, l’efficacité, les changements de la ville liés aux implantations industrielles,  le travail des enfants et les conditions de travail en général.  

     

    Plusieurs possibilités

    • Visite animée, avec manipulation d’objets et visionnement d’un extrait de film, à destination du cycle supérieur de l’enseignement fondamental ;
    • Visite animée avec exploration technique en guise d’expérience du travail en usine au 19e s, via la (re)construction d’une petite machine, à destination des classes de l’enseignement secondaire ;
    • Visite guidée du site et de l’exposition permanente.

     

    animation - atelier

    Les apprentis du métal

    animation - atelier, écoles

    Descriptif

    Quel est le processus technique derrière les nombreux objets métalliques dont nous sommes coutumiers ? L’atelier permet de mettre plus particulièrement le doigt sur le processus de la fonte au sable qui tire parti de la malléabilité de celui-ci pour réaliser un moulage à partir de l’empreinte d’un modèle en plâtre.  Après avoir fortement tassé un sable fin et gras autour du modèle placé dans un châssis métallique, on retourne le châssis et retire le plâtre… Ensuite, c’est la dextérité de l’artisan, la précision de l’orfèvre et la sensibilité de l’artiste qui amènent chacun à tracer en deux ou trois dimensions, les motifs qui caractériseront son moule. A proximité de l’impressionnante ancienne halle de coulée de la Fonderie, les participants assisteront ensuite à la coulée du métal dans leurs moules. Chacun repart avec son objet en aluminium.

    A destination du cycle supérieur de l’enseignement fondamental 

     

    Objectifs

    Découverte et application rigoureuse des différentes étapes techniques de la fonte au sable ;

    Exploration de la matière, aptitudes créatives, concentration et imagination ;

    Mise en contexte historique dans le cadre de l’ancienne fonderie d’art de  La Compagnie des Bronzes.

    animation - atelier

    Les apprentis tisserands

    animation - atelier

    De décembre 2020 à octobre 2021, La Fonderie accueille Saskia De Kinder en résidence d’artiste. Elle est designer textile. Ensemble, nous souhaitons sensibiliser le public bruxellois au patrimoine matériel et au savoir-faire artisanal lié au design textile d’hier et d’aujourd’hui.

    Nous vous proposons des ateliers d’initiation avec Saskia lors duquel chaque participant apprend d’abord les techniques de base de la tapisserie sur cadre. Ensuite, il tisse une petite toile qu’il emporte à la maison.

    Vous êtes un accompagnateur de groupe en formation ou un particulier ? Vous souhaitez découvrir le tissage manuel avec vos proches ? Réservez un atelier d’initiation !

    animation - atelier

    A fond les manivelles!

    animation - atelier, écoles
    Décortiquons les mécanismes

    Descriptif

    La plupart des machines et petits appareils qui nous entourent fonctionnent grâce à des mécanismes. Sans eux, que les machines transmettent ou transforment le mouvement, la plupart ne serait d’aucune utilité, malgré toute l’énergie déployée. Engrenages, bielle-manivelle, pignon-crémaillère, poulie et courroie, chaîne et roue dentée… Comment fonctionnent ces mécanismes et à quoi servent-ils exactement ?  Nous en proposons une découverte à la fois concrète et intuitive qui associe la manipulation à l’observation et l’explication historique.

    A destination du cycle supérieur de l’enseignement fondamental

     

    Objectifs 

    Différenciation, à partir d’objets familiers, des mécanismes de transformation et de transmission du mouvement ;

    Découverte des différents mécanismes à travers les machines du Musée et expériences autour des engrenages ;

    Sensibilisation à l’histoire des sciences et des techniques dans un contexte industriel ;

    Sensibilisation à l’évolution des techniques et des sciences.

     

    Déroulement

    Introduction au milieu des machines en extérieur ; 

    Identification des différents types de mécanismes : bielle-manivelle, poulie et courroie, vis-crémaillère, arbre à cames, engrenage, chaîne et roue dentée ;  

    Démonstration des différents mécanismes ;

    Travail pratique sur les engrenages ;

    Jeu dans le musée pour retrouver les machines. 

    animation - atelier

    L'énergie, de la sueur à la vapeur

    animation - atelier

    Descriptif

    En nous fournissant chaleur, lumière et confort matériel, toute notre vie est régie par différentes formes d’énergies. La gestion des énergies est encore l’une de nos préoccupations majeures, malgré la maîtrise grandissante des techniques. Mais que sont ces énergies et d’où viennent-elles ? Au moyen de maquettes et de jeux, les enfants sont amenés à découvrir les différentes sources et formes d’énergies… Ils découvrent le fonctionnement de quelques machines élémentaires, dont le moulin à eau ou la machine à vapeur ; autant d’inventions incontournables qui façonnent encore les modes de vie actuels.

    A destination du cycle supérieur de l’enseignement fondamental

     

    Objectifs 

    Découverte des différentes formes d’énergies et de leur utilisation au cours du temps ; 

    Approche des machines élémentaires et de leur fonctionnement de base ;

    Observation et expression autour des résultats des observations ;

    Apprentissage d’un vocabulaire technique spécifique ;

    Sensibilisation à l’histoire des sciences et des techniques dans un contexte industriel.

     

    Déroulement  

    Présentation de la Fonderie et des machines ;

    Apprentissage et classement des sources d’énergie ;

    Démonstration du fonctionnement d’un moulin à eau et d’une machine à vapeur ;

    Sensibilisation à la consommation d’énergie et au développement durable.

    animation - atelier

    La vis d'Archimède

    animation - atelier

    Toute machine complexe est la somme de mécanismes simples. Les élèves s’inspirent des machines dnotre exposition pour construire leurs propres vis d’ArchimèdeC’est une machine capable de monter des billes d’un point A vers un point B, sans les toucher directement. Cette animation constitue une approche ludique de la technologie, des maths, des sciences et de l’histoire. 

     

    Objectifs 

    • Observer, comprendre et décrire un mouvement : rotation – translation, transmission – transformation   
    • Observer, comprendre, décrire et reproduire le fonctionnement de quelques machines simples : les engrenages, la chaîne, le système de poulies, la vis 
    • Construire une vis d’Archimède 

     

    Déroulement

    • Introduction historique sur la révolution industrielle à Bruxelles et l’usine de la Compagnie des bronzes, en extérieur (détails ?)  
    • Analyse, dans la salle d’exposition. Classer des machines simples en fonction de leurs mécanismes 
    • Jeu micro-macro. Recherche de 4 machines de l’exposition permanente à partir de la photo d’un détail. Identification des mécanismes simples qui composent une machine complexe. 
    • Création et synthèse. Construction d’une vis d’Archimède. Résolution des problèmes rencontrés : l’écartement des spires, l’inclinaison de l’axe et la vitesse.

    animation - atelier

    Multicéréales

    animation - atelier

    Les céréales sont à la base de notre alimentation. Les participants apprivoisent le blé, le maïs, le mil et le riz. Ils expérimentent la fermentation et la production de farine avec un pilon et un mortier. Ils réalisent une recette à base de chacune de ces quatre céréales. 

     

    Objectifs 

    • Comprendre l’origine de nos aliments et l’évolution de notre alimentation  
    • Découvrir le rôle de la fermentation dans notre alimentation : pain, yaourt, fromage  
    • Faire comprendre l’interculturalité dans notre vie de tous les jours à travers l’alimentation : l’évolution générale de l’alimentation, par exemple l’introduction de nouveaux légumes en Belgique, avec un focus sur les céréales  
    • Comprendre l’apport des civilisations dans notre vie de tous les jours 

     

    Déroulement

    • Jeu pour découvrir l’origine des aliments 
    • Jeu pour reconnaître au toucher les quatre céréales principales consommées à travers le monde ; découverte de l’histoire de ces céréales 
    • Réalisation d’une recette à base de chacune de ces quatre céréales 
    • Expérimentation sur la fermentation 
    • Petite production de farine avec un pilon et un mortier 
    • Dégustation des préparations 

    animation - atelier

    L'usine de recyclage

    animation - atelier

    Quels sont les enjeux du recyclage aujourd’hui ? Pour le comprendre, les participants se mettent dans la peau d’un scientifique et d’un ferrailleur. Ils se rendent compte que le tri est écologique et qu’il permet de créer de la valeur marchande. Les élèves explorent les enjeux du recyclage et apprennent à reconnaître les métaux les plus utilisés de nos jours. 

     

    Objectifs 

    • Reconnaître les propriétés des métaux (le magnétisme, la densité, la malléabilité, la couleur, la conductivité électrique et thermique)  
    • Découvrir le traitement et l’impact des déchets métalliques 
    • Comprendre les enjeux du recyclage des métaux sa la valeur ajoutée.  
    •  Reconnaître et trier les principaux métaux et alliages utilisés de nos jours : aluminium, fer (tôle, fonte, acier), étain, cuivre (bronze, laiton), zinc, plomb. 

     

    Déroulement  

    • Les matériaux : identification des critères de classement.  
    • Expériences : découverte du magnétisme et de la conductivité.  
    • Le recyclage de l’aluminium : visionnage d’une vidéo pédagogique et discussion. 
    •  Le recyclage des autres métaux : visionnage d’une vidéo pédagogique et discussion.  
    • Activité pratique : trier des métaux et calculer la valeur ajoutée. 

    animation - atelier

    L'art du plâtre

    animation - atelier

    Notre musée possède bon nombre de modèles en plâtre qui ont servi à la réalisation de chefs d’oeuvre en bronze. Le plâtre est un matériau simple à travailler et permet de faire des miracles en peu de temps. Pendant l’atelier, les enfants le travaillent à la manière d’un mouleur du temps de la Compagnie des bronzes.  

     

    Objectifs 

    A travers une activité manuelle, ludique et créative, l’atelier a pour but de sensibiliser les enfants à un savoir-faire artisanal.  

     

    Déroulement 

    Au départ d’un jeu, les enfants appréhendent le rôle du plâtre dans la fabrication d’une statue en bronze. Ensuite ils s’initient à la réalisation d’un modèle de fonderie, du modelage jusqu’au moulage. 

    animation - atelier

    Le métal à repousser

    animation - atelier

    Tout métal a un pouvoir magique et il suffit d’un geste pour le maîtriser ! Le repoussé est une technique de travail à froid du métal. Elle est employée en orfèvrerie depuis l’Antiquité. L’apprenti orfèvre travaille la feuille de métal à l’envers à l’aide de divers outils en métal ou en bois. Il fait ainsi ressortir une image ou un ornement.

     

    Objectifs  

    A travers une activité manuelle, ludique et créative, l’atelier a pour but de sensibiliser les enfants à un savoir-faire artisanal.  

     

    Déroulement 

    Pendant cet atelier, les enfants réalisent et décorent des bijoux, des masques et des frises en aluminium cuivré qu’ils emportent à la maison. 

    animation - atelier

    Un logement pour tous

    animation - atelier

    Comprendre la ville est indispensable pour pouvoir y jouer un rôle. Armés d’appareils photos, les jeunes partent à la recherche des traces du passé. En comparant leurs clichés et d’anciennes cartes postales ils appréhendent des problématiques telles que le logement et l’environnement de travail. Adapté à chaque niveau d’enseignement, cet atelier permet aux élèves de développer un regard critique et d’apprendre à se positionner en tant que citoyen. 

     

    Objectifs 

    • À travers d’exemple du quartier du musée, se familiariser avec les modes historiques et actuels d’habiter un quartier de Bruxelles 
    • Poser un regard critique sur l’évolution de nos manières d’habiter la ville 

     

    Déroulement 

    • Introduction historique sur la révolution industrielle à Bruxelles et l’usine de la Compagnie des bronzes, en extérieur et à l’intérieur du musée 
    • À travers un jeu du type “Qui est-ce ?”, réviser le vocabulaire du logement à savoir les typologies d’habitations, les matériaux, les techniques de construction, les fonctions.  
    • Par équipes, À l’aide d’un plan du quartier et de cartes postales anciennes, aller à la recherche de lieux et prendre des photos.  
    • Retour au musée pour un mise en commun et un débat sur l’évolution des manières de se loger à travers le temps.

    animation - atelier

    L'urbanisation d'une commune

    animation - atelier

    Développement industriel, migrations, urbanisme : Molenbeek-Saint-Jean a connu une évolution bouillonnante au cours du 19ème et du 20ème siècle. Pour comprendre le processus de constitution d’un habitat urbain, les élèves se familiarisent avec les toponymes, décalquent des cartes anciennes de Bruxelles et construisent une maquette de la commune.  

     

    Objectifs 

    • À travers l’utilisation de cartes d’une commune bruxelloise au choix, étudier les étapes de l’urbanisation de la première couronne.  
    • Se familiariser avec la représentation du relief sur une carte de Bruxelles, notamment des éléments d’hydrographie  
    • Saisir les facteurs géographiques et historiques qui influencent les interactions hommes/espaces 

     

    Déroulement 

    • Introduction historique sur la révolution industrielle à Bruxelles et l’usine de la Compagnie des bronzes, en extérieur et à l’intérieur du musée.  
    • Rechercher des toponymes sur des cartes anciennes de différentes périodes 
    • Se familiariser avec les typologies d’habitats urbains à travers des photos aériennes de Bruxelles 
    • Visionner un reportage illustrant un type d’interaction hommes/espaces 
    • Construire une maquette en bois de Molenbeek ou d’Anderlecht 

    animation - atelier

    L'économie en ville : industries, commerces et services. Produire et consommer en milieu urbain.

    animation - atelier

    Secteur primaire, secondaire ou tertiaire ? Grâce à un travail de cartographie de l’activité économique d’un secteur de la ville, les participants revisitent les principes de base de l’économie urbaine.  

     

    Objectifs  

    • À travers l’exemple du quartier du musée, appréhender les fonctions du milieu urbain (de production, commerciale, d’échanges), les secteurs économiques (primaire, secondaire, tertiaire) et les facteurs de localisation des industries en milieu urbain à travers le temps.  
    • À travers la lecture de documents et de traces historiques, identifier, situer et observer des caractéristiques des activités économiques en ville.  

     

    Déroulement 

    • Introduction historique sur la révolution industrielle à Bruxelles et la Compagnie des Bronzes, en extérieur et à l’intérieur du musée.  
    • Par groupes, cartographier de l’activité économique actuelle du Quai des Charbonnages, le long du canal, à deux pas de La Fonderie 
    • Comparer avec l’activité économique du début du XXe s. en analysant des extraits des almanachs de la ville de Bruxelles.

    expositions antécédentes

    Oh ! Ça ne coule pas de source

    expositions antécédentes
    L’exposition Oh ! Ça ne coule pas de source traite de l’eau domestique à Bruxelles. Venez découvrir tout ce qui lie notre ville et notre mode de vie à cette ressource essentielle : l’eau !

    Immergez-vous…
    Remplir un verre d’eau, prendre une douche ou tirer la chasse… Ces gestes simples sont aujourd’hui tellement évidents que « nous n’y pensons même pas ». Cette exposition vous emmène à la découverte de tout ce qu’il a fallu pour que nous n’y pensions plus et, justement, vous y fait « (re-)penser » !
    Remontant le temps, elle retrace les pratiques bruxelloises d’approvisionnement en eau aux périodes anciennes. Elle décrit les travaux colossaux entrepris aux 19e et 20e siècles pour abreuver la ville ainsi que les disputes politiques et les découvertes scientifiques qui les ont accompagnés.
    Elle raconte aussi tout ce qu’il a fallu de transformations de nos rapports à l’eau, au corps et à l’hygiène à travers l’histoire des bains publics et de la salle de bain.
    Elle rappelle également que le rejet des eaux usées, chargées d’excréments, directement dans des rivières transformées en égouts, n’a pas toujours existé. D’ailleurs, à Bruxelles, il a fallu longtemps avant de voir construire des stations d’épuration (au début du 21e siècle) et on vous raconte pourquoi.
    Surtout, l’exposition montre comment le réseau d’approvisionnement et d’évacuation des eaux de Bruxelles ne fonctionne que grâce au travail quotidien et engagé de centaines de personnes : du chimiste au goûteur d’eau, en passant par le fontainier et l’égoutier.

    En d’autres mots, l’exposition cherche à rendre visible l’épaisseur du temps qui coule dans les tuyaux, l’histoire longue et multidimensionnelle dont ils sont le produit et le travail quotidien qui rend possibles les usages que nous faisons aujourd’hui de l’eau.

    Loin de se contenter de décrire le passé, l’exposition cherche à tisser des liens avec les questions contemporaines. En ville, de plus en plus de personnes n’ont plus un accès facile à l’eau. Le dérèglement climatique nous pousse à remettre profondément en question notre rapport aux ressources. Les pollutions se diversifient et posent de nouveaux problèmes ou défis. Pour mieux y penser, nous vous proposons plusieurs espaces de « décantation ».

    L’exposition s’adresse aux adultes et aux enfants (dès 5 ans). Elle se veut immersive avec des vidéos, des témoignages sonores, des expériences sensorielles et ludiques.

    Visites guidées
    Dès février, des visites guidées sont organisées tous les premiers dimanches du mois à 15h. Durée : 1h30.
    Vous pouvez également réserver une visite guidée privée à une date de votre choix pour un groupe de maximum 15 personnes. Tarif : 110 – 130 euros. Infos et réservation : parcours(at)lafonderie.be

    Autour de l’exposition, découvrez…

    Infos pratiques
    Oh ! Ça ne coule pas de source est à voir à La Fonderie – Musée bruxellois des industries et du travail – du 15 octobre 2021 au 26 juin 2022.
    Trouvez toutes les infos pratiques relatives au musée (adresse, tarifs, heures d’ouvertures, contacts…) en cliquant ici.

    Merci à nos partenaires
    Cette exposition est le fruit d’un partenariat entre La Fonderie – Musée bruxellois des industries et du travail –, le Laboratoire interdisciplinaire en Études urbaines de l’Université Libre de Bruxelles et VIVAQUA qui y participe dans le cadre de ses 130 ans.

    Partenaires de l'exposition Oh ! Ça ne coule pas de source
    Partenaires de l’exposition Oh ! Ça ne coule pas de source

    expositions antécédentes

    Derrière le hublot. La lessive d'hier à demain

    expositions antécédentes20 décembre - 22 août 2021

    L’exposition est prolongée jusqu’au 22 août 2021.

    Aujourd’hui, la lessive est une activité qui nous paraît anodine. Dans cette exposition, on vous démontre qu’elle est en réalité omniprésente dans notre quotidien et éminemment représentative des évolutions techniques, culturelles, sociales et économiques de notre société.

    L’exposition aborde le sujet de la lessive au travers de registres thématiques larges et variés : la sociologie, l’histoire des techniques et de la chimie, l’industrie et le commerce, l’hygiène, la condition féminine, la distribution de l’eau, la gestion des ménages, l’environnement, les mentalités et les pratiques, l’histoire de la lessive à Bruxelles, la littérature ou encore la peinture.

    L’exposition est richement documentée. Elle présente nombre de machines à laver, ustensiles, des produits de lessive, documents originaux et reproductions, films, témoignages… Les visiteurs sont invités à manipuler les machines ou encore à réaliser des expériences instructives et ludiques.

    La Fonderie propose en parallèle une programmation culturelle variée sur la lessive : conférences, projection de films, journées des familles ou encore des ateliers de lessive à l’ancienne… Vous les retrouverez dans nos événements et dans notre agenda.

    Découvrez la lessive au travers de ses nombreuses dimensions et questionnez votre rapport à ses enjeux. Vous ne verrez plus jamais une machine à laver de la même manière après votre visite de l’exposition Derrière le hublot. La lessive d’hier à demain.

    Vous trouverez notre dossier de presse, notre communiqué de presse, notre affiche et quelques images à télécharger en cliquant ici.

    expositions antécédentes

    Au rivage de Bruxelles. Mutations d'un quartier de Molenbeek

    expositions antécédentes22 novembre - 22 mars 2020

    L’exposition Au rivage de Bruxelles retrace les mutations du quartier entourant l’ancienne Porte du Rivage, jadis installée à l’emplacement de l’actuelle place de l’Yser. Les documents et photos, d’hier et d’aujourd’hui, révèlent un riche passé industriel, un monde pratiquement disparu qui interpelle les aficionados de l’histoire et du patrimoine bruxellois. 

     

    En 1991, les fonctionnaires du Ministère de la Communauté française rejoignent leur nouveau siège sur le boulevard Léopold II. Parmi eux, Pierre Wanlin constate avec dépit que le nouvel immeuble a supplanté les bâtiments industriels de la grande menuiserie et entreprise générale de construction De Waele, présente dans le quartier pendant près de 100 ans. Dans la foulée, d’autres ensembles de bureaux sont encore construits et balayent peu à peu la mémoire de ce quartier à la fois bourgeois, industriel et populaire. 

     

    Peu avant son départ à la pension en 2018, Pierre Wanlin effectue un gigantesque travail de mémoire sur ce quartier de Molenbeek-Saint-Jean. Il en tire une exposition dont la présentation s’imposait naturellement à La Fonderie. 

    expositions antécédentes

    La Gueule de l'Emploi

    expositions antécédentes21 juin - 7 décembre 2019

    À l’été 2019, La Fonderie ouvrait une exposition du travail photographique de Patrice Niset*1Ce dernier part à la rencontre d’hommes et de femmes au travail, entre dans leurs ateliers, capte les gestes mille fois répétésPour l’exposition La Gueule de l’Emploi, il a saisi le travail manuel et artisanal tel qu’il perdure et se renouvelle à Bruxelles. Ses clichés révèlent comment les artisans et créateurs intègrent de nouveaux outils et techniques aux savoir-faire passés. Dans l’espace public, son objectif s’est posé sur les travailleurs anonymes qui contribuent à l’intérêt collectif et assurent la bonne marche de la cité. 

     

    Les photographies de Patrice Niset font surgir les “gueules”, les gestes et les univers de ces artisans et travailleurs qui participent au dynamisme de Bruxelles. Exposées en extérieur sur le site de l’ancienne fonderie de la Compagnie des Bronzes, elles étaient comme un écho contemporain aux métiers manuels qui y furent exercés jadis. 

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    Temps de travail. Mesures et démesures

    expositions antécédentes
    Cette exposition retrace l'histoire du temps de travail et la met en perspective avec les enjeux actuels et futurs. Flexibilité, contrôle, conditions de travail ou encore allocation universelle figurent parmi les thèmes abordés. Elle a été réalisée en partenariat par La Fonderie et la Régionale PAC de Bruxelles.

    Le débat autour de la réduction collective du temps de travail a repris le devant de la scène. Face à la crise et au chômage, le partage du travail serait-il une solution ? Une piste en contradiction avec les “lois travail” européennes mises en place pour plus de flexibilité et de compétitivité. 

     En près de 150 ans, nous travaillons en moyenne deux fois moins. Mais la réduction collective du temps de travail, moteur de l’émancipation des travailleurs et du progrès social et économique, connaît un ralentissement et même une tendance inverse. Nos temps de travail se diversifient de plus en plus, sans améliorer pour autant nos conditions de travail : flexibilités non choisies, rythmes accélérés, porosité entre la vie professionnelle et la vie privée, nouvelles maladies professionnelles, partage inégal du travail… 

    Et dans le futur, combien de temps travaillerons nous ? L’intelligence artificielle, la numérisation, la robotisation accroîtront-elles notre temps de loisirs ou effaceront elles de plus en plus la frontière entre le temps privé et le temps professionnel ?… En 1930, l’économiste John Maynard Keynes préconisait la semaine de 15 heures, qu’il envisageait pour 2030. L’avenir lui donnera-t-il raison ?

    L’exposition Temps de travail. Mesures et démesures est disponible à la location. Téléchargez le dossier descriptif de l’exposition itinérante.

    expositions antécédentes

    #JeSuisHumain

    expositions antécédentes21 juin - 15 août 2017
    La Fonderie étudie et cherche à éclairer l’histoire économique et sociale de Bruxelles. Les questions autour de l’immigration en font partie. A ce titre, le musée a accueilli l’exposition #JeSuisHumain. Celle-ci a été réalisée par le collectif de photographes HUMA en collaboration avec Amnesty International. Leur travail de documentation et leurs images mettent en lumière les conditions de vie et les capacités de résilience des personnes réfugiées.

    Les photographes du collectif sont partis à leur rencontre “là-bas” dans les camps de réfugiés au Liban, en Jordanie, mais aussi “ici” en France et en Belgique. À Calais, ils ont documenté leur vie quotidienne dans la jungle. En Belgique, ils ont sillonné la côte et ont suivi quelques-uns des plus jeunes d’entre eux occupés à reconstruire leur vie, faisant preuve d’une détermination qui force le respect. 

    #JeSuisHumain, c’est un regard sur le drame humain de ce parcours migratoire, sur la résilience de ces réfugiés et demandeurs d’asile. C’est cette capacité à surmonter les moments douloureux de l’existence et à se développer en dépit de l’adversité qui est mise en valeur.  

    En présentant ce reportage, le collectif Huma et Amnesty International veulent créer des ponts entre le public belge et ces hommes et femmes, jeunes et moins jeunes, qui vivent “chez nous”. Ils cherchent à les présenter non pas comme des victimes, mais comme des acteurs de leur propre vie. 

    L’exposition à La Fonderie  

    Les vagues de migrations successives font partie des réalités sociales, économiques et culturelles qui ont transformé et transforment Bruxelles. Aujourd’hui, la capitale compte plus de 170 nationalités. Depuis sa création, La Fonderie s’est régulièrement attachée à éclairer et faire comprendre l’histoire de l’immigration à Bruxelles, notamment au travers du prisme de l’histoire socioéconomique et de l’intégration des populations migrantes dans le monde du travail. 

     

    En accueillant l’exposition #JeSuisHumain d’Amnesty, La Fonderie veut mettre cette histoire en résonnance avec la crise migratoire de ces dernières années, combattre la peur de l’autre et contribuer à déconstruire les préjugés sur les migrants. 

     

    Avec la collaboration du collectif Huma, La Libre Belgique, et Amnesty International.

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    Les 125 ans de la CSC en images

    expositions antécédentes
    La Fonderie a réalisé avec la Confédération des Syndicats Chrétiens une exposition à l’occasion des 125 ans de celle-ci. Elle retrace son histoire sociale à travers des thèmes importants pour la CSC : la sécurité sociale, les conditions de travail, la sécurité, la santé et l’environnement, les groupes spécifiques, la démocratie et la concertation sociale.

    La semaine de 5 jours, les congés payés, les salaires minimums, les allocations de chômage et de maladie, les différentes formes de crédit-temps, mais aussi le suffrage universel pour tout citoyen qui habite en Belgique… Ces avancées sociales sont le fruit de combat de femmes et d’hommes engagés pour la solidarité et la justice sociale.  

    L’exposition comprend également un chapitre consacré à la CSC et l’immigration. Celui-ci a été réalisé avec la collaboration du CARHOP, Centre d’animation et de recherche en histoire ouvrière et populaire. 

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    Les murs ont des couleurs. Histoire, mode et fabrication des papiers peints

    expositions antécédentes
    C'est écrit dans les magazines de décoration intérieure et sur le web, on le voit à la vitrine des magasins spécialisés, dans les show-rooms, les restaurants et les bars à la mode. Le papier peint fait son come-back ! Mais que savons nous à son sujet ? D'où vient-il ? Comment le fabrique-t-on ? Qui en conçoit les motifs ? Quelles furent les influences et les modes au fil du temps ? En a-t-on fabriqué à Bruxelles ?

    L’exposition répond à ces questions et révèle le rôle, longtemps sous-estimé, du papier peint dans l’ornementation intérieure. Décoration murale la plus courante depuis la seconde moitié du 18e siècle, il est un représentant exceptionnel de l’histoire du goût, de l’évolution de la société et des mentalités, mais aussi un objet technique remarquable, résultat de nombreuses innovations. Produit en masse grâce à l’industrialisation de la seconde moitié du 19e siècle, il s’est largement démocratisé et est venu orner les demeures de tout un chacun.  

     

    Entre produit de luxe et produit de masse, madeleine de Proust pour certains, déco tendance, vintage ou customisée pour d’autres, le papier peint séduit par son extraordinaire diversité. 

     

    Dans le décor préservé d’un ancien atelier de tourneurs, parmi d’anciennes machines dignes représentantes du passé industriel bruxellois, de précieux modèles et échantillons de papiers peints vous dévoilent leurs gammes variées de techniques, couleurs, matières et motifs. La plupart proviennent d’intérieurs bruxellois et furent même produits par des fabricants de la capitale, fabricants dont l’histoire méconnue est également retracée. Papiers peints, publicités, catalogues, objets pour la fabrication… ont été sortis de leurs réserves pour s’offrir à votre regard. 

     

    L’exposition Les murs ont des couleurs est une réalisation de La Fonderie-Musée bruxellois des industries et du travail, en collaboration avec la Direction des Monuments et Sites de la Région de Bruxelles-Capitale et l’Institut royal du Patrimoine artistique. Elle s’est déroulée du 3 octobre au 24 décembre 2009.

    expositions antécédentes

    Empreintes du temps

    expositions antécédentes 7 août - 30 août 2009
    “Empreintes du temps” est une exposition issue du travail de trois artistes plasticiens : Fatima Talbaui, André Stengele et Alexis Remacle. Parmi leurs sculptures et œuvres graphiques, trois sculptures en bronze ont été conçues spécialement pour l’occasion.

    Fatima Talbaui est une sculptrice confirmée. C’est elle qui fut à l’initiative de ce projet d’exposition. André Stengele a rapidement rejoint le projet car les thématiques de La Fonderie, il les connaît et les exploite depuis longtemps. Quant à Alexis Remacle, il a pratiqué une coulée à La Fonderie il y a quelques années et a accepté avec enthousiasme de joindre ses œuvres à celles de ses collègues. 

    Chacun de ces trois sculpteurs a créé une œuvre originale pour cette exposition. Ils se sont inspirés de l’ancienne fonderie de bronze autrefois installée ici, de la poésie de notre jardin des machines et du pouvoir évocateur des vestiges de l’activité passée.

    cartes blanches

    piss & love

    cartes blanches26 mars - 26 juin 2022

    En écho à l’exposition Oh ! Ça ne coule pas de source, le projet “Piss and Love” vient se nicher dans un « petit coin » de La Fonderie et approche la question des toilettes publiques dans l’espace urbain bruxellois, en mêlant photographie et art plastique, intrigue et revendication.

    Au travers de connivences visuelles, l’exposition convoque chez les visiteurs des sentiments multiples où se mêlent étonnement, expériences vécues, curiosité et questionnements. Elle interroge la façon dont une ville conçoit et gère l’accès aux toilettes publiques, un service essentiel à la collectivité dont personne ne devrait être écarté. La politique d’une ville en matière d’accès aux toilettes n’est-elle pas un révélateur de la façon dont elle « fait société » ?

    Un photographe et une Madame Pipi…

    Pour ses photographies, Patrice Niset part à la rencontre d’hommes et de femmes au travail, entre dans leur univers, s’approche au plus près de leur geste, de l’objet qu’ils travaillent. Il capte les corps investis, la concentration au moment de façonner, les attentions et les mouvements mille fois répétés et affinés au cours du temps. Ce faisant, le photographe établit un état des lieux du monde du travail manuel actuel où les acteurs font corps avec leur passion.

    Par extension, la vie de la cité s’est imposée au photographe comme un prolongement logique de son travail. Son œil capte tout ce qui fait fonctionner le métabolisme de la ville. L’accès aux lieux d’aisance publics en est partie intégrante. Patrice se lance donc dans un inventaire photographique des urinoirs publics, parfois bien cachés, de la capitale.

    Cristina Cerqueira est née au Portugal sous la dictature de Salazar. Dans son lycée, elle lisait les slogans antifascistes écrits sur les murs et les portes des toilettes. Là d’où elle vient, les toilettes étaient des lieux de résistance.

    Bien plus tard, Cristina devient « madame pipi » pour le Beursschouwburg, un club avant-gardiste bruxellois. Elle se souvient que les WC sont des lieux qui invitent à la libre expression. Sortir les mots des toilettes pour les libérer devient une évidence. La table habituellement occupée par la modeste coupelle destinée aux oboles voit débarquer un arsenal créatif fait de carnets, crayons, matériels de découpe et de collage. Cristina transforme un service habituellement monnayé en un échange humain. Des moments inattendus, des fêtes non programmées s’invitent dans les toilettes entretenues par Cristina qui deviennent un lieu à part dans la nuit bruxelloise. Aujourd’hui ce sont près de 200 carnets qui renferment les petits trésors de Cristina.

    Une rencontre, un projet…

    Plongé dans son inventaire des toilettes publiques, mais fidèle à son intérêt pour le travail, Patrice approche des « madames pipi ». Son chemin croise celui de Cristina. De cette rencontre jaillit un projet commun, beau et utile : mettre en dialogue les photos de Patrice et les carnets de Cristina, offrir un double regard sur une réalité à laquelle nul n’échappe.

    … et un graffeur

    Danger Dan est passionné par la démarche de Cristina depuis plusieurs années et travaille à ses côtés pour la mise en valeur de sa collection. Il a contribué à la direction artistique et à la signalétique de l’expo Piss and Love à La Fonderie.

    cartes blanches

    Vue sur atelier

    cartes blanches
    Découvrez le design textile avec Saskia De Kinder !

    De décembre 2020 à octobre 2021, La Fonderie – musée bruxellois des industries et du travail accueille Saskia De Kinder. Cette jeune  et talentueuse designer textile est diplômée de l’Académie des Beaux- Arts de Bruxelles. Elle crée ses propres motifs qu’elle tisse à l’aide de son métier à tisser manuel à lames. Bienvenue dans son atelier !

    À travers cette résidence  La Fonderie et Saskia souhaitent sensibiliser le public bruxellois au patrimoine matériel et au savoir-faire artisanal lié au design textile d’hier et d’aujourd’hui ; et ce, dans une perspective de durabilité.

    la designer textile Saskia De Kinder dans son atelier de tissage aménagé à La Fonderie
    Saskia De Kinder a installé son atelier à La Fonderie.

    Par sa formation de designer textile, l’artiste a une sensibilité graphique et esthétique qu’elle projette sur la collection de machines et outils du musée. Cette démarche s’inscrit dans un contexte sociétal post-moderne marqué par une volonté de revenir à des techniques artisanales. C’est ce que l’on appelle le « néo-artisanat ». A travers sa pratique, Saskia explore et promeut la complémentarité entre des techniques de tissage ancestrales et les technologies contemporaines. En effet, tout le travail de dessin des motifs est fait à l’aide d’un programme informatique, alors que le tissu est réalisé à la main.

    Un petit atelier vitrine à été aménagé au sein du musée pour que Saskia y installe son métier à tisser. Pendant la résidence elle va y développer ses projets personnels de design textile. L’ensemble du processus de recherche, d’assemblage de matières, de partages de compétences et de démonstration de savoir-faire ouvert au public sera réalisé en live exclusivement au musée de la Fonderie.

    La résidence sera le point de départ d’un programme d’ateliers participatifs s’adressant aux publics de La Fonderie. Assister au projet de design textile de Saskia, permettra au public de prendre conscience de l’importance de consommer et de produire local et en circuit court, des enjeux particulièrement mis en évidence par la crise sanitaire. Il comprendra quel est le processus derrière l’objet et comment il justifie le coût du travail artisanal.

    Le design du textile vous intéresse ? Vous êtes invités à assister au processus de création à travers un programme d’ateliers participatifs :

    • Vue sur atelier. Démonstration sur le métier à tisser,  chaque premier dimanche du mois, de 14h à 17h. Plus d’infos : cliquez ici.
    • Les apprentis tisserands. Initiation au tissage manuel sur cadre pour des groupes, toute l’année à la demande.
    • Tissage à la main récup’. Stage de tissage manuel sur cadre pour des adultes, du 3 au 5 août 2021.
    • Accompagnement textile sur mesure. Accompagnement de projets individuels de tissage, toute l’année, sur rendez-vous, en contactant Saskia au 0479 66 10 36 ou par e-mail saskia_dk@hotmail.com

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    plein feu sur les outils éteints

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    En 2020, le Service d’Incendie et d’Aide Médicale Urgente de la Région Bruxelles-Capitale a fêté ses 30 ans. A cette occasion, La Fonderie les a accueillis pour une exposition carte blanche intitulée "Plein Feu sur les outils éteints".

    Cette exposition vous offre un aperçu des trésors que recèlent les casernes du SIAMU. Les quelques objets sélectionnés font partie d’une collection de plus de 300 pièces. Ils ont été patiemment rassemblés depuis les années 1980 par l’asbl Les Amis du Musée du Feu (ou « AMUFEU »), des collectionneurs privés et le Service d’incendie lui-même.

    L’ambition de cette exposition est donc d’éveiller les curiosités et d’introduire, sur le mode de l’avant-goût, l’histoire du travail complexe et dangereux des sapeurs-pompiers. Pour cela, elle juxtapose dans le contexte bruxellois le passé et le présent des trois facettes principales du métier : pompier bien sûr, mais aussi ambulancier et centraliste.

    Cette exposition s’est tenue du 28 aout au 25 octobre 2020 à La Fonderie.

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    motifs nomades : filiations

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    Les œuvres qui composent cette exposition figurent des motifs teints, imprimés, brodés, crochetés, tricotés et même sonores. Pour les réaliser, les participants d'Istudio et de l'asbl Le Cactus ont choisi la thématique des filiations. Les filiations qui nous ont motivés, qui ont été un moteur pour nous, qui nous ont portés et ancrés dans la vie.

    Pour ce faire, les participants ont apporté une ou plusieurs photos de personnes de leur entourage proche ou lointain qu’ils souhaitaient mettre à l’honneur dans cette exposition.

    Ces clichés ont été minutieusement décrits et racontés lors de cercles de parole de façon à faire découvrir au groupe qui était la personne représentée, quel lien le participant entretenait avec elle, où la prise de vue avait été réalisée, dans quel pays, à quelle époque…
    Des motifs en écho à ces filiations ont vu le jour : teints, imprimés, tricotés, crochetés, pliés… des motifs sonores aussi!
    Des heures durant, les participants ont brodé les portraits de leurs ancêtres, les yeux dans les yeux. Ils y ont rajouté des mots extraits de leur témoignage sonore sur des motifs sérigraphiés par leurs soins.
    Une constellation de portraits brodés dans des cercles s’est peu à peu formée pour donner naissance à un panthéon imaginaire composé des ancêtres des participants.

    Exposition carte blanche réalisée par Istudio et l’asbl Le Cactus, présentée du 17février au 28 juin 2020.

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    Journal de rue

    cartes blanches
    Cette exposition est une carte blanche de Margaux Frasca. En octobre 2019, cette artiste ouvrait son Journal de rue à La Fonderie. Elle nous livrait une scénographie originale composée à partir des photographies et écrits qu’elle a fait jaillir de son quotidien de balayeuse de rue pour Bruxelles-Propreté.

    Après un master en études cinématographiques, Margaux est propulsée en 2014 dans un centre d’enfouissement de déchets afin de comprendre :  que faisons-nous avec nos déchets ? Pourquoi ? Comment ? Elle observe, mène des recherches pour un film documentaire avec l’association Image de ville, puis travaille sur l’exposition Vies d’ordures, de l’économie des restes en méditerranée pour le MuCEM (Musée des civilisations de la méditerranée, Marseille). 

    Ensuite, du musée à la rue, n’y avait-il pas qu’un pas ? Le musée n’est-il pas une énorme poubelle néguentropique ? Elle travaille alors plusieurs mois comme balayeuse de rue pour BruxellesPropreté. Elle écrit et photographie, avec son téléphone portable, les trottoirs, les déchets, le travail autour de nos ordures. Ces traces, elle les a scénographiées pour La Fonderie, car du musée à la rue, et de la rue au musée, n’y a-t-il pas comme un va-et-vient coriace ? Et toujours avec cette question obsédante : comment produire de l’énergie en transformant nos déchets? 

    L’exposition Journal de rue a été créée dans le cadre du projet d’éducation permanente « Ces métiers qui sont les nôtres ».  Elle était à voir à La Fonderie d’octobre à décembre 2019.

    cartes blanches

    Tentations

    cartes blanches17 février - 7 avril 2019

    L’une crée des empreintes d’outils de jardin semblant sortir d’une obscure découverte archéologique. Elle transforme leurs silhouettes dessinées en motifs quasi floraux s’affichant sur des vases, des tapis, des tabliers… L’autre fait subir aux outils tous les maux habituellement réservés à leurs utilisateurs. Comme si ceux-ci les avaient contaminés : ils se tordent, se déforment, comme des corps écrasés de travail. 

     

    Christine Mawet et Rohan Graeffly ont décidé de faire dialoguer leurs œuvres et de mettre leurs talents en commun. Au-delà du rapprochement de leurs créations respectives, ils ont entamé une sorte de bouturage artistique où chacun répond à la proposition de l’autre. 

     

    La Fonderie, Musée des industries et du travail, est dès lors un terrain de jeu idéal pour les deux artistes. La collection permanente de papier peint revisitée donne naissance à des motifs en 3D. À l’inverse, les outils de fonderie de la Compagnie des Bronzes redessinés deviennent le matériau de base d’une nouvelle collection de motifs pour papier peint. Les cuillères à lisser quittent l’acier pour la porcelaine. Reproduites en série, elles se superposent en de fragiles colonnes vertébrales. Clin d’œil à la vanité des êtres qui seraient tentés de goûter aux fruits défendus. 

     

    Dans cette exposition « carte blanche » proposée par La Fonderie, les allégories se succèdent pour inviter le spectateur, non sans humour, à se maintenir dans un état de vigilance à l’égard des tentations. 

    projet scientifique

    La mission scientifique de La Fonderie

    projet scientifique
    La mission de recherche est consubstantielle à la plupart des activités de la Fonderie. Elle est essentielle pour garantir la qualité de leurs contenus, qu’il s’agisse d'expositions, de publications, de parcours thématiques dans la ville ou encore de conférences-débats.

    Pour assurer cette mission, La Fonderie dispose d’un personnel scientifique qualifié qui mène des recherches de fond – parfois à la demande d’autres institutions – alimentées par les nombreuses ressources documentaires et archives conservées par La Fonderie (voir Centre de documentation).

    L’équipe scientifique de La Fonderie est soutenue dans ses activités de recherches et d’acquisition d’archives par un conseil scientifique composé de 11 membres permanents extérieurs à La Fonderie ayant une compétence scientifique ou professionnelle dans l’une ou plusieurs des disciplines suivantes : architecture, géographie, histoire économique/sociale, muséologie, patrimoine, sociologie, tourisme, urbanisme.

    Le lecteur pourra trouver sur la page “nos projets scientifiques” les principaux projets passés et actuels de La Fonderie.

    projet scientifique

    Projet Salamandre

    projet scientifique
    Héritée de son passé industriel, la pollution et l’assainissement des sols constituent une problématique aigüe en Belgique. Au travers du projet-pilote Salamandre, La Fonderie et ses partenaires proposent une approche innovante par la recherche archivistique.

    Notre société tente à l’heure actuelle de s’adapter aux bouleversements engendrés par la Révolution digitale et d’en saisir les opportunités. Depuis une vingtaine d’année, nos régions lancé d’ambitieuses politiques veillant à apurer la dette écologique résultant principalement des révolutions industrielles qui ont façonné notre environnement depuis plus de deux siècles.

    Les pollutions du sol sont très fréquentes dans les zones urbaines au passé industriel. Peu visibles elles présentent des risques réels et peuvent être à la source de problèmes de santé. En milieu urbain, les dangers de cette contamination pour les habitants sont accrus du fait de la mixité « logement-entreprise » et de la densité de population. La pollution du sol peut également avoir un impact significatif sur l’environnement en portant atteinte à la biodiversité, aux écosystèmes et aux nappes d’eau souterraines.

    Le risque d’acquérir sans le savoir un sol pollué peut entraîner des désagréments financiers. Dans tous les cas, cette situation introduit un risque économique lié à l’incertitude. La pollution du sol pose également des problèmes en termes de bonne gestion foncière et immobilière de la ville. Les pouvoirs publics mènent une politique visant à réhabiliter des sites pollués ou potentiellement pollués afin de répondre aux nécessités de redéploiement économique par la création de nouveaux espaces, et visant à améliorer l’environnement de nos régions.

    La mise en place d’un programme de réhabilitation des anciens sites industriels passe par une étude historique des sols et par des campagnes de mesures sur le terrain. Les bureaux d’étude en charge de ces analyses ont parfois du mal à expliquer certaines pollutions notamment à cause d’une documentation difficilement disponible ou des migrations de pollutions non expliquées, souvent engendrées par un bâti sous-terrain mal identifié (sections d’égouttage abandonnées, puits désaffectés ou un ancien détournement du lit de la Senne à Bruxelles, par exemple).

    Le projet Salamandre est né d’un consortium entre les Archives de l’Etat à Bruxelles, la Fonderie, le Centre d’Histoire des Sciences et des Techniques de l’Université de Liège, le Pôle d’Histoire et de Sociologie environnementales de l’Université de Namur, le Earth and Life Institute de l’Université catholique de Louvain et l’asbl BruxellesFabriques. Il portait sur la recherche de nouvelles pistes archivistiques et documentaires en vue d’aider les acteurs de terrain. En tenant compte de l’urgence dans laquelle doivent souvent travailler les acteurs de l’assainissement des sols et la complexité de la recherche archivistique, il était indispensable de trouver des synergies entres les milieux économiques, administratifs et archivistiques afin de réfléchir, de concevoir et de rechercher des moyens de contribuer à alimenter l’inventaire des sols élaboré par Bruxelles-Environnement.

    Nous avons démontré que les archives peuvent aider les administrations à veiller sur la santé des habitants et aménager au mieux le territoire. Parallèlement, la connaissance du passé permet aux citoyens de réapproprier les espaces qu’ils occupent. Ce projet débouche déjà sur un autre projet de co-création financé par Innoviris.brussels en vue de favoriser l’agriculture urbaine et la sauvegarde du patrimoine industriel par une mobilisation citoyenne en vue d’une valorisation des archives, ArchiSols.

    les Cahiers de La Fonderie

    Tant qu’il y aura du linge à laver - Cahier n°53

    les Cahiers de La Fonderie

    Si de nos jours la lessive est un geste tellement simple et facile qu’on le pratique presque quotidiennement, il n’en a pas toujours été ainsi. Pendant des siècles, elle a été une besogne particulièrement ingrate, fastidieuse et chronophage. Tant qu’il y aura du linge aborde la thématique du lessivage sous des aspects aussi divers que le sujet est riche. Les questions historiques et sociologiques renseignent sur les pratiques culturelles, alors qu’un questionnement relatif à des problématiques actuelles (écologie, redécouverte de techniques de saponification), permet de redécouvrir cette activité trop longtemps genrée. Enfin, une approche plus patrimoniale nous fait découvrir la diversité ces objets du quotidien, machines et savoir-faire anciens. L’ensemble est richement illustré par une magnifique iconographie et des témoignages inédits.

    Sommaire

    • Entre tache et tâche, Thérèse Symons
    • La publicité de produits lessiviels, Véronique Pouillard
    • La lessive de la maison bourgeoise à la fin du 19ème siècle, Vincent Heymans
    • Les blanchisseuses à Auderghem, Louis Schreyers et Nadine Vos
    • La lessive même dans les faits divers, Sylvie Lefebvre
    • Les tâches domestiques en Belgique, un schéma traditionnel du partage de la besogne bien ancré (1966 – 2013), Ignace Glorieux et Theun Pieter Van Tienoven
    • Le dur labeur en blanchisserie, Denis Grégoire
    • L’assommoir de Zola. La lessive dans la littérature, Charles-Yvan Élissèche
    • De la grande buée à la machine automatique, Paul Jehin
    • Des choses banales comme traces matérielles de la vitalité d’une cité, Sylvie Lefebvre
    • Les collections. Le lessivage, une diversité sans limite pour la Fonderie, Audrey Donceel
    • Laver le linge des hôpitaux bruxellois. La buanderie générale du CPAS, Thibault Jacobs et Sylvie Lefebvre
    • De Geest, l’orfèvre du nettoyage à sec, Pascal Majérus et Françoise Marneffe
    • Quand la production se met au service d’une philosophie de vie. L’atelier artisanal L’arbre à savon, Sylvie Lefebvre
    • La Blanchisserie Sainte-Catherine à Woluwé-Saint-Lambert, Françoise Marneffe

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    Hôpitaux bruxellois - Cahier n°52

    les Cahiers de La Fonderie

    23 hôpitaux, plus de 338.000 admissions, 6.000 lits, 23.000 membres du personnel. C’est ce que représente le secteur hospitalier à Bruxelles en 2017. Un enjeu socio-économique majeur !

    La première partie de la publication se penche sur des lieux, connus ou moins connus tels que Saint-Pierre ou Saint-Luc, les institutions coloniales, l’hôpital militaire ou encore l’institut dentaire George Eastman. Dans la deuxième partie du cahier, l’humain occupe le devant de la scène.

    Sommaire

    • Les hôpitaux bruxellois. Retour sur les origines, Christine Dupont et Yannik Van Praag
    • L’hôpital militaire d’Ixelles. De fleuron de l’hygiénisme à chancre urbain, Benoît Mihail
    • Les institutions de médecine tropicale à Bruxelles, Anne Cornet
    • L’institut dentaire Georges Eastman, Christine Dupont
    • Saint Luc. Un hôpital bruxellois miroir des mutations de la santé publique depuis 1960, Françoise Hiraux
    • 40 ans de chantiers hospitaliers bruxellois, David Guilardian et Yannik Van Praag
    • Le régime alimentaire des enfants entre 1830 et 1860 à saint-Jean et Saint-Pierre, Peter Scholliers
    • Sources. Rapport de médecins des pauvres
    • L’entr’aide des travailleuses. Un dispensaire en plein coeur des Marolles, Claudine Marissal
    • Une humanité faite d’art et d’exil. Un témoignage autour du service social de l’hôpital Saint-Pierre, Begona Cainas

    les Cahiers de La Fonderie

    Historiens dans la cité - Cahier n°51

    les Cahiers de La Fonderie

    Le 5 décembre 2012, Jean-Pierre Nandrin nous quittait. Cet historien engagé, à l’université comme sur le terrain de la mémoire et de la communication de l’histoire, laisse derrière lui un héritage d’une grande richesse.

    Le cahier est en trois parties. La première, communiquer l’histoire. La deuxième, enseigner l’histoire et la troisième, l’historien comme expert dans les commissions d’enquête. Voilà des thèmes qui tenaient particulièrement à cœur à Jean-Pierre Nandrin.

    Sommaire

    • Jean-Pierre Nandrin, passeur d’histoire, Guy Lemaire
    • L’historien, la mémoire ouvrière, le musée, Christine Dupont
    • Médias. Du bon usage de l’historien, Chantal Kesteloot
    • Le journaliste face à l’histoire, Philippe Walkowiak
    • Historiens, Internet et service public, Nicolas Mignon
    • L’histoire face à la caméra. Entretien avec Daniel Cattier, réalisateur, Yannik van Praag
    • Peter Scholliers, (aussi) historien public, Christine Dupont
    • Construire l’histoire, entretien avec Jean-Louis Jadoulle, Yannik van Praag
    • Enseigner l’histoire des femmes à l’école, un défi… et un nouvel outil, Claudine Marissal
    • Sur le terrain, expériences d’enseignants. Journal de guerre, Sarah Flock
    • Sur le terrain, expériences d’enseignants.Élections, Pierre Delbrassine
    • À propos d’une formation universitaire en histoire publique, Guy Zelis
    • Historiens et commissions d’enquête publiques, Jérôme de Brouwer, Pierre-Olivier de Broux, Françoise Muller, Xavier Rousseaux
    • Table ronde. Commissions d’enquête. Interviews de Emmanuel Gerard, Guy Vanthemsche, Jean-Philippe Schreiber, Philippe Raxhon, Jérôme de Brouwer, Pierre-Olivier de Broux, Françoise Muller, Xavier Rousseaux

    les Cahiers de La Fonderie

    D'une crise à l'autre - Cahier n°50

    les Cahiers de La Fonderie

    Depuis 2008, les tentatives d’analyse de la crise économique que nous vivons n’ont pas manqué de faire référence à la grande dépression des années ‘30. S’agit-il pour autant d’un parallèle pertinent ? L’équipe de rédaction des Cahiers de La Fonderie a voulu en savoir plus sur ce que représente la crise à l’échelle d’une ville. Notre publication s’est donc arrêtée à Bruxelles, dans les années ‘30, pour tenter de faire écho à la situation actuelle.

    Sommaire

    • La Grande dépression, Sabine Godts-Peeters
    • Quelle action des syndicats de tendance socialiste face à la crise des années ’30 , Une question très controversée à Bruxelles, Francine Bolle
    • La rationalisation de crise dans les entreprises bruxelloises des années ’30, Eric Geerkens
    • Limiter ou interdire le travail féminin. Un fantasme de l’entre-deux-guerres, Éliane Gubin
    • Louise De Craene – Van Duuren et le droit (des femmes) au travail, Els Flour
    • Les années de crise de l’hôtellerie bruxelloise, Virginie Jourdain
    • Misère à Bruxelles ? Pouvoir d’acaht et alimentation des salariés pendant la crise des années ’30, Peter Scholliers
    • Sources. Familles de chômeurs assurés sous la loupe
    • 2004-2014. Une déceniie de destruction de l’assurance chômage, Yves Martens
    • Heurs et malheurs des facteurs de pianos, Paul Raspé
    • D’Ieteren et la crise de 1929. Un virage salvateur, Catherine Rommelaere
    • Sources. La Maison Blampoix. Chemisier – Bonnetier
    • À Bruxelles, on licencie d’abord les Belges. La crise et le secteur des hôtels, restaurants et cafés, Patricia van Eeckhout
    • La ménagère à la rescousse des crises, Éliane Gubin

    les Cahiers de La Fonderie

    Les Cahiers de La Fonderie - de A à Z

    les Cahiers de La Fonderie, publication
    L’approche originale des Cahiers de La Fonderie est de mettre en valeur l’homme, son travail et sa vie quotidienne. Les articles de cette revue d'histoire évoquent la vie économique et industrielle de Bruxelles, le patrimoine social et industriel mais aussi l’histoire des Bruxellois. On s’y interroge sur le présent et sur l’avenir de la Région bruxelloise et de ses habitants à partir d’une analyse historique.

    Tout en conservant un caractère scientifique et pluridisciplinaire, Les Cahiers de La Fonderie, sont destinés au grand public. Ils présentent des articles variés, illustrés par une abondante iconographie et des interviews dynamiques enrichissant la mémoire orale. Souvent, une courte bibliographie permet d’approfondir le sujet. La publication se veut être un lieu de rencontre entre une information diversifiée et une réflexion sur la société.

    Les Cahiers de La Fonderie sont des publications de la maison d’édition de La Fonderie. Ils sont édités depuis 1986.

    Où trouver les Cahiers de La Fonderie ?
    Vous pouvez vous les procurer à La Fonderie, à l’accueil du musée bruxellois des industries et du travail.
    Vous pouvez également les recevoir par courrier. Dans ce cas, comptez 5 euros forfaitaires pour un envoi en Belgique et 12 euros pour un envoi en Europe.
    Pour toute commande, info ou question : info@lafonderie.be – 02 410 10 80

    Tous les Cahiers de La Fonderie

    n° 53 – Tant qu’il y aura du linge à laver
    n° 52 – Hôpitaux bruxellois
    n° 51 – Historiens dans a cité
    n° 50 – D’une crise à l’autre
    n° 49 – Made in Brussels
    n° 48 – Écoles bruxelloises
    n° 47 – Port du masque obligatoire
    n° 46 – Fêtes hivernales : renaissance ou mort annoncée ?
    n° 45 – (in)sécurité sociale
    n° 44 – Carré blanc, pratiques de l’intime à Bruxelles
    n° 43 – Les élites dans la ville
    n° 42 – Bruxelles industrielle ? Aujourd’hui et demain
    n° 41 – Bruxelles industrielle ? Hier
    n° 40 – Boire et manger
    n° 39 – Le travail des femmes
    n° 38 – Bruxelles et le Congo
    n° 37 – Exposition universelle
    n° 36 – Ouvriers et vile en mouvements
    n° 35 – Tout feu, tout flamme
    n° 34 – Destination Bruxelles
    n° 33 – Molenbeek, une commune bruxelloise
    n° 32 – Bruxelles en 14-18, la guerre au quotidien
    n° 31 – En avant pour le suffrage universel
    n° 30 – La mode dans tous ses états
    n° 28-29 – La Cie des bronzes de Bruxelles, fabrique d’art
    n° 27 – Ordre public et justice
    n° 26 – La Fonderie s’expose
    n° 25 – La vie en musique
    n° 24 – Bruxelles entre en gare
    n° 23 – Les lumières de la ville
    n° 22 – Tous les enfants ÉGAUX ?
    n° 21 – Quand la ville dort…
    n° 20 – La viande – tranche de ville – mode de vie
    n° 19 – Construire
    n° 18 – Service compris – Hôtels, restaurants, cafés
    n° 17 – Je jette, tu récupères
    n° 16 – Au fil des eaux
    n° 15 – Tailleurs et couturières
    n° 14 – Et les ouvriers ?
    n° 13 – Du carrosse princier à la voiture populaire
    n° 12 – Les autres…
    n° 11 – Bonbons, pralines, esquimaux, chocolats !
    n° 10 – Machines et mécaniciens
    n° 9 – L’art du métal
    n° 8 – Bières brasseries patrimoine industriel
    n° 7 – Le travail des femmes et des enfants
    n° 6 – Le logement ouvrier dans l’impasse ?
    n° 5 – Les vagabonds – et autres articles
    n° 4 – Les écoles primaires – et autres articles
    n° 3 – Petit commerce et grands magasins – et autres articles
    n° 2 – Bruxelles et la prostitution au 19ème siècle – et autres articles
    n° 1 – Bruxelles : un canal, des usines et des hommes
    n°0 – Les Cahiers de La Fonderie

    les Cahiers de La Fonderie

    Made in Brussels - Cahier n°49

    les Cahiers de La Fonderie

    Ce numéro des Cahiers de La Fonderie fait la part belle aux illustrations, documents et objets issus de nos collections. Il présente l’exposition permanente constituée de quatre modules. Ces modules sont enrichis par des explications et des schémas techniques sur les machines présentées ou par des documents iconographiques inédits.

    Le support idéal pour en savoir plus et prolonger la visite du musée bruxellois des industries et du travail chez soi.

    Sommaire

    • La croissance de Bruxelles
    • Le textile et la confection à Bruxelles
      • La fabrication textile à Bruxelles
      • Hirsch : entre grand magasin et ahute couture
      • Les cartes perforées dans la mécanique Jacquard
      • La Passementerie De Backer
      • Des industries et des machines
    • Les ateliers d efabrication métallique
      • La machine à vapeur
      • Les métiers du métal… une diversité sans limite
      • Les véhicules motorisés, fleuron de l’industrie bruxelloise
      • Des industries et des machines
    • L’alimentation
      • La révolution du froid
      • Un torréfacteur à cacao
      • Graeffe et ses morceuax de sucre
      • L’asphaltage, une mesure hygiénique
      • Les abattoirs de Cureghem et ses filières
    • Le bois
      • Des machines à travailler le bois
      • Du menuisier à l’entrepreneur : Louis De Waele
      • La formation aux métiers du bois
      • Une usine de jouets en bois à Bruxelles
      • Les fabriques de pianos

    les Cahiers de La Fonderie

    écoles bruxelloises - Cahier n°48

    les Cahiers de La Fonderie

    Sommaire

    • Les maisons d’école. Les écoles primaires de la Ville de Bruxelles au 19ème siècle, Isabelle Van der Borght
    • Le collège Saint-Michel. Repère du paysage etterbeekois, Xavier Dusausoit
    • L’École de Menuiserie de la Ville de Bruxelles, Liliane Viré
    • Quand l’élite ouvrière était formée au Palais du Midi, Yannik van Praag
    • Sources
    • Les écoles maternelles du Logis, Guy Arpigny
    • L’enseignement juif à Bruxelles, Barbara Dickschen
    • Écoles d’aujourd’hui, deux cas, Sylvie Lefebvre et Yannik van Praag
    • L’école Carrefour à Cureghem, la diversité au quotidien
    • Une ancienne école réhabilitée… pour un projet pédagogique moderne

    les Cahiers de La Fonderie

    Port du masque obligatoire - Cahier n° 47

    les Cahiers de La Fonderie

    Amiante, céruse ou encore zinc : quels furent les combats et les obstacles avant une réelle reconnaissance de leur toxicité ? Quelles mesures furent prises ? Comment furent calculées les indemnisations ? Entre les intérêts souvent divergents de la santé et des intérêts économiques, la science sert parfois l’un ou l’autre  donnant un caractère triangulaire à ces relations.

    De l’histoire environnementale ou de l’histoire du travail, on passe rapidement à une analyse des rapports de force, des acteurs en présence ou encore des processus de décision. On en ressort enfin avec des interrogations existentielles sur l’essence même des notions de “société”, “travail”, “peur”, “capacité d’indignation” ou encore “renoncement”.

    Sommaire

    • Les métiers polluants dans la ville : repères historiques, Isabelle Parmentier
    • L’insalubre destin d’un enfant de la révolution industrielle. L’industrie du zinc, Arnaud Péters
    • Guerre à la céruse ! La lutte contre le blanc de plomb, Judith Rainhorn
    • La silicose. Les aléas de la reconnaissance comme maladie professionnelle en Belgique, Éric Geerkens
    • Le combat de Jean Caluwaert, ancien mineur devenu parlementaire, Florence Loriaux
    • L’inspection du travail
    • La silicose disparue ? Détrompez- vous !
    • Les troubles musculo-squelettiques. Qui protège les travailleurs ? Maxime Coopmans
    • Collections de La Fonderie. De l’amiante dans nos collections… Gaëlle Courtois
    • Quand le stress professionnel devient maladie…

    les Cahiers de La Fonderie

    fêtes hivernales : renaissance ou mort annoncée ? - Cahier n°46

    les Cahiers de La Fonderie

    Les fêtes de fin d’année constituent une succession de célébrations suite auxquelles les petits et grands enfants sont inondés de cadeaux. Ces célébrations sont elles devenues le seul résultat d’une société mercantiliste qui crée, à force de publicités, ce besoin de faire la fête et de maintenir artificiellement des traditions ?

    Ce numéro des Cahiers de La Fonderie tente de mettre un peu d’ordre dans toutes les idées reçues. Il s’ouvre par une promenade dans l’histoire des fêtes à Bruxelles : d’où viennent-elles ? Que fêtons-nous à Bruxelles ? La Saint-Nicolas, Noël et Halloween sans oublier des moments clés comme le joyeux cortège de la Saint-Verhaegen pour les étudiants de l’ULB ou, plus sérieux, l’ouverture de la saison mondaine.

    Il fait la part belle à nos souvenirs d’antan… et impressions d’aujourd’hui car non, le plaisir d’être ensemble n’est pas perdu !

    Sommaire

    • De la Nativité aux “Plaisirs d’hiver”. L’origine liturgique des fêtes de fin d’année, Renaud Zeebroek
    • Halloween, la revenante ? Pascal Majérus
    • La Saint-Verhaeghen, Olivier Hertmans et Michel Hermand
    • Anges et démons, Isabelle Wanson
    • La portée symbolique de la fête de Hanoukkah, Zahava Seewald
    • Danser l’hiver. La saison mondaine à Bruxelles au 19ème siècle, Pascal Majérus
    • Un carnaval à Bruxelles ? … non peut-être
    • Le carnaval de Schaerbeek, Léon Verreydt
    • Retrouver la zwanse d’antan ? … une initiative trop éphémère, Paul Vankueken
    • Célébrer Saint-Éloi, images d’antan… et d’aujourd’hui
    • Souvenir de petite fille. Le passage de Saint-Nicolas, Sylvie Lefebvre et Marie-Jo Hernandez
    • Lors Reyes Magos, de l’or, de l’encens, de la myrrhe et des jouets par milliers, Marie-Jo Hernandez
    • Les jouets à Bruxelles de 1900 à 1930, Audrey Donceel
    • Mon beau sapin, Isabelle Wanson
    • Eurosylva ou le respect et l’amour de la nature, Sylvie Lefebvre et Yannik van Praag
    • La vente d esapins de Noël au Brico, Sylvie Lefebvre et Yannik van Praag
    • Plaisirs d’hiver, entretien avec Delphine Romanus

    les Cahiers de La Fonderie

    (in)sécurité sociale - Cahier n°45

    les Cahiers de La Fonderie

    Sommaire

    • Les origines de la sécurité sociale en Belgique, Guy Vanthemsche
    • Genèse et développement des mutualités, Jean Puissant
    • Centraliser la protection sociale, la création de l’ONSS, Claudine Marissal
    • L’arrêté-loi du 28 décembre 1944. La “naissance de la sécurité sociale, un service (semi) public, Dirk Luyten
    • Femmes et solidarité sociale. Une aventure multiséculaire à Bruxelles aussi, Hedwige Peemans-Poullet
    • César de Paepe et la médecine sociale, Bernard Dandois
    • L’assurance chômage. Deux poids, deux mesures, Marie-Thérèse Coenen
    • Léon Wanson, un paternalisme social à l’américaine, Yannik van Praag
    • L’avenir de la sécurité se lit-il encore dans les lignes de la main du projet d’accord de la sécurité sociale ? Pierre Reman
    • Le financement de la sécu en chiffres
    • La sécurité sociale face au clivage commnuautaire, Pierre Reman
    • Le marché de l’emploi à Bruxelles aujourd’hui, Mourad de Villers
    • Maladies professionnelles
    • Cile, ma pension! Rencontre avec Jean Moureaux et Renaud Gosselin

    les Cahiers de La Fonderie

    carré blanc, pratiques de l'intime à Bruxelles - Cahier n°44

    les Cahiers de La Fonderie

    Sommaire

    • De Bruxelles à la Méditerranée. Périple au cœur de l’intime. La nuit et le voyage de noces (1820-1930), Sara Tavares Gouveia
    • Dirty dancing. La préservation d ela morale de la jeunesse. Une loi contre la danse (1945-1965), Laura di Spurio
    • Collections de La FOnderie, des représentations du corps masculin, Cédric Piechowski
    • La répression de la prostitution clandestine à Bruxelles (1870-1886), Jonas Campion et Christine Machiels
    • Réhabiliter “la jeune fille déchue”. Les institutions privées pour jeunes délinquantes à Bruxelles (1912-1950), Aurore François
    • Les “trous” de Bruxelles. Les lieux de rencontres homosexuelles au 19ème siècle, Wannes Dupont
    • L’industrie du sexe dans l’espace public bruxellois, Isabelle Jaramillo
    • Les prostitutions masculines à Bruxelles, Koessan Gabiam et Cédric Piechowski
    • On est là pour toi… rencontre avec Karine Minnen, Commissaire de la brigade des moeurs, Sylvie Lefebvre et Pascal Majérus
    • Quelques mots de conclusion… Marie-Sylvie Bouchat-Dupont

    les Cahiers de La Fonderie

    Les élites dans la ville - Cahier n°43

    les Cahiers de La Fonderie

    Les études sur la société bruxelloise se focalisent souvent sur les classes dites défavorisées à travers des études sur la pauvreté, le chômage, le logement ouvrier, etc. Depuis quelques années pourtant, historiens, sociologues ou géographes renouvellent les recherches urbaines en proposant un regard sur les élites, ces groupes privilégiés qui marquent au moins tout autant les espaces de nos villes de leur empreinte. En témoigne le groupe de recherche de l’ULB sur «les élites dans la ville», dont ce Cahier de La Fonderie est la première publication collective.

    Il permet de faire connaître au public les résultats de travaux en cours et pour la plupart inédits.

    Sommaire

    • La ville et ses élites (1815-1915). Histoire d’une co-génération, Chloé Deligne
    • Qui fait la ville ? Mathieu Van Criekingen
    • Un quartier bruxellois à l’image de l’élite aristocratique d’Ancien Régime. Le quartier Royal, Michèle Galand et Christophe Loir
    • Géographie de l’élite artistique bruxelloise à la fin du 19ème siècle, Tatiana Debroux
    • Les choix résidentiels des européens à Bruxelles, Julie Cailliez
    • La grande propriété foncière autour de Bruxelles au 19ème siècle, Louise Babar
    • Les espaces résidentiels de la banque à Bruxelles (1822-1970), Anne Bauwelinckx
    • L’émergence des salons litéraires “à ciel ouvert”. La sociabilité des élites culturelles urbaines en régime libéral à la fin du 19ème siècle, Cécile Vanderpelen-Diagre
    • Une jeunesse au quartier Léopold. L’espace bruxellois d’Iwan Gilkin, poète de la jeune Belgique, Claire Billen
    • La mixité sociale en ville. Leurre et réalité, Françoise Noël
    • L’Urbaniste. Émergence d’une figure, discours d’une élite, Geoffroy Grulois
    • Les élites souterraines de la mobilité bruxelloise, Pierre Lanoy et Céline Tellier

    les Cahiers de La Fonderie

    Bruxelles industrielle ? Aujourd'hui et demain - Cahier n°42

    les Cahiers de La Fonderie

    Sommaire

    • L’industrie bruxelloise, Christian Vandermotten
    • Assainissements des sols des anciens sites industriels, Bernard Binet
    • Conflictualité sociale en milieu industriel à Bruxelles. De la grande grève de ’60-61 à la fermeture de VW-Forest, Jean Vandewattyne
    • La chute vertigineuse des surfaces industrielles. Entretien avec Hugues Verbrouck (SRDB), Christine A. Dupont
    • Made in Brussels. Rencontre avec Raymond-Guy de Meester (Sicli s.a.), Sylvie Lefebvre et Françoise Marneffe
    • Les traces du passé industriel, 30 ans d’action en faveur du patrimoine, Christine A. Dupont
    • Pils ou face. Les vies multiples des brasseries Wielemans-Ceuppens
    • Le Musée Bruxellois du Moulin et de l’Alimentation, création et développements, Madeleine Brilot
    • Le moulin d’Evere, Alain Doornaert
    • Le Plan K et La Raffinerie, histoire ouverte et ouvrière de la performance en Belgique. Ici maintenant ailleurs, Anne-Dolorès Marcélis
    • Fiches pédagogiques. Le logement ouvrier à Bruxelles avant 1914

    les Cahiers de La Fonderie

    Bruxelles industrielle. hier - Cahier n°41

    les Cahiers de La Fonderie

    Sommaire

    • Bruxelles, ville industrielle de premier plan, Jean Puissant
    • Delhaize Le Lion, industriels alimentaires à Molenbeek depuis 1883, Emmanuel Collet
    • Collections de La Fonderie. Les usines Henri Halkett et Cie
    • Une lecture culturelle des salaires. La Compagnie des Bronzes, 1885-1914, Widukind De Ridder
    • La loi de 1896 sur les règlements d’ateliers. L’État entre dans les usines, Jean-Pierre Nandrin
    • Le sud de Bruxelles : industriel ? Souvenirs de Michel Legros, habitant de Woluwé-saint-Pierre
    • Les établissements Bollinckx à Cureghem, Yannik van Praag
    • Le papier peint sort de ses rouleaux, Françoise Marneffe
    • De Van Gelder à UPL. Éléments pour une industrie du papier peint dans la région de Bruxelles, Jonathan Truillet
    • Le susines Peters-Lacroix, à Haren, Françoise Marneffe
    • Rencontre avec Robert Boudru et Léopold Ryelandt, stylistes du papier peint, Françoise Marneffe et Sylvie Lefebvre

    les Cahiers de La Fonderie

    Boire et manger - Cahier n°40

    les Cahiers de La Fonderie

    Les témoignages l’attestent, le numéro des Cahiers préféré des lecteurs est sans aucun doute le numéro 11, Bonbons, pralines, esquimaux et chocolats ! Depuis lors, souvent, nous avons eu envie d’aborder le thème de l’alimentation à Bruxelles… c’est chose faite avec la parution de Boire et manger. Dégustez ce menu de choix aux saveurs plutôt inattendues.

    Sommaire

    • Résistance et mondialisation. Le cas des bières bruxelloises, Wanda Balcers
    • Le trésor des charcuteries fermentées artisanales, Frédéric Leroy et Luc De Vuyst
    • Une fenêtre sur le monde. Les étalages bruxellois de la firme Delhaize Frères et Cie “Le lion” (1870-1945), Nelleke Teughels
    • Le cornichon du dimanche ou comment construire des moments de bonheur avec des moyens modestes (1950-1955), Patricia Van den Eeckhoudt
    • C’est quoi la cuisine , Dominique Michou, chef de l’Alban Chambon, sa formation, son parcours et ses craintes, Peter Scholliers
    • La FGTB est notre famille ! Rencontre avec Alphons De Mey, Annelies Tollet
    • 100% bruxellois ! Thérèse Symons
    • Prestige dans l’assiette. À la table de Léopold II (1865-1909), Danielle De Vooght
    • Le rythme des repas en Belgique de 1966 à ce jour, Inge Mestdag et Ignace Glorieux
    • Aux armes de Bruxelles, le Dikkenek et Belga Queen. Les noms des restaurants bruxellois comme indices de l’évolution gastronomique, Steven Van den Berghe
    • Collections de La Fonderie. Quand la mayonasie prend… Christine A. Dupont
    • Infirmité bruxelloise. La frustrante absence d’une richesse naturelle. À la recherhce de truffes en Bourgogne, en Toscane, à Anver, au Congo belge et à Reninge (1400-2020), Rengenier C. Rittersma

    les Cahiers de La Fonderie

    Le travail des femmes - Cahier n°39

    les Cahiers de La Fonderie

    Sommaire

    • Un oubli de l’histoire, les travailleuses belges en exil durant la Première Guerre mondiale, Michaël Amara
    • Syndicalisme au féminin, Marie-Thérèse Coenen
    • Travail ou non travail ? Le bénévolat féminin dans les oeuvres de l’enfance, Claudine Marissal
    • L’employée : la nouvelle figure de la travailleuse au 20ème siècle, Éliane Gubin et Jean Puissant
    • Les surintendantes d’usine (1920-1940), Julie Hénoumont et Éliane Gubin
    • Quand la police se décline au féminin, Catherine Jacques
    • Hôtesse de l’air, un métier entre mythe et réalité, Vanessa D’Hooghe
    • À l’assaut d’un bastion masculin ! L’accès des femmes à la magistrature, Catherine Jacques
    • Collections d eLa Fonderie, le rude labeur de la lessive, Christine A. Dupont
    • Des métiers inattendus :
      Daniel Verbert, travailleur dans le secteur de la petite enfance
      Muriel Devreux, surveillante à Bruxelles-Propreté
      Vanesa Vierdeel, pilote de ligne
      Franck Waroquier, sage-femme
      Témoignanges recueillis par Sylvie Lefebvre et Fabienne De Sadeleer

    les Cahiers de La Fonderie

    Bruxelles et le Congo - Cahier n°38

    les Cahiers de La Fonderie

    Sommaire

    • Bruxelles coloniale : entre effacement et repentance. L’héritage de Léopold II, Nathalie Tousignant
    • Représentation de la campagne arabe à Bruxelles. Les Pionniers belges de Thomas Vinçotte (1911 – 1921), Quentin de Becker
    • La représentation du Congo belge à l’Expo 58, Aude Hendrick
    • Kinshasa comme “chantier bruxellois”. L’émergence d’une métropole “moderne” dans une colonie belge, 1946 – 1960, Johan Lagae
    • La Compagnie des Bronzes au Congo, Christine A. Dupont
    • Du bon usage de la mémoire coloniale, entretien avec le professeur Dr. Jacob Sabakinu Kivulu, Johan Lagae et Christine A. Dupont
    • Les communistes belges e tle Congo, Yannik van Praag
    • Le pèlerinage des anciens coloniaux en région bruxelloise, Florence Gillet
    • De la distinction au stigmate. Matonge, un quartier congolais à Bruxelles, Sarah Demart
    • Témoignages d’Afrique, recueillis par Amandine Lauro et Fabienne de Sadeleer
      Rencontre avec Gertrude Hamadi
      Rencontre avec Vincent Bribosia, président du conseil d’administration de Chanic s.a.
      Rencontre avec Henri Colle

    les Cahiers de La Fonderie

    Exposition universelle - Cahier n°37

    les Cahiers de La Fonderie

    Sommaire

    • D’une exposition à l’autre. Les expositions universelles et internationales en Belgique avant 1958, Arnaud Bozzini
    • Sur le plateau d’Osseghem. Paysage rural et activités agricoles avant le quartier du Heysel, Paulo Charruadas et Marc Meganck
    • Molenbeek et l’Expo 58 : la rénovation du Karreveld revisitée, Chloé Deligne
    • Visite de l’exposition en compagnie d’un jeune bruxellois, Rencontre avec Auguste Defise par Fabienne De Sadeleer et Sylvie Lefebvre
    • Sourire 58. Les hôtesses ou la naissance d’un nouveau métier, Gonzague Pluvinage et Thérèse Symons
    • Promouvoir le tourisme à bruxelles durant l’Expo, Virginie Jourdain
    • Plaisirs d’Expo. La Belgique “joyeuse” et les joyeux belges… Valérie Piette
    • À vos ordes, Commissaire ? Petite revue de presse belge et étrangère, Pierre van den Dungen
    • La mémoire de l’Expo 58, Florence de Radiguez
    • Promenade en pousse-pousse, Rencontre avec Guy Lefebvre et Alain Lesuire par Fabienne De Sadeleer et Sylvie lefebvre
    • V’là le courrier ! Rencontre avec Henri Sempo par Fabienne De Sadeleer et Sylvie Lefebvre
    • Capitale symbolique d el’Exposition universelle et internationale de Bruxelles 1958 : un héritage pour l’imaginaire belge ? Nathalie Tousignant

    presse

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    presse
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    Parcours audio : l'hydrologue

    Dimitri est hydrologue et chercheur à la VUB.
    Borne située Place de Ninove, en face du numéro 5.

    Vous écoutez un podcast réalisé par La Fonderie et le Musée des Égouts, dans le cadre d’une balade sonore en autonomie. Cette balade sonore est un voyage dans les coulisses des métiers de l’eau à Bruxelles.

    Les neuf bornes ont été conçues par des jeunes de l’école de devoirs l’Amorce dans le cadre du stage Sous les pavés organisé par La Fonderie, le Musée des Égouts et Fabwest en juillet 2021. Les participants ont réalisé des modèles originaux en plâtre qui ont servi pour couler les bornes-pavés en bronze, inspirées par la grande variété de plaques présentes dans nos rues.

    Oh ! La balade s’inscrit dans le cadre de l’exposition Oh ! Ça ne coule pas de source. Cette exposition de La Fonderie est accessible d’octobre 2021 à fin juin 2022. Elle est le résultat d’un partenariat avec l’ULB et VIVAQUA dans le cadre de ses 130 ans.

    Le plan pour suivre le parcours urbain est à votre disposition à l’accueil de La Fonderie – Musée bruxellois des industries et du travail ainsi qu’au Musée des Égouts. C’est gratuit.

    Logos des partenaires du projet Oh ! la balade
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    Parcours audio : l'infirmier

    Koen travaille pour l’asbl Infirmiers de rue. Son témoignage est en néerlandais.
    Borne située près de la fontaine du parc de la Rosée.

    L’asbl Infirmiers de rue propose un plan de fontaines d’eau potable et toilettes gratuites au centre-ville. Pour le télécharger, cliquez ici.

    Vous écoutez un podcast réalisé par La Fonderie et le Musée des Égouts, dans le cadre d’une balade sonore en autonomie. Cette balade sonore est un voyage dans les coulisses des métiers de l’eau à Bruxelles.

    Les neuf bornes ont été conçues par des jeunes de l’école de devoirs l’Amorce dans le cadre du stage Sous les pavés organisé par La Fonderie, le Musée des Égouts et Fabwest en juillet 2021. Les participants ont réalisé des modèles originaux en plâtre qui ont servi pour couler les bornes-pavés en bronze, inspirées par la grande variété de plaques présentes dans nos rues.

    Oh ! La balade s’inscrit dans le cadre de l’exposition Oh ! Ça ne coule pas de source. Cette exposition de La Fonderie est accessible d’octobre 2021 à fin juin 2022. Elle est le résultat d’un partenariat avec l’ULB et VIVAQUA dans le cadre de ses 130 ans.

    Le plan pour suivre le parcours urbain est à votre disposition à l’accueil de La Fonderie – Musée bruxellois des industries et du travail ainsi qu’au Musée des Égouts. C’est gratuit.

    Logos des partenaires du projet Oh ! la balade
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    Parcours audio : l'historien

    Roel est historien de la ville. Son témoignage est en néerlandais.
    Borne située rue de la Senne, au coin de la Rue Cuerens

    Vous écoutez un podcast réalisé par La Fonderie et le Musée des Égouts, dans le cadre d’une balade sonore en autonomie. Cette balade sonore est un voyage dans les coulisses des métiers de l’eau à Bruxelles.

    Les neuf bornes ont été conçues par des jeunes de l’école de devoirs l’Amorce dans le cadre du stage Sous les pavés organisé par La Fonderie, le Musée des Égouts et Fabwest en juillet 2021. Les participants ont réalisé des modèles originaux en plâtre qui ont servi pour couler les bornes-pavés en bronze, inspirées par la grande variété de plaques présentes dans nos rues.

    Oh ! La balade s’inscrit dans le cadre de l’exposition Oh ! Ça ne coule pas de source. Cette exposition de La Fonderie est accessible d’octobre 2021 à fin juin 2022. Elle est le résultat d’un partenariat avec l’ULB et VIVAQUA dans le cadre de ses 130 ans.

    Le plan pour suivre le parcours urbain est à votre disposition à l’accueil de La Fonderie – Musée bruxellois des industries et du travail ainsi qu’au Musée des Égouts. C’est gratuit.

    Logos des partenaires du projet Oh ! la balade
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    Parcours audio : le fontainier

    Christian est expert fontainier.
    Borne située rue de la Senne, 75

    Vous écoutez un podcast réalisé par La Fonderie et le Musée des Égouts, dans le cadre d’une balade sonore en autonomie. Cette balade sonore est un voyage dans les coulisses des métiers de l’eau à Bruxelles.

    Les neuf bornes ont été conçues par des jeunes de l’école de devoirs l’Amorce dans le cadre du stage Sous les pavés organisé par La Fonderie, le Musée des Égouts et Fabwest en juillet 2021. Les participants ont réalisé des modèles originaux en plâtre qui ont servi pour couler les bornes-pavés en bronze, inspirées par la grande variété de plaques présentes dans nos rues.

    Oh ! La balade s’inscrit dans le cadre de l’exposition Oh ! Ça ne coule pas de source. Cette exposition de La Fonderie est accessible d’octobre 2021 à fin juin 2022. Elle est le résultat d’un partenariat avec l’ULB et VIVAQUA dans le cadre de ses 130 ans.

    Le plan pour suivre le parcours urbain est à votre disposition à l’accueil de La Fonderie – Musée bruxellois des industries et du travail ainsi qu’au Musée des Égouts. C’est gratuit.

    Logos des partenaires du projet Oh ! la balade
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    Parcours audio : le canal

    Pieter est le fondateur de Canal It Up. Son témoignage est en néerlandais.
    Borne située quai du Hainaut, au coin de la rue Evariste Pierron.

    Vous écoutez un podcast réalisé par La Fonderie et le Musée des Égouts, dans le cadre d’une balade sonore en autonomie. Cette balade sonore est un voyage dans les coulisses des métiers de l’eau à Bruxelles.

    Les neuf bornes ont été conçues par des jeunes de l’école de devoirs l’Amorce dans le cadre du stage Sous les pavés organisé par La Fonderie, le Musée des Égouts et Fabwest en juillet 2021. Les participants ont réalisé des modèles originaux en plâtre qui ont servi pour couler les bornes-pavés en bronze, inspirées par la grande variété de plaques présentes dans nos rues.

    Oh ! La balade s’inscrit dans le cadre de l’exposition Oh ! Ça ne coule pas de source. Cette exposition de La Fonderie est accessible d’octobre 2021 à fin juin 2022. Elle est le résultat d’un partenariat avec l’ULB et VIVAQUA dans le cadre de ses 130 ans.

    Le plan pour suivre le parcours urbain est à votre disposition à l’accueil de La Fonderie – Musée bruxellois des industries et du travail ainsi qu’au Musée des Égouts. C’est gratuit.

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    Parcours audio : les bains

    André est patron de bains.
    Borne située devant les Bains-douches publics, Rue Ransfort 76.

    Vous écoutez un podcast réalisé par La Fonderie et le Musée des Égouts, dans le cadre d’une balade sonore en autonomie. Cette balade sonore est un voyage dans les coulisses des métiers de l’eau à Bruxelles.

    Les neuf bornes ont été conçues par des jeunes de l’école de devoirs l’Amorce dans le cadre du stage Sous les pavés organisé par La Fonderie, le Musée des Égouts et Fabwest en juillet 2021. Les participants ont réalisé des modèles originaux en plâtre qui ont servi pour couler les bornes-pavés en bronze, inspirées par la grande variété de plaques présentes dans nos rues.

    Oh ! La balade s’inscrit dans le cadre de l’exposition Oh ! Ça ne coule pas de source. Cette exposition de La Fonderie est accessible d’octobre 2021 à fin juin 2022. Elle est le résultat d’un partenariat avec l’ULB et VIVAQUA dans le cadre de ses 130 ans.

    Le plan pour suivre le parcours urbain est à votre disposition à l’accueil de La Fonderie – Musée bruxellois des industries et du travail ainsi qu’au Musée des Égouts. C’est gratuit.

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    Parcours audio : la Compagnie

    Armand Steurs fut le premier directeur de la Compagnie Intercommunale des Eaux.
    Borne située dans la cour de La Fonderie, Rue Ransfort 27.

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    Les neuf bornes ont été conçues par des jeunes de l’école de devoirs l’Amorce dans le cadre du stage Sous les pavés organisé par La Fonderie, le Musée des Égouts et Fabwest en juillet 2021. Les participants ont réalisé des modèles originaux en plâtre qui ont servi pour couler les bornes-pavés en bronze, inspirées par la grande variété de plaques présentes dans nos rues.

    Oh ! La balade s’inscrit dans le cadre de l’exposition Oh ! Ça ne coule pas de source. Cette exposition de La Fonderie est accessible d’octobre 2021 à fin juin 2022. Elle est le résultat d’un partenariat avec l’ULB et VIVAQUA dans le cadre de ses 130 ans.

    Le plan pour suivre le parcours urbain est à votre disposition à l’accueil de La Fonderie – Musée bruxellois des industries et du travail ainsi qu’au Musée des Égouts. C’est gratuit.

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    Parcours audio : le pompier

    Negi est caporal pompier de Bruxelles.
    Borne située Place Alphonse Lemmens, en face du numéro 16.

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    Les neuf bornes ont été conçues par des jeunes de l’école de devoirs l’Amorce dans le cadre du stage Sous les pavés organisé par La Fonderie, le Musée des Égouts et Fabwest en juillet 2021. Les participants ont réalisé des modèles originaux en plâtre qui ont servi pour couler les bornes-pavés en bronze, inspirées par la grande variété de plaques présentes dans nos rues.

    Oh ! La balade s’inscrit dans le cadre de l’exposition Oh ! Ça ne coule pas de source. Cette exposition de La Fonderie est accessible d’octobre 2021 à fin juin 2022. Elle est le résultat d’un partenariat avec l’ULB et VIVAQUA dans le cadre de ses 130 ans.

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    Parcours audio : l'égoutier

    Roland est égoutier retraité.
    Borne située au Musée des Égouts, à l’entrée du pavillon d’octroi, Porte d’Anderlecht.

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    Oh ! La balade s’inscrit dans le cadre de l’exposition Oh ! Ça ne coule pas de source. Cette exposition de La Fonderie est accessible d’octobre 2021 à fin juin 2022. Elle est le résultat d’un partenariat avec l’ULB et VIVAQUA dans le cadre de ses 130 ans.

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